Mabou Loiseau ou un artiste de huit ans de New York
Dame Nature a déposé un prodige à New York : Mabou Loiseau, petite fille de huit ans mais probablement grand soleil levant. Artiste aux talents précoces, elle parle des langues, chante, joue des instruments de musique, pratique des danses..., impressionne déjà Queens et même tout New York...
Depuis les temps bibliques de David en exemple, aux Antiquités grecques d’Alexandre en passant par le XVIIIème siècle de Mozart jusqu’au XXe siècle de Michael Jackson, la vérité éternelle suggérée par la maxime populaire de Corneille « Aux âmes bien nées la valeur n’attend point le nombre des années » reste vivante. C’est à présent une fille d’à peine huit ans, du nom de Mabou LOISEAU dans le Queens à New-York aux USA, qui est sur le point d’endosser cette candide vérité de l’auteur du Cid français, Pierre Corneille. À cet âge, les prouesses de la petite Mabou, donnent révélation qu’elle est programmée pour un long voyage dans le monde de l’art, de la culture et du spectacle.
Disposée par la nature à faire un long voyage
À en juger par les témoignages autour de la famille de Mabou, l’enfant aux mille talents, tel qu’on le découvrira plus loin, les conditions de sa naissance semblaient déjà prévenir sur un destin particulier. Elle est comme on peut le dire, née sous la bonne étoile.
En effet, sa mère, Esther LOISEAU, a, malgré elle, expérimenté « la douleur pénible d’une Sarah » qui, jusqu’à 80 ans attendait en vain un enfant que ses entrailles refusaient de lui donner, pour raffermir son mariage avec Abraham, le légendaire personnage biblique à la Sainteté incontestable. Même si Esther, aujourd’hui « maman Mabou » n’a pas vu sa peine se prolonger jusqu’à 80 ans, 40 ans qu’elle avait attendus étaient assez suffisants pour plonger une femme dans le désespoir ou la résignation. Vu surtout, les multiples initiatives stériles et les conclusions désespérantes des médecins. Mario LOISEAU, père de Mabou, touchant la cinquantaine, y avait perdu toute croyance. Un enfant né dans ces conditions ne pouvait qu’être « prodige » pour ses parents, ne serait-ce que pour la seule raison qu’il « brisait un désespoir » comme le mentionne si bien un article à son sujet sur « Suite101.fr ».
Ce serait ni vu, ni connu si l’histoire s’arrêtait là ! C’est que, la petite Mabou, aussitôt née, semblait faire croire qu’en fait, elle attendait la « bonne étoile » sous laquelle, il lui fallait naître. Les signes d’un enfant aux talents précoces, n’ont pas attendu plus de 18 mois pour se manifester sur cet enfant qui a commencé à montrer des aptitudes « à la parole facile ». Et c’est à trois ans à peine, âge où d’autres enfants apprennent à formuler des phrases, que la petite Mabou parlait déjà et plus qu’intelligiblement, trois langues : le Créole, langue du pays d’origine des parents (c’est-à-dire Haïti), le Français (langue avec laquelle s’adresse sa mère à elle) et l’Anglais (langue du pays de l’Oncle Sam). Ajoutés à cela, d’autres réflexes trop bien précis et coordonnés pour être de son âge.
Déjà à six ans à peine en 2011, la petite Mabou de Queens n’était pas seulement « trilingue » mais polyglotte de sept langues qu’elle continue à ce jour de peaufiner à la vitesse qu’imposent la tendresse et l’allégresse de son âge : le Créole, le Français, l’Anglais, l’Arabe, le Russe, l’Espagnol, et le Chinois qu’elle pratique aussi bien à l’oral qu’à l’écrit et ; aujourd’hui comme bonus, elle manipule avec aisance, le langage des signes. Mieux encore, elle a la maîtrise de sept instruments de musique : le piano, la guitare, le violon, la harpe, la clarinette, le tambour et la batterie que l’enfant aux talents précoces applique au rythme du Soft-Rock qu’elle a pour le moment choisi pour faire frémir ses fans dans les quatre boroughs de New-York : Queens, Manhattan, Brooklyn et Bronx. Suffisamment impressionnant pour qu’on conclue qu’avec toutes ces prouesses, Mabou paraît programmée par la nature pour un long et grand voyage dans le monde de la culture et du spectacle, voyage dont ses parents lui ménagent d’ailleurs la monture.
Des parents qui lui ménagent sa monture
« Il n’est pas facile d’abriter sous son toit, un enfant surdoué » confie la mère de Mabou, car, dit-elle, « on est obligé de prendre ses responsabilités ». En effet, le multi-talent à l’expression précoce de Mabou, n’a pas laissé indifférents les « testeurs d’intelligence », très friands de pareils « phénomènes » aux USA. À l’expérience, les conclusions étaient évidentes : Mabou est un « enfant surdoué ». Décidément, Mabou est une « âme bien née ». Alors, les parents, pour « prendre leurs responsabilités » comme le disait sa mère, ont pris des dispositions pour entretenir le génie et le faire grandir. La première initiative fut de lui créer « un home school », pratique permise aux USA, où des parents qui ont pu se donner les moyens, reçoivent l’autorisation de « créer une école à la maison » pour leurs enfants. C’est certes très coûteux, mais pour les deux parents de Mabou, aucun prix n’y était plus grand. Et aujourd’hui, la petite, dans un environnement pédagogique exceptionnellement équipé et décoré, reçoit à domicile ses cours de la quinzaine de professeurs qui l’encadrent dans toutes les disciplines officielles prescrites, et aussi dans les sept langues qu’elle parle et écrit, ainsi qu’en musique dans son expression instrumentale et vocale… mais également de danse. Cela « sent » un calendrier surchargé pour « un si jeune âge », pourra-t-on dire ! Mais c’est sous-estimer l’une des qualités inhabituelles dont jouit notre « enfant » qui, en vérité, semble, ignorer les limites. Puisque, malgré tout cela, la natation, le tennis et le Kung Fu sont de ses apprentissages… A ceux qui, quelque fois lui demandent ce qu’elle voudrait faire plus tard avec tout ce cumul de talents, la petite dans une innocence pleine de candeur, leur répond : « Je voudrais être chanteur et acteur de cinéma ! »
Beau présage ! et, visiblement, la petite Mabou veut et peux voyager loin ; normal qu’activement avec ses parents, elle ménage sa monture ! Si vous êtes un Thomas de la Sainte Bible, qui veut voir, toucher… avant de croire, alors, googler ou youtuber simplement « Mabou Loiseau » et vous nous en rendrez compte !... « Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années ». Bon voyage, petite Mabou, dans le monde de l’art et de la culture !
Abalo Essrom KATAROH
(New York)
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