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Accueil du site > Culture & Loisirs > Culture > Mon Top 10 de l’histoire du cinéma

Mon Top 10 de l’histoire du cinéma

Voici un classement totalement subjectif qui évolue avec les années, le classement de « mes » meilleurs films.

Vous remarquerez qu’il s’agit d’œuvres anciennes réalisées avant 1960.

Bien sur beaucoup d’excellents films ont été tournés depuis cette époque, mais j’ai tendance à penser que les réalisateurs modernes doivent beaucoup à leurs prédécesseurs, et que par conséquent, leur oeuvre ne serait pas aussi prestigieuse sans leurs illustres aînés.

Une réflexion basée sur l’aveu de certains grands réalisateurs. Et puis ce parti-pris possède le mérite de rendre hommage à un cinéma que les plus jeunes connaissent peu ou pas.

Voici donc mon top 10 :

1 « La vie est belle » (1946) de Frank Capra.

Attention, rien à voir avec le film de Roberto Benigni de 1998. Le film de Frank Capra est considéré comme l’un des meilleurs de l’histoire du cinéma. Un chef-d’oeuvre de tendresse et d’humanisme.

2 . « The Shop Around The Corner » (1940), d’Ernst Lubitsch.

Comme toujours avec Lubitsch, beaucoup d’humour bien sur. Mais il y a en plus dans « The Shop Around The Corner », une grande sensibilité, une délicieuse mélancolie, un charme slave (l’action se situe dans un pays d’Europe centrale).

Lubitsch nous montre des êtres ordinaires sur leur lieu de travail, qui naviguent entre la menace qui pèse sur leur emploi et leurs histoires de cœurs.

Un chef-d’oeuvre.

3. « Les Lumières de la ville » (1931) de Charles Chaplin.

Chaplin alterne comique pur et mélodrame avec un talent et une facilité inégalable.

Orson Welles n’avait de cesse de répéter que « Les Lumières de la Ville » était le plus beau film de tous les temps.

4. « Le corbeau » (1943) de Henri-Georges Clouzot.

Le pouvoir de Vichy trouvait que le film montrait une image bien trop sombre de la France. Ce fut le même constat du coté de la Résistance, d’autant plus que Clouzot travaillait pour la Continental, compagnie de cinéma régie par l’occupant allemand.

A la Libération, le réalisateur se vit interdire à vie toute activité cinématographique dès juin 44 (cette peine fut finalement réduite à deux ans).

Clouzot n’était ni collabo, ni résistant, il était avant tout un misanthrope.

Personne n’a oublié la scène scène métaphorique de l’ampoule, ou personne n’est tout blanc ou tout noir. Elle résule à elle seule l’esprit du film et celui de Clouzot.

5. « Eve » (1950) de Joseph L Mankiewicz.

Ambition, trahison et manipulation, tout cela dans le milieu du théâtre et avec un casting de rêve.

Mankiewicz est géniale derrière la caméra. Ses dialogues atteignent des sommets. Un pur chef-d’oeuvre du cinéma.

6. « La Rivière Rouge » (1948) d’Howard Hawks.

Mon western préféré.

L’histoire d’un cow-boy et son fils adoptif, incarnés par John Wayne et Montgomery Clift.

Au fil du film le fils prend le dessus sur le père, il en va de même sur le jeune acteur qui est juste prodigieux de naturel dans son premier western.

Ne pas oublier le rôle important de la seule présence féminine. Comme souvent chez Hawks, elle est essentielle.

7. « Chantons sous la pluie » (1952), de Stanley Donen et Gene Kelly

Vous avez le cafard, vous avez un ami qui fait une dépression. Ne vous inquiétez pas, j’ai la solution.

Visionnez ce film est tout ira pour le mieux.

Des chansons d’une qualité rare que nous connaissons tous, énormément d’humour, des chorégraphies magnifiques. Bref la comédie musicale qui rend heureux.

8. « La Grande illusion »(1937), de Jean Renoir.

Pour comprendre toute sa force, rappelons ce que disait Goebbels de ce film qu’il fit interdire en Allemagne en le désignant comme « ennemi cinématographique numéro un ».

Un film qui garde toute la force de son message aujourd’hui encore.

9. « Rebecca » (1940) d’Alfred Hitchcock.

« L’Ombre d’un doute », « L’Inconnu du Nord-Express », « Une Femme Disparaît », « La Mort Aux Trousses »…. Il y a tant de films du maître du suspense que j’ai adoré qu’il serait profondément injuste qu’il soit absent de ce classement.

Alors lequel choisir ?

Le premier film américain d’Hichcock, « Rebecca », une adaptation d’un roman de Daphne du Maurier.

Dans Rebecca on est à la limite du fantastique. Du mystère, du romanesque, une réalisation prodigieuse. Et puis il y a Laurence Olivier et Joan Fontaine. A voir et à revoir.

10. « La Prisonnière du désert » (1956) de John Ford.

Considéré par beaucoup comme le meilleur western de l’histoire du cinéma.

Un film admiré par tous, même les réalisateurs français de la nouvelle vague. Ce film est aussi l’un des préférés de Scorsese.

 

J’aurai pu aussi inclure « Casablanca » (1942) de Michael Curtiz, « Mr. Smith au Sénat » (1939) de Capra, « La Splendeur des Amberson » (1942) d’Orson Welles, « Trois camarades » (1938) de Frank Borzage, « Les Sept Samouraïs » (1954) d’Akira Kurosawa…

 


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23 réactions à cet article    


  • Piere CHALORY Piere CHALORY 8 avril 2017 19:50

    Subjectif classement forcément, why not, j’y rajouterai La dolce Vita ou Orange mécanique, dans des genres très différents... j’ai une anecdote sur Clouzot, qui a réalisé d’autres films excellents que le Corbeau, les diaboliques par ex, B.Bardot dit dans un doc récent que Clouzot était un ’’pervers, un sadique’’, qui n’hésitait pas à frapper les acteurs, trices, qui sortaient des prises en larmes...


    Un jour il l’a violemment giflée, et Bardot ne s’est pas démontée et lui a rendu vertement sa baffe en lui disant ; 

    ’’vous apprendrez qu’on ne me gifle pas !’’

    Clouzot, surpris de la réaction de BB, lui a foutu une paix royale pendant la suite du tournage.

    • fatizo fatizo 8 avril 2017 22:12

      @Piere CHALORY

      Mon film italien préféré est « Le voleur de bicyclette » de Vittorio De Sica.
      Je connaissais l’anecdote entre Clouzot et Bardot.
      C’est sur qu’avec BB, Clouzot était tombé sur un os.


    • Surya Surya 8 avril 2017 20:33

      J’aime beaucoup ce genre d’articles car ça permet de comparer ses goûts et ses choix avec ceux des autres. 


      Je suis d’accord avec tous vos films ou presque :

      Personnellement je préfère le Dictateur de Chaplin, pour son côté politiquement engagé, et son hymne à la défense des droits de l’homme et de la dignité humaine. La dernière scène est à tomber par terre. 

      Pour ce qui est d’Hitchcock, mes favoris sont : Le Rideau Déchiré (j’aime énormément le ciinéma de guerre froide, il y a une ambiance unique et inimitables dans ces films) et aussi Lifeboat. Quand on pense qu’il a réussi à faire un film entier qui ne se passe QUE dans un canot de sauvetage, et où l’absence de changement de décor n’a aucune influence négative sur l’intérêt du spectateur... un pur chef d’oeuvre !

      J’aurais ajouté à la liste Les 400 Coups, ainsi que La Nuit Américaine (film de 73, plus récent que les vôtres, donc) de Truffaut, Noblesse Oblige de je sais plus qui avec Alec Guiness, et tant d’autres...



      • fatizo fatizo 8 avril 2017 22:54

        @Surya

        Je vois que vous avez compris le but de cet article. Au delà de montrer mes films préférés cela permet de comparer les goûts de chacun.
        J’ai vu « Noblesse oblige » il y a environ 2 ou 3 ans, un excellent film de Robert Hamer (merci wiki).
        Je comprends très bien qu’on puisse comprendre « Le dictateur ». La scène avec le globe et la scène finale sont exceptionnelles, mais je ne voulais choisir qu’un film par réalisateur. Et puis j’aime tellement la scène de City Lights que j’ai choisi. Pour moi elle est un véritable petit film à elle seule.
        Et le final n’est pas pal non plus.
        Pour Hithcock, j’ai vu pratiquement tous ses films parlants. 
        C’est assez bizarre, ses 2 films qui reviennent souvent en tête dans les classements des meilleurs films sont « Vertigo » et « Fenêtre sur Cour », mais personnellement je préfère ceux que je cite dans mon article.
        J’aime beaucoup par exemple « Une femme disparaît », très fort politiquement pour un film de 1938. Il dénonce l’esprit munichois qui régnait à cette époque face au danger nazi .
        Merci pour le lien sur Truffaut. 
        Il a réalisé de très grands films.
        Je ne sais pas si vous le connaissais, mais il y a peu j’ai découvert « La peau douce ». Un très beau film avec la magnifique François Dorléac, dans un rôle très différent de ce qu’on avait l’habitude de voir d’elle.
        Dans mon classement des meilleurs films français que je prépare, il y a un film de Truffaut.

      • Surya Surya 9 avril 2017 00:21

        @fatizo


        Une Femme Disparaît c’est excellent en effet. Je l’ai vu il y a longtemps, je me souviens vaguement d’un signe tracé sur la buée d’une fenêtre ? A moins que je confonde avec un autre film.

        Fenêtre sur cour, c’est très bien, mais personnellement je ne le mettrais pas non plus dans ma liste de films préférés. Je ne sais pas pourquoi, peut être est ce le fait que le film soit en couleur, ça lui enlève un peu de mystère et de suspense. Le suspense, je le vois toujours en noir et blanc.

        La Peau Douce je l’ai également vu il y a longtemps, et j’avoue ne pas bien m’en souvenir. Je me souviens toutefois de cette scène que vous avez mise en lien. Il faudrait que je le revoie. 

        A part les « Antoine Doinel » que j’aime bien mais que je considère un peu comme des sortes de récréations, des pauses pour reprendre son souffle entre deux grands films, j’aime tout ce qu’à fait Truffaut. 

      • fatizo fatizo 9 avril 2017 00:55

        @Surya

        En effet, c’est bien dans « Une femme disparaît » qu’il y a ce passage ou la dame agée écrit quelque chose sur la vitre du train . 
        Sur les « Antoine Doinel » , j’ai beaucoup de mal avec J.P. Léaud que je considère comme un très mauvais acteur. Une occasion pour rendre hommage à la charmante Claude Jade disparue bien trop tôt.

      • cathy cathy 9 avril 2017 00:27

        Bonsoir

        J’ai revu il y a quelques jours Rebecca, ce film est vraiment un chef-d’oeuvre.

        • fatizo fatizo 9 avril 2017 01:01

          @cathy

          Et dire qu’Hichcock n’aimait pas beaucoup ce film .
          L’un de ses préférés était « L’ombre d’un doute », que j’adore aussi.

        • velosolex velosolex 8 décembre 2017 18:51

          @cathy

          Je viens de relire le roman, ce qui m’a donné envie de revoir le film, et d’écrire un article. L’univers de Du Maurier, autant que le personnage sont envoûtant. Si elle trouvait l’adaptation d’Htich réussie, par contre elle sera moins satisfaite du traitement de « l’auberge de la Jamaïque », et des « oiseaux »...Pour ce dernier, je ne la comprend pas trop car le film est magnifique.
           Sans doute qu’un écrivain n’est pas le meilleur juge pour décider si une adaptation de l’une de ses œuvres est réussie. Sans doute y place t’il une projection personnelle trop importante....Je me suis aperçu que le livre ne mentionne pas une seule fois le nom de la narratrice, au bénéfice d’une morte, qui hante la maison, tant qu’on croit à son pouvoir.
          Mais qui est le véritable héros du livre. Rebecca, ou la maison ? L’un éteint, l’autre ne peut plus exister qu’en s’embrassant. 
           Les thèmes de Rebecca se multiplient en poupées gigogne, et plongent dans le non dit et l’inconscient. C’est à tort qu’on ne lit plus cette femme énigmatique. 

        • velosolex velosolex 8 décembre 2017 18:55

          @fatizo
          Il n’aimait pas trop non plus Du Maurier, qui lui rendait bien ; 

          Peut être n’aimait il pas trop les femmes de tête, en fait...
          A sa façon, Hitch ressemblait beaucoup, dans sa perversion, et sa direction d’acteurs, à cette Miss Sanders, la gouvernante corsetée de Rebecca, inflexible matrone, revêche, cinglante, qui personnifie la mémoire de Rebecca, son idole morte, sans cesse renvoyée à la figure en tant que modèle, à la jeune innocente.....

        • ergdor ergdor 9 avril 2017 10:48

          Merci pour ce florilège que je vais revisiter. Un bol d’air frais pour un dimanche pluvieux et un peu d’éducation populaire comme je l’aime.

          Un petit tour vers l’Est avec Satyajit Ray « le salon de musique », par exemple. Kurosawa « Rêves », prémonitoire de Fukushima notamment, mais aussi « après la pluie » si délicat, si poignant.

          Plus près, Sokourov et « l’arche russe », une performance : 1 seul plan de 96 minutes !

          Et pour finir 2 films d’une terrible actualité : en Finlande, Aki Kaurismaki « l’homme sans passé » et en Turquie Yilmaz Güney avec « Yol ».

          Ce serait tellement bien qu’on puisse voir tout ça à la télé !

          ... mais je rêve.


          • Francis, agnotologue JL 9 avril 2017 14:45

            @ergdor
             

             « L’homme sans passé » a été diffusé récemment à la télévision française.

          • ergdor ergdor 9 avril 2017 16:42

            @JL
            alors au temps pour moi :)
            tout n’est pas si pourri au royaume !


          • Francis, agnotologue JL 9 avril 2017 19:23

            @ergdor
             

            Arte est capable du meilleur comme du pire.

          • claude schwab 10 avril 2017 11:36

            Bon choix mais le grand cinéma japonais aurait dû figurer au moins une fois : à choisir entre les chefs d’oeuvre de Mizoguchi, Kurosawa, Ozu, Naruse...


            • fatizo fatizo 10 avril 2017 13:16

              @claude schwab

              J’ai vu « Les Sept Samouraïs » lorsque j’avais environ 20 ans , un vrai choc. J’ai hésité à l’inclure. Si j’avais pu le revoir il aurait surement fait parti de ce choix.
              Mais comme nos goûts à 20 ans ne sont pas toujours ceux de 50.
              Je le cite à la fin de l’article.


            • bob de lyon 10 avril 2017 13:58

              Choix… intéressant et rien à redire.

              J’oscille toujours entre les comédiens (…nes) et les réalisateurs… mais bon…

              - « La vie est belle » de Frank Capra. Un très bon film…

              - d’Ernst Lubitsch, je préfère : “to be or not to be”,

              - de Charles Chaplin : « Les temps modernes »,

              - « Chantons sous la pluie » de Stanley Donen avec Gene Kelly, mais surtout : Madame Cyd Charisse ! Inoubliable ! À vous faire tomber raide amoureux…

              - « La Grande illusion » de Jean Renoir, d’accord à 100 % !

              - « Vertigo » ou « Psychose » d’Alfred Hitchcock ( j’aime tout Hitchcock ) pour Kim Novak et Janet Leigh,  

              - «  La Prisonnière du désert » de John Ford ; c’est vrai que Monsieur Wayne est impeccable et les seconds rôles épatants…  et, comme Eddy Mitchell :

              - « Rio Bravo » pour les même raisons que ci-dessus.

              J’ai envie de poursuivre – mais ce ne sont peut-être pas des chefs-d’œuvre :

              « Bullit » pour la musique de Lalo Schifrin et Steve Mac Queen qui réinvente l’acteur de cinéma muet (il doit dire quarante mots !) ;

              « Hombre » ou « L’Arnaque » pour le regard bleu de Paul Newman et le sourire de Robert Redford…

              Mais aussi « Key Largo » : Bogart - Mme Bacall - E.G. Robinson : quel trio !

              Le champ n’est pas clos et vive le cinéma…

              Allez, parlez-nous encore de la boîte à images…


              • velosolex velosolex 10 avril 2017 14:44

                Faire une liste de 100 films serait moins injuste et discutable. Je n’ai pas vu un seul film de Kurosawa dans votre hit parade, comme dit swab...Ni des frères coen. « La nuit du chasseur », de Laughton pour moi, c’est le chef d’oeuvre absolu. Et que dire de John Huston, dont j’aurais du mal à différencier la qualité des « misfits », de « la nuit de l’iguane », ou de « africa queen, sans parler des autres.Dans le cinema français, les films de Carmé sont au premier plan. Truffaut manque à la boutique avec ces Vannel. En allemagne, Murnau et Fritz Lang sont indéboulonnables. L’italie n’en parlons pas....Risi, avec » le fanfaron« . Antonioni surtout un géant avec des films comme »L’aventura« avec la belle Monica Vitti, qui restent des films bluffant de modernisme. Blow up.....Dingue....Et Fellini, le maestro...La dolce vita....La strada.....Amacord que j’ai du revoir dix fois depuis mon adolescence, un film que j’enmenerai sur une ile....Dix films, et pas un de ceux là dedans, s’en parler des autres dont je pourrais continuer la liste en ajoutant Bunuel, Simack, Orson wells, et tutti quanti ;..Un dernier pour la route » le troisième homme" de Carol Reed, avec Orson wells comme acteur..Un film datant de la fin des années 40 et bluffant de modernisme dans un vienne interlope. Avec la musique de Korda.. Je pense qu’on peut le voir en streaming facilement . Ouai 

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                • kalachnikov kalachnikov 10 avril 2017 14:54

                  ’Ordet’ de Dreyer ? Plus récent, ’pages cachées’ de Sokourov ? ’Les raisins de la colère ’ de Ford ?

                  Il n’y a quasiment que des films américains dans ton palmarès.


                  • kalachnikov kalachnikov 10 avril 2017 15:22

                    Le ’Napoléon’ de Gance, la première partie en particulier, concernant la Révolution française, avec Antonin Artaud incarnant Marat (il joue aussi dans le ’Jeanne d’Arc’ de Dreyer)


                  • kalachnikov kalachnikov 10 avril 2017 15:35

                    Eisenstein, en particulier ’la grève’. Et Leni Riefenstahl.


                  • laertes laertes 10 avril 2017 15:13

                    Belle liste fatizo. La vie est belle est un pur chef-d’oeuvre et la rivière rouge est un très grand western. Perso j’ajouterais« Vertigo », « Citizen Kane », « 2001.. ». En parlant des films magnifiques de Capra vous avez peut-être oublié de mentionner le doux/amére « vous ne l’emporterez pas avec vous ». D’accord avec vous sur « le voleur de bicyclette » de De Sica. C’est un film intemporel et poignant. J’y ajouterais aussi un des films de Tarkowsky : le quel ? c’est difficile ! Ils sont tellement hors du temps et de l’espace. Peut-être Stalker.


                    • velosolex velosolex 10 avril 2017 17:59

                      @laertes
                      Tous les films que vous citez c’est vrai sont d’autres chefs d’oeuvres ; En fait dix films c’est impossible, trop restreint. Comme dix chefs d’œuvres de la littérature, ou dix peintures. Un mérite à l’article il nous fait rêver, regarder dans les rétros. On y voit Monica Vetti, et anita Ekberg. Louise Brooks n’est pas mal non plus. Manara en fit son égérie. Parfois je les cherche sur le trottoir d’en face. Mais je n’y vois passer que des Bachar. Et des fillon. Qu’est ce qu’on passera l’an prochain sur les écrans, quel rêve nous fera oublier les cauchemars ambiants. J’ai vu dernièrement « Harmonium », un film japonais, un chef d’oeuvre totall, dans leur grande tradition sociale, , dont je trouve beaucoup de points commun avec le néo réalisme italien. 

                      Harmonium (film 2016) - Drame - L’essentiel - Télérama.fr

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