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Rencontre avec un des meilleurs chanteurs italiens

Entretien de Francesco Raiola et Angela Verrastro

L’entretien avec le chanteur Vinicio Capossela a été très différent par rapport a tous les autres.
 
Cet entretien on devrait la voir, vivre, dans ce qua la littérature est réductive. On perd tous les gestes que la chanteur fait pendant qu’il explique, on perd ses pauses, les silences, les réflexions sur chaque mot, ces sourires qui semblent un peu des grimaces/ les demi sourires. Capossela raconte, il suit une pensée, puis il l’abandonne pour un autre selon lui plus intéressante, donc parfois les phrases ne terminent pas, et j’ai préféré ne pas toucher cette manière de raconter…
 
Cet entretien n’est pas une vrai entretien/ Aussi parce que celle-ci n’est pas une interview véritable, mais une histoire qui raconte tous les albums de Capossela, sa philosophie de musique, ses maîtres, Matteo Salvatore et ses idoles, Celentano, sa propre terre et évidemment « Da Solo », le dernier travaille de l’artiste né à Hanovre, vécu en Emilia, mais avec origine bien solide dans la terre irpina (Sud de l’Italie ndlr), dans cette Valle dell’Ofanto pour lequel il a dépensé beaucoup… .
 
On l’a rencontré dans son hôtel à Paris, à l’occasion du concert qui a tenu à l’Alhambra, espace historique dans lequel, comme le même Capossela rappelle, Edith Piaf a aussi chanté. Capossela a été en tour pour l’Europe avec son show, un spectacle musico-théâtral véritable dans lequel il est entouré de personnages étranges et instruments étranges (Mighty Wurlitzer theremin, toy play…).
 
Qui suit c’est concert live, savent que Capossela réserve toujours des surprises et son Side Show « c’est une baraque où ils étalent les choses grotesques, les choses monstrueuses, les choses… la vache aux cinq pattes, la femme barbue, et ceci est un peu une métaphore de nous, de nos monstruosités » ; voilà, synthèse parfaite de celui-là qui est le concert.
 
La sale est pleine de gens, il y a beaucoup de voix Italiennes, mais pas seulement, le public est attaché à la scène le show est divisé en deux parties. La premier dédiée au dernier album, plus intime, piano au centre et freaks tout autour. L’air est rêveur, on respire une atmosphère étrange, calme, on s’aperçu, même live, l’influence américaine, très proche au Calexico, groupe avec lequel le chanteur a collaboré dans ce dernier album.
 
Atmosphère country-folk et fantômes tout autour, air de saloon infesté et présentations rigoureusement en français (« je m’efforce pour temps de préparer ma présentation et je cherche de mettre a son propre aise tous le monde, c’est vraiment amusent chercher de traduire en autres langages certaine chose comme par exemple maiale a due teste, ici par contre ca devient cochon avec deux têtes  »). 
 
La pause est confiée à la magie du Prestidigitateur Wonder et Jessica Amour avec leur spectacle d’illusionnisme et comique. Mais dès qu’il revient en scène Capossela, la musique change et on danse. “Maraja”, “Canzoni a manovella”, “Cha Cha della Medusa”, “Ballo di San Vito”, une version influencée par le groupe Calexico de “Che coss’è l’amor” (« la seul chanson qu’il peut avoir son usure est “Che coss’è l’amor”, mais je cherche de la faire toujours dans une façon spéciale ») et après il joue quelques-uns des succès de ses albums, jusqu’à le l’hommage final à Modigliani. Un Modì poignant, en solitaire et avec une salle en silence rigoureux, termine le show.
Mais elle est peut-être arrivée l’heure de laisser la parole à Capossela :
 
La fable, la mythologie, personnages étranges remplisse tes chansons. Comment tes personnages naissent et il sort d’où tes histoires ?
Ah ! Question complexe. Le premier album est né quand j’avais 23-24 ans, quand je l’ai enregistré et ils sont chanson surtout de… je rêvai d’être un chanteur confidentiel, tu sais ce dont on pense « à lui c’est arrivé » et moi je faisais de manière qu’il me succédât. 
Le premier « All’una e trentacinque circa » était un disque d’expérience direct, donc chanson d’amoure, de rue, le départ, la nuit, les pièces où on joue, la bière… toutes ces choses… après … les premier trois disques portent un peu sur celui-ci, même si la géographie c’est peux élargir. 
 
« Il ballo di San Vito » en ’96, a été par contre le premier album dans le quel j’ai commencé à me rapprocher à la production, donc avec qui faire et tous ses choses, doucement on connaît les musiciens plus adapte et après l’écriture est plus… enfin c’est le fait pendant qu’il succède, « avec la main dans le feu je décris ce que c’est le feu » donc ses un disque qui a puisé complètement de l’expérience directe. C’est un album inscrit vraiment sur les rues de l’Italie ouvertes comme des blessure, puis les disques qui sont venus après « Canzoni a manovella », « Ovunque proteggi », sont des disques dans lesquels l’expérience plus général de l’homme à superposée l’expérience personnelle. « Canzoni a manovella » c’est un album de grande relation avec l’histoire et la géographie Européenne du 900 ; Bardamù le pièce d’ouverture, est une chanson inspiré à Celine, puis il y à la guerre, la deuxième guerre, et les trains… histoire, géographie et sciences de l’Europe du XX siècle.
 
« Ovunque proteggi » par contre, il a élargir ultérieurement ce domaine, parce que c’est un disque qu’il puise beaucoup au mythe au sacré, il est profondément enraciné dans la Méditerranée, comme lieu du mythe et de l’épiphanie, du sacré. Mais aussi une chanson comme « Moska valza » est vraiment intéressant vu dans la perspective de la troisième Rome, justement comme l’Ivan Groznyj entendait, Ivan le Terrible, « deux Rome sont tombées, une quatrième ne se lèvera pas ». 
 
 « Da solo » est un album qu’a une voix plus personnelle, il est de confidence très directe. Cette expérience, par contre, prends beaucoup dans la contemporanéité et il n’a pas seulement l’Italie comme inspiration mais aussi l’Amérique, où l’Amérique est une sorte de fond scénique – comme Sergio Lion l’utilisait - une espèce d’endroit mythique dans lequel raconter les histoires, pour arriver à la dernier chanson que j’ai écrit qu’il est «  La faccia della terra » qui, oui, il vient des récits de Sherwood Anderson, « Racconti dell’Ohio », mais en réalité ils m’intéressent parce qu’ils sont très semblables aux événements qui traversent une petite communauté comme celle dans laquelle je suis grandi, Scandiano, en province de Reggio Emilia et ensuite, à la fin, on peut utiliser le monde aussi comme une acception plus vaste comme prétexte pour parler des chose que tu connais très bien, et donc, enfin, en répondant à la question, les territoires de lesquels on par sont très différents, soit ceux-là personnels, soit le plus vastes, mais ce que j’ai essaie de faire tout le temps est de rendre un événement épique, la soustraire au présent et la mettre dans ce temps, sois disant mythique, ce que les grecque appeler le temps du mythe.  
 
Tu t’es défini immigré (au programme tv « Satyricon » de Luttazzi) combien de ton être de plus endroits (né à Hanovre, vécu à Scandiano mais avec des racines fortes irpine) a contribué à ta musique. Tu as toujours dit d’être fasciné par Adamo, chanteur des immigrés pour antonomase…
Adamo fait partie, avec Celentano, de la colonne sonore qui a accompagné cette génération extraordinaire qui n’a pas pris le transatlantique pour aller en Amérique et elle à émigré de l’Italie du sud au nord Europe, dans les années 60 ; gens comme mon père, par exemple, que de Calitri (Avellino ndr) il est allé premier en Suisse et puis en Allemagne.
A ce temps les disques que j’écoutais quand j’étai petit – parce qu’ils étaient ceux qui restaient comme reste de sa grande jeunesse, mais pas seulement de mon père mais de tout cette génération – ils étaient ceux, dans lesquels il détachait l’œuvre de Salvatore Adamo.
De « La nuit » j’ai aussi fait un cover, ce sont des chansons extraordinaires Je l’ai même rencontré Salvatore Adamo, un artiste toujours en activité, une belle personne et maintenant il viendra même à notre concert à Brussels. J’ai eu la possibilité rencontrer aussi Celentano, parce qu’il y a trois mois il est sorti avec son nouveau disque et nous avons fait une interview, une conversation. Evidemment le fait d’avoir des racines très fortes, que cependant ils n’ont jamais trouvé la manière de s’enraciner… je viens d’une famille qu’elle c’est toujours portée cette motte attachée aux pieds dans une place où cette terre n’était pas autour, donc tu t’habitues à porter ce qui as de plus enraciné toujours derrière sans en faire vraiment partie, celui-ci a été ma manière de vivre la racine et le fait d’appartenir, mais ne pas être vraiment d’en lieu. 
 
Tu as cité Celine. Comment est ton rapport avec la France ?
Littéraire, très littéraire, dans le sens qui j’ai aimé beaucoup d’écrivains, poètes, particulièrement Celine, mais aussi Alfred Jarry, son pataphysique… j’ai toujours aimé, pour un période particulièrement, pendant « Canzoni a Manovella », j’ai beaucoup aimé ce genre qu’il existe ici en France, la pataphysique, le grotesque, le gros connerie, l’amour même pour les inventions que ne fonctionnent pas, pour le brevet, la science, les pionniers du vol au début du siècle. 
Les autres sons plus affectionné aux grands poètes de siècle avant. L’artiste que j’aime le plus du début, est un personnage mixte, un grand artiste Italien qui a trouvé sa maison et son art ici, Amedeo Modigliani. À lui il est dédié mon deuxième album « Modì », parce que Modigliani pour moi à surtout incarne la vraie idée bohémienne qu’encore, je crois, intéresse qui se rapproche à cette ville venant de l’Italie ou de n’importe quel autre part du monde.
 
Et l’approche avec le public étranger, par contre ?
La chanson selon moi n’a pas de problèmes de communication.Quand je fais un spectacle à l’étranger je me préoccupe beaucoup de tâcher d’apprendre les instruments qui me servent pour le spectacle, faire une bonne présentation en allemand par exemple en Allemand, même avec le papier dans les mains… se sont langue fait pour le spectacle (il fait les présentations en allemand, ndr), et puis l’allemand est parfait pour faire cabaret, même le français… les chansons on peut bien les traduire. Pour un certain temps on a aussi fait l’essai de faire des traductions. Mais selon moi l’émotion d’une chanson fait live ca suffit… ; ce que plus conte est établir le contact avec le publique, c’est l’entertainment qui a nécessité de parler un peu cette langue et c’est une chose très amusent, quelconque soit cette langue je tâche toujours de diviser la partie de l’amuseur qui dirige le spectacle à ce qui est l’auteur des chansons, donc je fais l’effort de préparer pour temps un canevas et de faire sentir tous le monde à l’aise même à celui qui ne connaît pas la langue.
 
Mais si le spectacle est au Cirque Barnum, que ce que reste aux "Side Show" ?
Le side show, c’est une métaphore, c’était la chose qui était juste à côté du cirque. Dans le cirque il y a les artistes, les trapézistes, les clowns, gens qui as étudié, qui se prépare pour le spectacle, des vrai artistes, par contre le Side Show, le freak show est une baraque où ils étalent les choses grotesques, les choses monstrueuses, les choses… la vache aux cinq pattes, la femme barbue, et ceci est un po’ une métaphore de nous, de nos monstruosités. « Da solo » (montre le disque, ndr) est un album que j’ai voulu faire avec une graphique de side show, grâce à le très beau travaille de Jacopo Leone qu’il s’occupe de la graphique, mais c’est aussi mon camarade d’aventure imaginaires. 
Lui il a pensé à cette chose, l’homme avec la figure déformée par les histoires, the story faced man : c’est-à-dire les histoires des son imaginations, ce qui est dedans lui émergent dans la figure, il voudrait bien c’en débarrasser, mais il ne peut pas, il lui reste attacher comme à le loup-garou reste attacher la barbe, les poils, et ensuite même s’il y n’a rien dans ce disque du cirque ou de Side show, il y a le fait que il fait sortir du profond des histoires intime, qui nous rend toujours un peu monstrueux, dans le sens de l’attraction, on fait voire quelque chose, par contre dans le disque « Ovunque proteggi » il avait des vraies monstres : la Méduse, le Minotaure, et le spectacle est un peu le point d’union entre ces deux choses, les attractions intérieures et extérieures, celui-ci est ce que je veux dire avec Side show, que après devient « Solo show », qu’il a la même quantité de lettres mais il a un sens un peu différent, et c’est le spectacle que on a fait à partir du 31 octobre et que on ferait ici. 
 
Celui-ci est ton album plus intime. Qu’est-ce que tu cherchais quand tu l’écrivais ?
Je ne cherchais rien, je trouvais.Je commence à avoir un certain âge dans lequel beaucoup des nœuds de la vie ce renouent, dans le sens que tu sait d’où tu est parti, puis tu as fait le tour du monde et les nœuds sont encor là… . Le titre « Da solo » fait référence à l’individualité comme séparation du reste qui est l’introduction de la comparaison.
 
Tu as cité Celentano, un de tes maîtres, comme ton maître est même Matteo Salvatore, tu sais que pour nombreux tu es devenu leur Matteo Salvatore, une espèce de guide.
Il y a une différence énorme entre Celentano et Matteo Salvatore. Celentano est un homme de spectacle, moi je le cite pour le fait que, par exemple, les italo-allemands, les italo-suisses ont eu Celentano et Adamo, comme les italo-américains ont eu Frank Sinatra et Tony Bennet. 
Par contre avec Matteo Salvatore c’est une autre question, lui c’est un vrai maitre. Je dois reconnaître qu’il est si peu connu en Italie que j’ai dû le connaître en France, il y a quelque ans j’ai travaillé avec un musicien français, Philippe Eidel, que a fait des sonnets de Michelangelo et moi j’était un des interprète, et chez lui il ma montrer l’édition française de « Lamento dei mendicanti » édite par Chant du monde ou Harmonia Mundi (c’est Harmonia Mundi ndlr) et seulement après je suis allé a Foggia, où il vivait. Trouver les disques de Salvatore et un peu difficile, il faudrait faire quelque chose, parce que Salvatore a été à mon avis le plus grand chanteur de l’exploitation, de la misère que il y a eu en Italie, c’est le dernier témoin de la civilisation paysanne vécue en termes d’exploitation réelle. Une chanson comme « Padrone mio ti voglio arricchire » il doit être… . Il y a un autre grand artiste que j’ai eu occasion de connaître, il s’appelle Enzo del Re et lui il est encore en vie – Matteo Salvatore nous a malheureusement laissé en été du 2005. Enzo del Re est de Mola di Bari et j’avais seulement attendu parler de lui, mais récemment j’ai eu l’occasion de le connaître, je l’ai invité à ce concert que nous avons tenu à Parme pour le 25 avril et cela m’a permis de découvrir une autre grande voix, celui qui a écrit « Lavorare con lentezza » (il se perd un peu dans ses pensées, ndr)… c’est un personnage extraordinaire. Maintenant, on fait le concert du premier mai en Italie (un gros concert organisée par les 3 syndicats plus grand d’Italie ndr), qu’est devenue maintenant de plus en plus une chose de rock star, puis gens comme Enzo del Re ou Matteo Salvatore n’ont jamais été appelés sur cette scène, et c’est des gens qui on vraiment écrit sur les sujets qui devraient intéresser la fête des travailleurs… . 
 
...est-ce que celui-ci est le motif pour lequel tu as voulu faire, cet été au Formicoso (dans le Sud de l’Italie ndlr), une de tes terres d’origine, peu chanson de ton répertoire et dédier tout aux chansons de cette terre ? Pour cet attachement à la terre, à tes racines ?
Nous avons fait ce concert pas pour célébrer ma musique, mais pour la terre qui va être violé, je ne suis pas d’accord avec la politique des décrets qu’il concerne le milieu, l’urgence des ordures en Campania et particulièrement, dans ce ca, ca me touche directement, parce que ils ont fait un choix scélérat, faire un grand terril dans un grenier … parce que depuis toujours l’Alta Irpinia a été terre d’émigration, donc elle a été pillée de sa principale ressource, c’est à dire l’humanité qui la vives et maintenant en conséquence de celui-ci pour le fait donc qu’il y à une basse densité de population on lui réserve le traitement d’en abîmer le territoire pour cette basse densité, donc pour l’opposition insuffisante qu’on peut trouver sur le champ pour écouler les ordures de la métropole.
 
Celui-ci est particulièrement grave parce qu’un territoire comme celui-là a vraiment dans le fait que il est resté sain et intact sa principale ressource, pas comme les hangars qui ont construit après le tremblement de terre du 1980 que et ils ont abandonné après trois ou quatre ans de contributions nationales. Le seul critère sage pour la richesse de l’Alta Irpinia est le fait qui puisse faire des cultures de qualité, l’agriculture, l’énergie alternative. Ce territoire (l’Irpinia ndr), elle a par exemple été, largement financée par la Communauté Européenne, ils ont construite cet énorme parc éolienne mais au même temps il ne respecte pas les principales lois de l’union Européenne, par exemple celui de d’écouler les ordures correctement ; il ne suffit pas de faire des trous et enterrer la chose pour résoudre le problème des ordures qui produit la société. Nous avons fait un concert qu’il voulait être seulement – et dans ce sens il a réussi - un moment de conscience même pour qui vives là, parce que nous sommes tous bons à nous remplir la bouche de mots cependant nous n’habitons pas là, je n’habite pas là, donc qui est là, a toujours été pénétré par un fatalisme séculaire, donc les occasions comme celles-ci sont occasions positives dans le sens du se retrouver, d’avoir la sensation de ne pas être seule parce que pour le reste il manque chaque type de… .
 
La chose qui m’a blessé le plus est le manque de représentation démocratique d’une position comme celle-là exprimée par un territoire. Les maires locaux exprimaient une position locale… il y n’avait pas là quelqu’un, non plus au niveau provincial, qui porter avant cette cause, malgré il y a eu une grande manifestation, il n’y avait pas un seule politicien, il y’avait personne. Ensuite c’est bon que les chansons doivent avoir le devoir de se faire entendre, mais je pense que les sièges soient ailleurs. De toute façon, en revenant au concert, j’ai tâché de faire seulement les chansons qui parler de la terre… ensuite il y a plusieurs années, que je tâche de faire, et tôt ou tard je ferai, un disque qu’il s’appelle « Canzoni della Cupa », qu’ils sont des chansons qui viennent de cette racine, dont Matteo Salvatore a probablement été le… moi je le reconnais comme un Maître de la liaison qui est entre lui et l’élément irrationnelle qui est la terre, la nature, pas seulement dans le sens bucolique, mais en ce de l’homme, des bêtes. Calvino disait de lui qu’il parle une langue qu’on doit encore découvrir.  
 
Que rapport as tu avec tes chansons ? Est-ce qu’il y a quelques-unes que tu ne supportes plus ?
Dans chaque chanson j’ai mis une partie de moi, c’est ma façon personnelle de rendre la vie transportable… c’est comme ceux qui on une valise gonflable, ils peuvent l’amener avec soi, la gonfler et y trouver une chose dedans, certainement il y à des chansons que ce usure plus que d’autres…je cherche toujours de faire des spectacles qu’ils ont quelque liaison avec la place dans laquelle je me trouve, ca me fait plaisir que le publique a confiance en moi, s’il y à une chanson ou une autre il y à une motivation, il n’y à pas des chansons… la seule chanson qui peut avoir son usure est « Che coss’è l’amor », mais je trouve toujours la manière de la faire spéciale. Dans le dernier spectacle je la fais dans une cage, parce que c’est une chanson que emprisonne, dans le sens que une fois que tu l’as écrit ils te la demandent souvent, alors je la fait dans la cage, mais en la faisant là dedans je me suis enfin donner une réponse. Che coss’è l’amor ? Une prison à vie...
 
Fini le tour tu es en train de travailler sur quelque chose ?
Non, je ne fais pas ce type de travail, je regrette déjà de l’appeler tour… . Je fais des spectacles, j’organise des spectacles, comme il s’organise une œuvre, un film, quelque chose qui a à faire avec la représentation. Dans ce moment on a préparé la représentation de Solo Show qui vient d’une côte de ce disque, mais aussi, naturellement, des précédents, mais qu’il a sa propre scénographie, un monde… c’est un vrai spectacle ! Le spectacle on le fait avec ces critères, on le port en tour, maintenant on l’ai fait dehors de l’Italie. 
 
 
 

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