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Ted Bundy

Portraits : Est une gamme de portraits de personnages ayant marqué leur époque ! C'est une sorte de raccourcie "biographique", privilégiant l'aspect psychologique des personnages. l'exercice étant de donner des informations avec un minimum de mots, c'est un condensé de ce que fut la vie de ces personnages pour mieux appréhender leur quintessence. L’emploi du « Je » permet une intimité subjective qui se voudrait être celle du sujet. Présentation du portrait de ted Bundy

Ted Bundy {JPEG} Je suis né Cowel, ensuite on me donne le nom de Nelson et puis enfin on me donne le nom qui me fera passer à la postérité, Bundy !
Le 24 novembre 1946,selon ce que l'on me dira, Eléanore et Samuel Cowel me donnent naissance, je prends le nom de Théodore Robert Cowel. Triste ironie du sort, "Théodore" signifie "don de Dieu" alors que je resterais pour beaucoup, l'enfant du diable !
Mon père Samuel est un peu spécial, c'est un sacré misanthrope, il n'aime ni les noirs, ni les juifs, ni les catholiques, ni les italiens... il lui arrive de balancer les chats des voisins en les prenants par la queue, il pique des colères terribles, dans la localité il fait peur et à la maison il tyrannise tout le monde, sauf moi et toute ma vie je garderais un respect et un profond attachement et même je m'identifierais à lui. Un jour énervé il a poussé ma soeur Julia dans les escalier car elle n'allait pas assez vite, il aurait pu la tuer. Je l'aime bien mon père, il est parfois bizarre quand il se met à parler avec des êtres invisibles, ma mère Eléanore est un peu plus effacée et la pauvre fait souvent de grosses crises de dépressions et subit des électrochocs. Je suis couvé autant par ma grande soeur Louise que par mes parents et je ne comprends pas pourquoi ma grande soeur décide un jour de partir en m'emmenant avec elle ? Nous partons habiter chez un parent, oncle jack. Nous prenons tous les deux le nom de mon oncle, Nelson et ma soeur m'interdit dorénavant de prononcer le nom de Cowel, je suis maintenant Théodore Robert Nelson ! Oncle Jack est un type formidable, il est professeur de musique à l'université et j'adore le voir jouer du piano, il est si raffiné, si à l'aise financièrement et surtout si intelligent que j'ai envie de lui ressembler, je suis un Nelson comme ma soeur qui elle aussi avait été excellente à l'école ! J'ai déjà en commun l'intelligence des Nelson, il ne me manque plus que la situation sociale. Un an après notre arrivée chez oncle Jack, ma soeur rencontre un cuisiner inculte et balourd, John Bundy ! Elle épouse cet être illettré et il m'adopte, nous partons habiter chez lui et je prends alors le nom de Théodore Robert Bundy ou plus familliérement, Ted Bundy. Il était cuisinier de l'armée, avait un salaire minable... comment pouvait-il espérer que je le respecte, cet imbécile ne pouvait rivaliser avec oncle Jack ! Comme mon père Samuel Cowel, Bundy n'aimait pas les noirs, un jour une famille noire vint habiter prés de chez nous, par défi envers Bundy, j'ai été les saluer. Je défiais souvent mon beau frère, le mari de ma soeur et je recevais des paires de claques mais s'il m'inspirait un sincère rejet, ce n'était pas de sa faute, le pauvre faisais tout ce qu'il pouvait pour que je sois aimé de lui, il ne fera pas de différence entre moi et ses enfants que je considérerais comme mes frères, je l'ai appelé papa au début pour faire plaisir à ma soeur puis je l'ai appelé John et enfin non sans dédain je ne l'appelais plus que Bundy... J'avais honte de ma condition de pauvre, j'avais honte de me promener dans la vieille voiture de Bundy et lorsque je rencontrais mon cousin John le fils de mon oncle Jack, une jalousie maladive, une colère me gagnait, il était bien habillé, avait tout ce qu'il voulait...c'est d'ailleurs les révélations de ce cousin qui vers l'adolescence produisirent un cataclysme, un choc brutal, le plus dévastateur de toute ma vie. Il me gratifia du sobriquet de Bâtard ! Il en avait la preuve ! J'étais un enfant illégitime, un batard dans une amérique puritaine où une femme non mariée qui a un enfant était considérée pire qu'une trainée... En fait je l'ai toujours senti !Dans ma chair je le savais ! Je n'étais pas un enfant comme les autres, tout devenait limpide maintenant, les discussions qui s'arrêtaient lorsque j'entrais dans une pièce, le regard de celle que je pensais être ma mère mais qui était en fait ma grand mère, celui affectueux de mon grand père qui était aussi mon père ? J'étais un enfant incestueux, j'étais l'enfant de la honte, l'enfant du péché, l'enfant du diable ! Le regard que le curé portait sur moi était particulier, nous sommes une famille pieuse et ma soeur, enfin ma mère avait dû confesser au curé le terrible pêché ! Tout le monde savait, nos voisins, notre famille, tous, tous... une fois j'avais quatre ou cinq ans, j'avais placé dans le lit de ma soeur, ma tante, enfin la soeur de ma mére, pendant qu'elle dormait, des couteaux tout autour d'elle, à son réveil elle m'a trouvé à coté d'elle, je comprends mieux son regard horrifié. Le couteau jouera un rôle dans ma carrière de tueur, tout comme le baton ou la barre de fer. Un jour à l'école je donnais un coup de bâton derrière la tête d'un camarade pour voir ce que ça faisait, c'est vrai que j'avais des comportements bizarres, toujours je suis resté solitaire, assez détaché du monde qui m'entourait mais ça a empiré lorsque j'appris que j'étais un bâtard ! J'en voulus terriblement à ma mère de m'avoir menti durant toutes ces années, j'étais un bâtard, brillant à l'école mais toujours immature, c'est la raison pour laquelle mon premier amour m'a quitté, un amour très fort comme le sont ceux des adolescents. Je n'ai pas supporté cette rupture, elle me jette comme une vieille chaussette, moi ! J'ai 19 ans et je suis plein de rage envers celle qui m'a repoussé car trop immature à son gout ! Je m'inscris dans une université puis je change, je veux apprendre le Chinois et la psychologie pour impressionner, en mettre plein la vue, je devenais ce que je voulais, un être à part ayant choisi des options qui me mettaient à part des autres. Tout ça été bien compartimenté mais une partie de moi, une sorte de double, vivait en moi et lui aussi demandait à ce qu'il existe, il me sommait de le faire participer à ma vie. J'ai toujours chapardé mais à l'adolescence, j'ai chopé d'autres manies, comme celles d'épier les femmes chez elles et d'entrer chez les gens, je prenais autant plaisir à voler qu'a fouiller, découvrir l'intimité de mes victimes, je m'adonnais à la masturbation et à la lecture de revues pornos, je nourissais des phantasmes avec des revues puis des films, ces images s'impressionnaient avec force brutal en moi, elles devenaient des idées fixes, cette part d'ombre devait rester dans l'ombre et je devais donner l'image d'un homme brillant et amical, un bon copain. Je me suis essayé à bien des sports, les sports collectifs ne me convenaient pas, je me suis intéressé au ski et je suis devenu assez bon, c'est d'ailleurs grâce au ski que je développerais des techniques qui m'aideront plus tard, j'échafaudais sans en avoir réellement conscience des scénarios meurtriers. Dans le même temps je continue mes études universitaires et j'enchaîne les petits boulots pour payer mes études. Les années passent et je m'investis à ma façon dans la société, je m'interesse à la politique, je suis de sensibilité conservatrice, c'est à dire que je suis pour la tradition et l'ordre. Je soutiens la guerre au Vietnam et je maudis ces gauchistes et leurs défilés pacifistes. Je me porte volontaire pour soutenir "Art Fletcher" un candidat noir du parti républicain.On me trouve là aussi brillant, je suis quelqu'un en fait j'essaie de m'en donner l'illusion ! Je travaille au service d'assistance psychiatrique, je trouve un emploi à la commission criminelle au ministère de la justice, je m'inscris alors à l'université et je commence à étudier le droit, nous sommes en 1973, c'est à dire 7 ans après ma rupture avec mon premier amour. Je la rencontre à nouveau, elle est impressionnée, nous renouons, il est même question de mariage mais soudainement, je lui renvoie ses courriers, je ne réponds plus à ses appels au téléphone et sans donner aucune raison je la jette comme une vieille chaussette !
Les experts disent que c'est le déclencheur car mes crimes commencent officiellement en 1974 et finissent en 1978 ! Mais à un expert j'avouerais avoir tué deux femmes en 1969 lorsque j'appris officielement avec certificat de naissance à l'appui, que je suis un enfant illégitime, je mentais et je me mentais, j'ai toujours agi ainsi. Un autre expert me soupconnera du meurtre d'une enfant de 8 ans qui bizarrement habitait près de chez moi, j'avais juste quatorze ans, bien sur je le nierai farouchement. Je suis arrivé plus tard derrière les barrreaux, à la conclusion, qu'avec de l'argent, une aisance materielle, on peut tuer indéfiniment sans se faire prendre, mon probléme c'est que je devais tout le temps voler pour subvenir à mes besoins.

Durant l'automne 1974 six jeune étudiantes sont assassinées, crânes défoncés à coups de barre de fer ou de baton, coups de couteaux, viols...j'ai une technique infaillible, au ski j'avais remarqué que les gens ont de la compassion quant on a un platre ou des béquilles, j'abordais mes victimes ainsi, en feignant d'être blessé et je demandais leur aide, si elle m'aidait l'issue leur était fatale ! J'étais en chasse et si un gibier m'échappait comme tout chasseur je me rabattais sur un autre, si possible ayant les mêmes critéres, c'est à dire jeune belle, intelligente et la raie au milieu. Le plaisir de la chasse est dans la traque et je me souviens au tout début, cette excitation indicible a commencé lorsque j'ai vu une jeune fille passer à vélo, je me suis dit, il me la faut, je l'ai manqué mais je me suis remis en chasse, avoir son gibier à sa merci rien de plus excitant. Je laisse des cadavres partout où je passe, je change d'Etat, il m'est même arrivé de faire 400 km pour déposer un cadavre, juste pour que la police ne fasse pas le lien, je connais leurs méthodes de recherches, forcément je suis un des leur,s je travaille et garde des liens avec le ministére de la justice.

On m'a vu plusieurs fois aborder des étudiantes, mon portrait robot circule, je deviens un suspect parmi 3500 autres et il faut le dire, je suis un suspect peu crédible pour les enquêteurs. La femme avec qui je partage la vie me signale trois fois à la police à cause du portrait robot ressemblant mais aussi car elle a trouvé des béquilles et un platre à la maison mais ce n'est pas suffisant et la garce ne m'en dira rien, je la revois mais elle ne fait aucune allusion à ses dépositions. En 1975 après une course poursuite avec un policier, je suis arrété et après la fouille de ma voiture, le policier trouve une paire de menotte, une barre de fer, une cagoule...je deviens un suspect plus crédible au yeux d'un enquêteur qui se rappelera les dires de ma femme, les autres policiers pensent que je m'apprétais à faire un cambriolage, quel rapport pouvait-il y avoir avec un pervers sexuel meurtrier et un licencié en psychologie qui de surcroit était vice président du comité central des républicains de l'Etat de Washington. Mais une de mes victimes qui m'avait échappé m'identifia, elle s'était echappée de ma voiture, alors que je commencçais à la menotter, les preuves étaient faibles car il n'y avait pas de preuves directes avec les meurtres. Malgré mon identification, je suis relaché sous caution au grand bonheur de ma mère et d'un comité de soutien qui me jugeait victimes de concours de circonstance, bien sur je clamais haut et fort à l'injustice ! Lorsque je passe devant le tribunal, les témoignages, mon sang retrouvé sur le col de la victime qui m'a echappé, ses cheveux retrouvés dans ma voiture... ça faisait un peu trop mais je donnais le change et m'adressant au tribunal devant lequel j'avais décidé de me défendre seul, je fis cette déclaration : "pensez-vous qu'un être comme moi soit capable de tels crimes", la réponse évidente était non, ça ne collait pas avec le personnage que j'avais inventé mais j'éclatais en sanglot lorsque le tribunal me condamna à une peine comprise entre 1 et 15 ans pour kidnapping ! Je m'évade de prison et je deviens l'un des criminels les plus recherchés, je commence à être connu du grand public, ce sont bientot des dizaines de cadavres qui jalonnent ma route. Je suis repris et je m'évade à nouveau et durant cette derniére année de cavale, je m'ennivre plus que d'habitude, je n'ai plus aucune inhibition, l'autre moi a pris le dessus et je me mets à mordre mes victimes, leur sectionner les mamelons avec les dents, il m'arrive de garder leurs têtes plusieurs jours comme trophées et parfois j'ai des rapports avec leurs cadavres. Lorsque je fus repris pour la deuxiéme fois, j'ai continué à nier les meurtres de ces adolescentes, on a continué à croire en moi mais une preuve directe avait été trouvée mes empreintes de dents sur la fesse d'une victime ! c'était la chaise electrique assuré, je croyais m'en sortir et j'avais refusé l'offre du procureur, mes aveux pour éviter la peine de mort. J'ai nié 10 ans et puis j'ai reconnu partiellement, j'ai dit des choses à l'un et autre chose à l'autre...comme je l'ai dit à mon avocate "je suis le plus grand salopard que vous aurez à défendre". Je jubilais en disant à un policier que j'en avais tué plus d'une centaine, je me demande qu'est-ce qui ne colle pas chez les braves gens je suis adulé, ma voiture est mis au musée du crime, on écrit des livres, j'inspire des films...Je suis quelqu'un... pour repousser l'échéance de ma mort, j'use de tous les moyens légaux, j'aide même la police qui traque un criminel en série, je leur donne des infos, je veux aussi troquer des aveux de crimes contre un peu de liberté, j'veux pas crever, pas maintenant ! Je suis un être mature et accompli, le crime m'a donné un statut, une maturité. Je veux croire que j'aurais pu devenir un père aimant, ayant une famille, allant à l'église mais je me mens, tous les psychologues vous le diront, les premiers mois de la vie sont cruciaux, on a besoin autant du sein maternel que d'amour et moi je suis né dans une pension pour femme seule et ma pauvre mère m'a rejeté, j'étais l'enfant de la honte...je ne suis pas un tueur né mais presque, ma part d'humanité existe mais elle ne s'imbrique pas avec l'autre part de moi.

Je parle, je parle, je suis le centre de tous les intérêts, les spécialistes viennent de partout voir le phénoméne comme les grands hommes, je dispense des citations...Bundy a dit...je mets en garde contre la pornographie qui m'a poussé au crime...je prêche la bonne parole, je suis revenu dans le chemin du Christ, je le dis à qui veut l'entendre mais rien n'y fait cette fois on ne repoussera pas l'exécution, il y a 11 ans que je suis enfermé nous sommes en 1989 et je vais griller sur la chaise électrique ! Pourtant je suis plus vivant que jamais, je ne veux pas mourir, pas maintenant...dehors une foule haineuse dont vu mes idées politiques j'aurais pu faire partie, crie : "Tu vas griller Bundy" mais moi j'espère encore qu'une fois de plus on va repousser l'échéance, j'veux pas crever, j'veux pas crever...

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Ted Bundy adolescent
Tueur en série
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Voiture du tueur Ted Bundy

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3 réactions à cet article    


  • Neymare Neymare 30 septembre 2014 16:11

    Portrait interessant qui me pose une question en particulier :

    On sait que la psychologie de ce type de criminel est caractérisée par l’egoisme, le manque d’empathie vis a vis des autres, la difficulté a éprouver la moindre émotion.
    Que l’origine de ce type de profil se situe dans l’enfance, la génétique ou autre importe peu.
    Quand on est comme ça, a t on réellement le choix de sa destinée ? que faire ? devenir politicien, dictateur, banquier ou serial killer ? (les 3 premières catégories n’étant pas forcément moins meurtrières que la dernière)
    A quel point l’etre humain est il programmé pour suivre une destinée en particulier plutot qu’une autre ? existe t il réellement une marge de manoeuvre ?
    alors évidemment, pour la majorité d’entre nous, ce type est un salopard qui a tué pour son propre plaisir, ou pour satisfaire son ego, ou son démon intérieur. Mais finalement, n’a t il pas céder simplement a sa propre nature comme on le fait tous ? Le fait qu’il n’ait plus de barrières morales lui est il imputable ou bien est ce simplement une caractéristique de sa nature ?


    • chitine chitine 30 septembre 2014 16:56

      Si le portrait ci-dessus est juste, alors Bundy était schizophrène en plus d’être psychopathe.
      Sa « nature » était fondamentalement biaisée, il a donc pris la tangente.
      .
      Pour l’amplitude des marges de manoeuvre, la réponse diffère habituellement de « totale » - si tu as affaire à un libéral individualiste radical - à « inexistante » - si tu as affaire à un matérialiste déterministe radical. J’imagine que la vérité est quelque part entre les deux... 
      La tendance actuelle est plutôt à la responsabilité individuelle systématique. Ca colle mieux avec l’air du temps économique, ça endort la mauvaise conscience des nantis, ça donne de l’espoir aux démunis.


    • Rincevent Rincevent 30 septembre 2014 20:19

      Bundy n’était pas schizophrène. Concernant les tueurs en série, la difficulté pour les polices américaines était justement de faire la différence entre des crimes commis par des psychopathes (personnalité) ou des psychotiques (maladie).

      C’est Robert Ressler, https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Ressler l’ancêtre des profilers, qui a théorisé cette différence sur la base de son expérience sur le terrain. Partant du fait qu’on ne pouvait pas demander au flic de base qui faisait les constats de passer obligatoirement une license de psychologie, il a simplifié le problème en séparant les serial-killers en deux catégories : les organisés et les inorganisés.

      - Les organisés sont souvent très intelligents, bien insérés socialement, repèrent soigneusement leurs victimes, montent un scénario pour arriver à leurs fins, se déplacent parfois loin, ne laissent pas de traces et jouissent des souffrances de leurs victimes. Ce sont les psychopathes.

      - Les inorganisés, au contraire, ont une position sociale souvent médiocre, frappent dans leur environnement assez proche, agissent spontanément (sous le coup d’un délire) et laissent des traces partout. Il n’y a pas jouissance, mais souvent l’idée d’avoir « délivré » la victime (délire toujours). Ce sont des psychotiques dont des schizophrènes.

      Cette classification simple et l’instauration d’une collaboration des différentes polices (et il y en a un paquet aux USA) ont permis beaucoup plus d’élucidations qu’avant.

      Le livre de Ressler « Chasseur de tueurs » est un concentré d’horreur mais explique bien les différences.

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