L’amendement législatif du 12/02 pour officialiser des formulaires de
l’Education Nationale avec les mentions parent 1 et parent 2 est fort de
signification. L’abandon des réalités de ‘père’ et ‘mère’ est une atteinte aux
familles et au réel. Comment des législateurs peuvent imposer une telle fiction
d’enfants potentiellement nés à partir de 2 hommes ou de 2 femmes ?
Ce conditionnement des esprits
par ce qui ressemble fort à un totalitarisme nouveau voudrait effacer le caractère primordial de la sexuation
homme-femme alors qu’il est fondateur de vie.
Pourtant sous prétexte d’un
égalitarisme idéologique, ce brouillage majeur de la filiation introduit une
discrimination par une hiérarchie numérique (parent 1 et 2) : inversement,
la parité homme-femme est essentielle
dans l’engendrement et l’intérêt de l’’enfant.
Combien il conviendrait de
mesurer l’injustice subie par les enfants privés de pouvoir nommer leur père et
leur mère.