Les disparus de l’affaire
Nous venons d’apprendre par les organismes autorisés à parler de l’affaire que la dissolution du dernier représentant spécialiste de la question devrait prochainement clôturer la lamentable affaire qui perdure depuis plus d’un an et ainsi mettre fin à toutes les interrogations sur la question qui l’avait entaché.
Cette information soudaine a créé une vive émotion au sein de notre rédaction à l’idée qu’il pourrait s’agir d’une dissolution corrosive du dernier spécialiste. Certes ! Si l’on peut dissoudre une assemblée entière sans éveiller de soupçons, la dissolution d’un spécialiste interpelle immédiatement.
L’émotion n’est pas irraisonnée puisqu’elle est principalement due à l’inquiétante question que tout le monde aurait dû se poser dès le départ de cette affaire. Evidemment, certains alarmistes toujours sur le qui vive auront à dire que c’est une terrifiante remontée en puissance de l’affaire en question. Mais il faut bien admettre que cette affaire avait défrayé la chronique et soulevé bien des questions sans rapport avec les réponses prévues et de longues dates provoquant une crises sans précédant.
Souvenons-nous encore des familles de disparus de l’affaire à suivre contraint de demander l’ouverture d’une commission d’enquête !
A l’époque des faits, des réponses dépourvues de questions avaient conduit les organismes autorisés à engager une procédure de rééquilibrage des questions afin de venir en aide aux réponses soigneusement préparées pour l’opinion public. La mise en place d’un scénario à rebondissement préparé avec soin grâce à omniprésence et l’omniscience du Président soutenu par le ministère de la propagande devait éviter que les pires moments du possible puisse etre envisager sereinement et permettre le recentrage de la question du moment. Les conclusions furent que le pire que l’on pouvait craindre résidait essentiellement dans des questions complètement hors sujet.
C’est "LA" conclusion à toutes les conclusions qui a permit d’affirmer que nous étions loin d’imaginer la réalité des faits. Faits qui jusqu’à présent n’ont toujours pas rejoint une seule des réponses attendues. Ainsi ! Nous ont-ils déclaré « nous sommes malheureusement obligés de constater que ses allégations ne sont que le résultat d’esprits dérangés refusant les réponses aux questions autorisés et en adéquation avec celle-ci ».
En deuxième instance l’affaire fut donc étouffée et classée sans suite par l’organisme de diversion autorisé au lâcher des scandales à répétition.
Devant ces indéniables faits qui flirtent avec la démence, la commission d’enquête a donc jugé opportun de s’incliner une fois de plus devant le Président de la table ronde qui rappelons-le à l’époque avait quatre coin. Mais malgré cela et à la stupéfaction générale…force est de constater qu’une question subsiste ! Une question qui semble avoir été secrètement ourdis par des anarcho-complotistes.
Normalement la progression quasi constante des affaires suivies par ailleurs et bien au delà, voudrait que toutes questions antérieur aux précédentes se doivent d’être définitivement classées comme obsolète. Il semble que le chargé aux affaires caduques se serait heurté à une organisation secrète nommée « Pourquoi » et qui ressemble étrangement à une question générique et provocatrice soutenu par une dissidence qui tisse sa toile sur internet…… Alors comment une telle question dont la réponse n’a jamais été envisagée ait pu s’imposer à la barbe de l’autorité chargé des réponses officielles aux questions que l’opinion public ne s’est toujours pas posée. « Décidément malgré nos efforts ils nous ferons ch…. jusqu’au bout ceux là ! » se sont-ils emportés d’un seul tenant.
Une divulgation de dernière minutes nous a été transmise par la commission chargé des suites à venir contraignant celle-ci de toute urgence à louvoyer sur des chemins que l’on peut qualifier de louche afin d’échapper aux regards officiels en marge du pouvoir. Par respect à la commission, nous nous obligeons a préserver son anonymat…..
Ainsi, nous sommes en mesure d’affirmer que selon certaines de nos sources, des disparus auraient élargit la faille du système en place créant un second fossé conduisant l’impasse existante dans une autre impasse.
L’état d’alerte a été immédiatement décrété par le Président sur un niveau supérieur à toutes les autres échelles de valeurs sans rapport entre elles mais numériquement supérieur par son chiffre. Devant le parterre de la table ronde, celui-ci a déclaré. « Il n’y a plus de questions à se poser, il faut rentrer dans le tas ! ».
Table ronde qui rappelons-le à nouveau, avait disparue depuis le début de cette affaire.
Sur ce ! Un rapporteur a jugé utile de faire observer au Président que c’était dans l’impasse qu’il faudrait rentrer. L’un est sorti de ses gonds, l’autre précipitamment par la fenêtre. Aucun témoin n’est en mesure d’affirmer qu’il aurait été éconduit jusqu’à la fenêtre.
Je vous parlerais la prochaine fois de « La grande question »
Gasty
Archives de l’affaire :
© Photo Keystone.
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