• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Culture & Loisirs > Sports > Le Onze de Légende du Liverpool FC

Le Onze de Légende du Liverpool FC

Opposé en cette fin d’année au Paris SG, le club des Beatles est une équipe mythique. L’occasion de (re)découvrir ici les plus grands noms passés par son légendaire vestiaire.

Avec plus d’une soixantaine de trophées nationaux et internationaux à leur actif, les Reds font partie du Top 5 des équipes les plus titrées au monde en compagnie des autres institutions planétaires que constituent le Real Madrid, le Milan AC, le Bayern Munich et le FC Barcelone. Jugez-en par vous-même : 5 Champions Leagues, 3 Coupes UEFA, 3 Supercoupes d’Europe, 18 Premier Leagues, 15 Community Shields, 8 Coupes de la Ligue et 7 Coupes d’Angleterre… Rien que ça ! Mais qui furent les principaux protagonistes de ces succès à la pelle ? Flash-back à Anfield via ce onze 100% « Made in Mersey ».

 

Flag of England.svg 1. Ray CLEMENCE (gardien anglais, né le 05/08/1948)

Résultat de recherche d'images pour "ray clemence"

Dernier rempart et première légende du club, ce gardien imperméable officie dans le but des Reds durant près d’une quinzaine d’années (1967-1981). Lancé en 1968, il garde sa cage inviolée dès sa première apparition à Anfield. Vainqueur de trois Champions Leagues, deux Coupes UEFA, une supercoupe d’Europe et pléthore de titres nationaux, il rend 335 « clean-sheets » en 665 apparitions, soit plus de 50% de ses matchs sans prendre de but ! Titulaire à 337 reprises consécutives sans manquer la moindre rencontre de septembre 1972 à mars 1978, il sera le héros du premier sacre des siens en C1 en réalisant nombre de sorties et autres parades décisives. Menacé par l’émergence de Bruce Grobbelaar, il s’engage en 1981 à Tottenham, club avec lequel il remporte une nouvelle Coupe d’Europe en 1984. Sélectionné à 61 reprises en équipe nationale de 1972 à 1984, Clemence deviendra par la suite entraineur des gardiens, puis superviseur des jeunes talents pour le compte des Three Lions.

 

Flag of England.svg 2. Phil NEAL (latéral droit anglais, né le 20/02/1951)

Résultat de recherche d'images pour "phil neal liverpool"

Recruté par Bob Paisley, Phil Neal fait ses débuts à Anfield lors du derby face à Everton en novembre 1974. Parfait prototype du coéquipier modèle, il présente l’un des plus beaux palmarès de l’histoire du ballon rond anglo-saxon avec huit titres de champion, quatre Coupes de la Ligue et cinq Supercoupes d’Angleterre. Mais c’est surtout sur le plan européen que son tableau d’honneur sort du lot : vainqueur de la Coupe UEFA 1976 et de la Supercoupe d’Europe 1977, il restera à jamais comme le seul joueur à avoir remporté les quatre premières Champions Leagues de Liverpool en 1977, 1978, 1981 et 1984 ! Défenseur accrocheur, bon tireur de penalty (il en a notamment marqué en finale de Coupe d’Europe), Phil Neal a scoré à 59 reprises au cours des 650 matchs qu’il a disputés avec la mythique tunique rouge sur les épaules. Recordman avec ses 417 apparitions successives sans manquer le moindre match des Reds entre fin 1974 et 1983, Neal compte également une cinquantaine de capes en équipe nationale.

 

Flag of Norway.svg 3. John-Arne RIISE (latéral gauche norvégien, né le 24/09/1980)

Résultat de recherche d'images pour "John arne riise"

Comme tout club britannique qui se respecte, Liverpool a pu compter sur une véritable colonie scandinave venue garnir ses rangs au fil du temps : les Danois Agger et Molby, les Finlandais Litmanen et Hyypia, les Norvégiens Bjornebye, Heggem, Kvarme, Leonhardsen et Riise ou encore le Suédois Hysen… Mais parmi eux, un nom se dégage : John-Arne Riise. Séduisant champion de France 2000 avec Monaco, ce latéral gauche offensif quitte la Côte d’Azur en 2001. Ironie du sort, à peine débarqué sur les bords de la Mersey, il refera le voyage en sens inverse pour disputer la Supercoupe d’Europe au Stade Louis-II (victoire 3-2 face au Bayern). Passeur décisif face au Milan AC en finale de C1, pourvu d’une frappe de mule, il évoluera sept ans chez les Reds (350 matchs pour 31 buts) avant de filer à la Roma. Chouchou du public qui raffolait de ses tirs lointains, Riise a glané sept titres en rouge. Indiscutable en Norvège, il est le recordman de sélections pour son pays avec pas moins de 110 apparitions au compteur.

 

Flag of England.svg 4. Jamie CARRAGHER (stoppeur anglais, né le 28/01/1978)

Résultat de recherche d'images pour "jamie carragher"

Fan du rival Everton dans son enfance, Carragher deviendra pourtant l’un des grands tauliers des Reds. Juste derrière l’intouchable Ian Callaghan et ses 857 présences sur la feuille de match, Jamie, 737 matchs pour Liverpool, est en effet le second joueur à avoir le plus souvent porté la tunique du LFC. Aligné à 150 reprises en Coupes d’Europe (record du club), il promènera sa robuste carcasse dans les travées d’Anfield pendant plus de vingt ans (1992-2013). Vice-capitaine polyvalent, aboyeur en chef de l’arrière-garde rouge des années 2000, capable d’évoluer aussi bien dans l’axe que sur les côtés, il a su gagné la confiance des différents capitaines (John Barnes, Paul Ince, Jamie Redknapp, Steven Gerrard) et autres managers (Roy Evans, Gérard Houillier, Rafael Benitez, Roy Hodgson et Kenny Daglish) qu’il a côtoyés. Considéré par Didier Drogba comme l’arrière le plus solide de Premier League en son temps, Carragher a également porté le maillot des Three Lions à 38 reprises entre 1999 et 2010.

 

Flag of Scotland.svg 5. Alan HANSEN (libéro écossais, né le 13/06/1955) 

Résultat de recherche d'images pour "alan hansen"

Formé à Partick Thistle, Alan s’engage chez les Reds à l’été 1977. D’abord remplaçant, le jeune écossais s’illustre dès 1978 en devenant titulaire indiscutable. Vainqueur de 23 trophées avec Liverpool (dont huit Premier Leagues et trois Champions Leagues), son coach, Bob Paisley, le considère alors comme le défenseur central le plus doué de l’histoire du foot britannique. Roc ancré au cœur de la défense, il sera le patron de l’arrière-garde liverpuldienne lors des grands succès du club dans les années 1970 et 1980. Membre du mur rouge qui ne concéda que seize buts lors de la saison 1978-79, Hansen a disputé 620 matchs pour le compte du LFC. Seul bémol, malgré ses excellents états de fait en club, il n’est jamais parvenu à s’imposer en sélection. Présent lors du Mondial 1982, il perdra sa place lors de la prise de fonction d’Alex Ferguson en 1985. Consultant TV pour la BBC, il est devenu une référence en la matière, notamment pour ses prises de position parfois très tranchées sur le plan défensif.

 

Flag of Spain.svg 6. Xabi ALONSO (milieu défensif espagnol, né le 25/11/1981)

Résultat de recherche d'images pour "xabi alonso liverpool"

En voilà un que les moins de vingt ans connaîtront assurément. Issu de la pépinière de la Real Sociedad, Xabi s’illustre par des débuts prometteurs à la maison. Vice-champion et élu joueur de l’année 2003 en Espagne, Alonso est recruté par le LFC à l’été 2004. Là encore, suite à son entrée tonitruante contre Fulham, le Basque se fait directement une place dans le cœur des supporters en permettant aux siens de signer un come-back renversant (de 0-2 à 4-2). Parmi les meilleurs passeurs du monde, il ravira son compatriote de coach, Rafa Benitez, en signant le but de l’égalisation à trois partout face à Milan en finale de C1. Associé (au sein d’un binôme magique) à Steven Gerrard dans l’entrejeu, l’élégant médian sera l’un des grands artisans du renouveau liverpuldien des années 2000. La suite n’a de secret pour personne : un transfert au Real, un autre au Bayern, 114 capes ibériques et un palmarès long comme le bras agrémenté d’une Coupe du Monde, deux Euros et deux Ligues des Champions !

 

Flag of England.svg 7. Kevin KEEGAN (milieu offensif anglais, né le 14/02/1951)

Résultat de recherche d'images pour "kevin keegan liverpool"

Débarqué de Scunthorpe (D4) en 1971, ce talent pur, débordant d’énergie, insuffle à son équipe une incroyable rage de vaincre. Aussi dangereux balle au pied que dans les airs (en dépit de sa petite taille), KK s’affirme d’emblée comme un élément-moteur. Sous la houlette de Bill Shankly, il inscrit son premier but en rouge après seulement douze minutes passées sur la pelouse. Associé à John Toshack, Keegan devient le trublion de l’attaque rouge. Auteur de cent buts chez les Reds dont un lob d’anthologie sur Peter Shilton, décisif lors des Coupes UEFA 1973 et 1976, vainqueur de la C1 en 1977, cet électron libre (surnommé Mighty Mouse pour sa capacité à se faufiler) aura également permis au LFC de renouer avec les joies des sacres en championnat. Ballon d’or 1978 et 1979 avec Hambourg, il fera par la suite les beaux jours de Southampton et Newcastle avant de devenir manager. Sélectionné à 63 reprises, Keegan est (en compagnie de Best et Charlton) l’une des plus grandes légendes du foot d’outre-Manche.

 

Flag of England.svg 8. Steven GERRARD (milieu relayeur anglais, né le 30/05/1980)

Résultat de recherche d'images pour "steven gerrard liverpool"

S’il ne devait en rester qu’un, ce serait lui ! Symbole, issu du centre de formation qu’il fréquente depuis l’âge de neuf ans, Steven restera fidèle à son berceau de 1989 à 2015 ! Lancé par Gérard Houillier en 1998, il est un élément-clef des épopées du LFC de 2001 et 2005. Considéré comme l’un des meilleurs milieux de terrain du monde, il illumine le jeu des Reds par ses transversales millimétrées et ses frappes aussi puissantes que précises. Homme du match lors de la finale face au Milan et élu meilleur joueur de l’histoire du club par le kop rouge, Gerrard a marqué de toute sa classe la formation de la Mersey. Ballon de bronze 2005 et vainqueur d’une dizaine de trophées, seule la Premier League s’est toujours refusée à lui. Triple vice-champion, l’homme aux 710 matchs (186 buts) chez les Reds regrettera à jamais cette maudite glissade de 2014 qui le privera d’un sacre que Liverpool attend depuis près de trente ans ! Sélectionné à 114 reprises (à l’instar de son « jumeau » Alonso), il est la légende des légendes du LFC.

 

Flag of Wales (1959–present).svg 9. Ian RUSH (avant-centre gallois, né le 20/10/1961)

Résultat de recherche d'images pour "ian rush"

Miraculé d’une méningite contractée à l’âge de sept ans, Rush garde de ce douloureux épisode une force de caractère toute particulière. Repéré à Chester City à la fin des seventies, il quitte son Pays de Galles natal pour la cité industrielle en 1980. Modèle d’humilité et d’abnégation, l’avant-centre moustachu entame alors (à l’exception d’une pige mi-figue mi-raisin à la Juventus de Turin) une histoire d’amour (18 trophées) d’une quinzaine d’années au LFC. Huit fois top-scorer du club entre 1982 et 1994, ce renard des surfaces est aussi le meilleur buteur de l’histoire des Reds avec 346 buts en 660 matchs. Auteur d’une saison 1984 de tous les superlatifs, il plante près d’une cinquantaine de pions et glane au passage la C1, la Premier League, la Coupe de la Ligue, les titres de meilleur footballeur, meilleur joueur et meilleur buteur d’Angleterre, ainsi que le prestigieux soulier d’or européen ! Longtemps recordman de buts de la sélection galloise, son score (28 buts) n’a été battu qu’en 2018 par Gareth Bale.

 

Flag of Scotland.svg 10. Kenny DALGLISH (meneur de jeu écossais, né le 04/03/1951)

Résultat de recherche d'images pour "kenny dalglish"

Bardé de titres avec le Celtic Glasgow, la pépite Dalglish effectue le court déplacement qui sépare l’Ecosse du nord de l’Angleterre à l’été 1977 pour remplacer Kevin Keegan du côté d’Anfield. Très vite, le kop se rend alors compte qu’il n’a pas vraiment perdu au change. Vainqueur de la Supercoupe d’Europe dès son arrivée, il ponctue sa première saison sur les bords de la Mersey d’une trentaine de buts, dont celui de la victoire face au FC Bruges en Coupe des Champions ! Au total, il signera treize saisons, disputant 515 matchs et inscrivant 172 buts chez les Reds de 1977 à 1990. Vainqueur d’une vingtaine de trophées au LFC, celui qui sera considéré par Bob Paisley comme le joueur le plus doué à avoir porté la tunique rouge glane au passage le surnom de King Kenny ainsi que le prix du joueur le plus apprécié de l’histoire du club. Ballon d’argent en 1983, nommé dans la liste FIFA 100 signée Pelé, l’homme le plus capé d’Ecosse deviendra par la suite coach à succès, notamment chez les Blackburn Rovers.

 

Flag of England.svg 11. Michael OWEN (attaquant anglais, né le 14/12/1979)

Résultat de recherche d'images pour "michael owen liverpool"

« Sa forme est temporaire, sa classe est permanente » voilà comment l’on pourrait résumer le parcours de ce petit prodige. Révélé à la face du globe via son but extraordinaire face à l’Argentine lors du Mondial 1998, Michael Owen est le meilleur attaquant issu de la pépinière rouge. Feu follet, très adroit devant le but, il forme à ses débuts un duo prolifique en compagnie du truculent Robbie Fowler. Meilleur espoir 1998 et double meilleur buteur de Premier League en 1998 et 1999, c’est en 2001 qu’il entre au panthéon du LFC. Figure de proue du quintuplé « Coupe et Supercoupe UEFA – Cup – League Cup – Community Shield » réussi par les hommes de Gérard Houiller, il est élu ballon d’or au nez et à la barbe de Raul (Real), Kahn (Bayern) et Beckham (Manchester United). Auteur de 158 réalisations en 297 apparitions chez les Reds et buteur à 40 reprises en 89 sélections, la suite de sa carrière (à Madrid, Newcastle et Manchester) sera malheureusement émaillée par d’innombrables blessures...

 

Flag of England.svg Joker : Roger HUNT (buteur anglais, né le 20/07/1938)

Résultat de recherche d'images pour "roger hunt liverpool"

« Once again » plus de place dans le onze mais impossible de ne pas ajouter un remplaçant de luxe à cette « dream team ». Or, de Fernando Torres à Mohamed Salah en passant par Luis Suarez, force est de constater que les candidats VIP ne manquent pas… Ceci étant, en fouillant un chouia dans les archives du LFC, c’est le nom de Roger Hunt qui finit par s’imposer. Natif du Lancashire, ce chasseur de buts rejoint le Merseyside en 1958. Finisseur d’exception, il permet aux Reds de retrouver l’élite du foot britannique en empilant 41 buts lors de l’exercice 1961-62. Puissant, rusé et rapide, Hunt terminera huit fois meilleur marqueur des Rouges et demeure le buteur le plus prolifique du club en championnat avec 245 unités à son compteur (286 au total). Finaliste de la Coupe des Coupes, meilleur buteur et champion d’Angleterre en 1966, « Sir Roger » (34 capes pour 18 buts) sera également sacré champion du monde la même année après avoir notamment signé un doublé face à la France au premier tour.

 

 

Flag of England.svg Coach : Bob PAISLEY (entraineur anglais, né le 23/01/1919)

Résultat de recherche d'images pour "bob paisley"

Toutes proportions gardées, Bob Paisley est le Guy Roux du foot anglais. A l’instar du gourou historique de l’AJ Auxerre, Bob passera ainsi près de cinquante années au sein du Liverpool FC. D’abord défenseur, physiothérapeute, entraineur puis manager, il prend la succession du non moins mythique Bill Shankly en 1974. Maître à penser des Reds, il devient alors en moins de dix ans le technicien le plus titré du club, glanant une vingtaine de trophées dont six titres de champion d’Angleterre. Vainqueur de la Coupe UEFA, de la Supercoupe d’Europe et de trois Coupes des Champions, il sera ainsi le premier coach au monde à gagner la C1 à trois reprises en 1977, 1978 et 1981 (Ancelotti et Zidane l’ont depuis rejoint au sein de ce club très fermé). Bien que peu bavard, son capitaine Graeme Souness confie qu’il a toujours mené le LFC d’une main de fer. Décédé en 1996, il a laissé une emprunte indélébile dans les travées d’Anfield.

 

Lionel Ladenburger

Retrouvez tous mes articles sur Agoravox :

https://www.agoravox.fr/auteur/lionel-ladenburger


Moyenne des avis sur cet article :  3/5   (4 votes)




Réagissez à l'article

18 réactions à cet article    


  • Axel_Borg Axel_Borg 1er janvier 2019 16:05

    Salut Lionel et bonne année 2019,

    Owen a certes amené le Ballon d’Or en 2001 à Liverpool mais en attaque j’aurais plus mis Fernando Torres, John Aldridge ou Luis Suarez.

    Au milieu à la place de Xabi Alonso, plutôt John Barnes.

    Et l’inoubliable Bruce Grobbelaar plus que Ray Clemence dans les cages.

    En tout cas, si le trio Mané Salah Firmino continue ainsi avec un titre de champion attendu en 1990 à Anfield, ils auront dans quelques années leur chance d’intégrer ce type de onze de légende toujours subjectif.


    • Lionel Ladenburger Lionel Ladenburger 7 janvier 2019 10:35

      @Axel_Borg

      Salut Axel, bonne annee a toi aussi ;)

      Effectivement, c’est toujours difficile d’etablir ce genre de onze. 

      Par rapport a Owen, outre le Ballon d’Or, il est le symbole de l’annee exceptionelle des Reds en 2001. Du coup, je ne me voyais pas ne pas le mettre. J’adore Fernando Torres mais (a contre-coeur) j’ai prefere ne pas l’inclure. Quant a Luis Suarez, il s’est revele a Anfield mais c’est au Barca qu’il a ecrit les plus belles lignes de son palmares. 

      Quant a John Barnes plutot que Xavi, c’est delicat car Barnes etait pluss ailier que milieu... Et pour Grobbelaar, il etait certes plus charismatique que Clemence mais le palmares de Clemence (3 C1 notamment) et ses stats affolantes (50% de matchs sans prendre de but) m’ont fait opter pour lui. Mais bon, ca se discute on est bien d’accord ;)

      Enfin pour la saison en cours, dommage d’avoir rate le rendez-vous (a 6 points) face a City la semaine derniere. Avec ne serait-ce qu’un match nul, les Reds auraient deja pris une petite option sur le titre pour 2019. Mais bon, cela reste encore largement envisageable pour Klopp et sa bande. 

      By the way, faut que je fasse un article tennis pour lancer la saison (et nos discussions lol). 


    • Axel_Borg Axel_Borg 10 janvier 2019 09:43

      @Lionel Ladenburger,

      Il est vrai que l’année 2001 avait été une superbe moisson pour les Scousers.
      Ah moi aussi je dois publier un papier tennis prochainement en effet ça nous permettra d’échanger pendant l’OA. Mes favoris rapidement : Djokovic d’abord, ensuite Federer car il est toujours impeccablement préparé, derrière Zverev (sauf si blessure s’aggrave) et enfin le groupe d’outsiders Cilic, Anderson, Nadal

      Pour Liverpool, oui ils restent favoris en PL mais gare à City qui ne lâchera rien, même si leur calendrier démentiel en FA Cup et League Cup sera un problème avec le retour des joutes européennes.

      Enfin, voici mon onze de légende de Manchester United, puisqu’on parle du grand rival de Liverpool, bien plus que City, Arsenal, Chelsea ou Everton :

      Schmeichel Irwin, Vidic, Stam — Keane, D. Edwards, Cantona (capitaine), B. Charlton  Best, C. Ronaldo, Giggs

      Coaches : Alex Ferguson et Sir Matt Busby

      Banc : Barthez, G. Neville, Bruce, Evra, Bryan Robson, Ince, Scholes, Carrick, Beckham, Law, Hughes, Rooney, Van Nistelrooy, Ibrahimovic, Kanchelskis, Solskjaer, Yorke, Andy Cole.


    • Lionel Ladenburger Lionel Ladenburger 10 janvier 2019 17:26

      @Axel_Borg
      Salut Axel, j’attends ton papier tennis ! Pas sur que j’aurai le temps de pondre le mien avant le debut de la quinzaine australienne...

      J’aimerai bien voir Liverpool gagner a nouveau la PL, ca fait presque 30 ans. Une eternite pour une institution comme le LFC...

      Pour ton onze mancunien, perso je mettrai : Schmeichel, Irwinn, Stam, Vidic, Neville, Robson, Beckham, Ronaldo, Charlton, Best et Cantona (tres offensif j’avoue mais ca me permet d’aligner les cinq numeros 7 de legende dans le meme onze ;)

      En revanche en gardien remplacant je mets Van der Saar devant Fabulous Fab ;


    • Axel_Borg Axel_Borg 10 janvier 2019 18:00

      @Lionel,

      J’ai beau être supporter de MU (depuis Canto en 94-95) clairement oui j’aimerais revoir Liverpool champion, ce club mérite de revenir dans la lumière et de retrouver son prestige. Le top serait d’avoir Liverpool contre MU au sommet, plutôt que City ...

      Tu oublies Duncan Edwards dans ton onze, ainsi que Giggs et Keane (tout comme Scholes que je n’ai pas mis non plus) mais je vois qu’on est en ligne sur Peter Schmeichel smiley


    • Axel_Borg Axel_Borg 10 janvier 2019 10:50

      Allez quelques autres 11 de légende pour le fun

      Europe All Time : Buffon P. Maldini, Beckenbauer, Baresi Rijkaard, Zidane, Puskas, Platini Cristiano Ronaldo, G. Müller, Cruyff

      Remplaçants : Yachine, Zoff  Blanc, Desailly, Koeman, Ramos, Scirea  Nedved, Figo, Bergkamp, Sindelar, Iniesta, Xavi, R. Baggio, Pirlo, M. Laudrup, Hagi, Stojkovic, Keegan, Gerrard, Scholes, B. Charlton, Mätthaus, Meazza  Eusebio, Raul, Rummenigge, Van Basten, Lineker, Shevchenko, Suker, Stoïtchkov, Klinsmann, Völler, Rush

      Entraîneur : Jock Stein

      South America All Time : Chilavert Cafu, Nilton Santos, Djalma Santos — Di Stefano, Pelé, Maradona, Zico  Garrincha, Ronaldo, Messi

      Entraîneur : Tele Santana

      Remplaçants : Gilmar, Fillol Passarella, Roberto Carlos  Didi, PR. Falcao, Gerson, Rivelino, Socrates, Valderrama  Batistuta, Kempes, Leonidas, Zamorano

      Africa All Time : N’Kono — Keshi, Kolo Touré, West  Yaya Touré, Belloumi, Mahrez, Abedi Ayew Pelé  Milla, Madjer, Weah

      Entraîneur : Jean Manga Onguéné

      Remplaçants : Bell, Enyeama  Bwalya, Finidi  Salah, Eto’o, Drogba, Kanu, Yeboah, Yekini

      France All Time : Barthez Thuram, L. Blanc, Desailly, Lizarazu  Vieira, Kopa, Zidane, Platini Cantona, Fontaine, Papin

      Entraîneur : Michel Hidalgo

      Remplaçants : Bats, Lama, Lloris Amoros, Battiston, Boli, Bossis, Jonquet, Marche, Sagnol, Varane — Deschamps, Y. Djorkaeff, Fernandez, Giresse, Makélélé, Petit, Pires, Sauzée, Tigana  Ginola, Griezmann, Henry, Mbappé, Piantoni, Rocheteau, Trezeguet, Wiltord

      Italy All Time : Buffon Baresi, P. Maldini, Scirea Pirlo, R. Baggio, Meazza, Totti  Piola, Riva, P. Rossi

      Entraîneur : Enzo Bearzot

      Remplaçants : Pagliuca, Zenga, Zoff — Bergomi, Cabrini, Cannavaro, Facchetti, Gentile, Nesta — Antognoni, A. Mazzola, V. Mazzola, Rivera, Tardelli  Altobelli, Del Piero, Inzaghi, Vieri

      Brazil All Time : Gilmar Cafu, Djalma Santos, Nilton Santos Falcao, Pelé, Socrates, Zico  Garrincha, Romario, Ronaldo

      Entraîneur : Tele Santana

      Remplaçants : Taffarel Carlos Alberto, Julio Cesar, Mozer, Ricardo Gomes, Roberto Carlos  Coutinho, Didi, Dunga, Gerson, Kakà, Rai, Rivaldo, Rivelino, Ronaldinho, Tostao, Valdo, Zizinho — Bebeto, Careca, Firmino, Leonidas, Neymar

      Argentina All Time : Fillol Mascherano, Passarella, Ruggeri — Di Stefano, Maradona, Redondo, Riquelme Batistuta, Messi, JC. Moreno

      Entraîneur : Carlos Bilardo

      Remplaçants : Goycochea — Ayala, Bertoni, Heinze, Otamendi, Samuel — Aimar, Burruchaga, Ortega, Pedernera, Simeone, Sorin, Veron - Caniggia, Di Maria, Dybala, Higuain, Labruna, Loustau, Luque, Stabile, Tevez

      Germany All Time : Kahn Brehme, Beckenbauer, Kohler, Lahm  Ballack, Mätthaus, F. Walter Klose, G. Müller, KH. Rummenigge 

      Entraîneur : Helmut Schön

      Remplaçants : Köpke, Maier, H. Schumacher Kaltz, Sammer, Vogts  Bonhof, Buchwald, Hässler, Khedira, Möller, Ozil, schnellinger, Schuster, Schweinsteiger  Fischer, Hrubesch, Klinsmann, T. Müller, Podolski, Rahn, Völler

      England All Time : Banks Rio Ferdinand, B. Moore, Pearce  B. Charlton, Edwards, Keegan, Scholes — Lineker, Rooney, Shearer 

      Entraîneur : Alf Ramsey

      Remplaçants : Clemence, Seaman, Shilton  Adams — Barnes, Beckham, Gascoigne, Gerrard, Ince, Lampard, Matthews, Platt, Waddle Andy Cole, Greaves, Hurst, Kane, Owen

      Netherlands All Time : Van der Sar Koeman, Krol, Stam  Bergkamp, Gullit, Neeskens, Rensenbrink, Rijkaard  Johan Cruyff, Van Basten

      Entraîneur : Rinus Michels

      Remplaçants : Van Breukelen Danny Blind, Wouters Cocu, Davids, Depay, Jonk, Keizer, Seedorf, Van Hanegem  P. Kluivert, Overmars, Rep, Van Nistelrooy, Van Persie

      Portugal All Time : Vitor Baia Fernando Couto, Pepe  Deco, Figo, Rui Costa  Cristiano Ronaldo, Eusebio, Futre

      Entraîneur :

      Remplaçants : Ricardo, Rui Patricio — Jorge Costa  Maniche, Paulo Sousa, Rui Barros  Aguas, Coluna, Fernando Gomes, Nuno Gomes, Pauleta

      Spain All Time : Casillas — Camacho, Puyol, Ramos  Hierro, Iniesta, Suarez Miramontes, Xavi  Gento, Raul, Villa

      Entraineur : marquis Vicente Del Bosque

      Remplaçants : Canizares, De Gea, Zubizarreta Piqué  Bakero, Fabregas, Guardiola, Martin Vazquez, Luis Enrique, Michel, Rexach, Marcos Senna, David Silva  Amancio, Butragueno, Morientes, Torres

      Belgium All Time : Pfaff Albert, Gerets, Kompany De Bruyne, Scifo, Eden Hazard Lukaku, Nilis, Van Himst

      Entraîneur : Guy Thys

      Remplaçants : Courtois, Piot, Preud’Homme Meunier — Fellaini, Ferreira-Carrasco, Witsel   Degryse, Jurion

      Uruguay All Time : Mazurkiewicz Godin, Lugano Andrade, Francescoli, Schiaffino - Forlan, Ghiggia, Luis Suarez

      Entraîneur : Oscar Tabarez

      Remplaçants : Cavani, Cea


      • Axel_Borg Axel_Borg 10 janvier 2019 11:58

        D’autres 11 de légende sur d’autres grands clubs autres que Liverpool et MU

        Barça : Zubizarreta Koeman, Piqué, Puyol  Kubala, Xavi, Iniesta, M. Laudrup  Cruyff, Messi, Romario

        Remplaçants : Zamora, Valdes Abidal, F. De Boer, Marquez, Nadal, Ferrer, Thuram  Cocu, Coutinho, Czibor, Deco, Fabregas, Figo, Giuly, Guardiola, Krankl, Maradona, Neeskens, Overmars, Ronaldinho, Schuster, Suarez Miramontes, Yaya Touré, Vidal  Eto’o, Evaristo, Henry, Hughes, Kocsis, Lineker, Neymar, Rivaldo, Ronaldo, Alexis Sanchez, Stoïtchkov, Suarez, David ViIla

        Real Madrid : Casillas Camacho, Ramos, Roberto Carlos Di Stefano, Michel, Modric, Zidane Cristiano Ronaldo, Raul, Puskas

        Entraîneur  : Vicente del Bosque

        Remplaçants : Buyo — Hierro, Ricardo Carvalho, Ruggeri, Santamaria - Beckham, Breitner, Figo, Hagi, Kopa, M. Laudrup, Makélélé, Martin Vazquez, Ozil, Prosinecki, Redondo , Rial, Seedorf, Xabi Alonso  Bale, Benzema, Butragueno, Di Maria, Gento, Mijatovic, Morientes, Ronaldo, Hugo Sanchez, Solari, Suker, Van Nistelrooy

        AC Milan : F. Cudicini — Baresi, P. Maldini, Nesta — Liedholm, Rijkaard, Rivera, Schiaffino — Nordahl, Shevchenko, Van Basten

        Entraîneur : Arrigo Sacchi

        Remplaçants : Dida, Galli Cafu, Costacurta, Gerets, C. Maldini, Stam, Tassotti Ambrosini, Beckham, Boban, Desailly, Gattuso, Gren, Gullit, Kakà, Leonardo, Pirlo, Rivaldo, Ronaldinho, Savicevic — Hateley, Ibrahimovic, Inzaghi, Bierhoff, Massaro, Papin, Ronaldo, Weah

        Juventus Turin : Buffon Cabrini, Gentile, Scirea Nedved, Pirlo, Platini, Sivori, Zidane R. Baggio, Charles

        Entraîneur : Giovanni Trapattoni

        Remplaçants : Peruzzi, Tacconi, Zoff — Barzagli, Bonucci, Cannavaro, Chiellini, Reuter, Thuram, Zambrotta Camoranesi, Davids, Deschamps, Hässler, Marchisio, Möller, Platt, Pogba, Rui Barros, Tardelli, Vidal - Boksic, Boniek, Boniperti, Cristiano Ronaldo, Del Piero, Dybala, Hansen, Higuain, Inzaghi, Ravanelli, Trezeguet, Vialli, Vieri

        Inter Milan : Zenga Bergomi, Brehme, Facchetti, J. Zanetti Mätthaus, A. Mazzola, Meazza Ibrahimovic, Nyers, Ronaldo

        Entraîneur : Helenio Herrera

        Remplaçants : Julio Cesar Burgnich, Chivu, Lucio Bergkamp, Berti, Y. Djorkaeff, Recoba, Sneijder, Suarez Miramontes, Vieira  Boninsegna, Klinsmann, Vieri, Zamorano

        Bayern Munich : Maier — Beckenbauer, Lizarazu, Lahm Ballack, Effenberg, Mätthaus, Schweinsteiger  Lewandowski G. Müller, KH. Rummenigge

        Entraîneur : Ottmar Hitzfeld

        Remplaçants : Aumann, Kahn, Neuer  Augenthaler, Brehme, Helmer, Hummels, Jorginho, Kohler, Lucio, Sagnol, Van Buyten, Ziege — Basler, Breitner, Frings, Jeremies, Roth, Scholl, Xabi Alonso  Elber, Jancker, Klinsmann, Klose, Makaay, Papin, Paulo Sergio, Ribéry, Robben, Toni, Wohlfarth

        Ajax Amsterdam : Van der Sar F. De Boer, Krol, Vasovic  Keizer, Litmanen, Neeskens, Rijkaard  Bergkamp, Cruyff, Van Basten

        Entraîneur : Rinus Michels

        Remplaçants : De Ligt  Davids, De Jong, R. De Boer, Seedorf  Huntelaar, Ibrahimovic, Kanu, Kluivert, Overmars, Rep, Suarez

        Chelsea : Cech Desailly, Ivanovic, Terry Eden Hazard, Lampard, Makélélé, Zola  Drogba, Greaves, Vialli

        Entraîneur : Jose Mourinho

        Remplaçants : Azpilicueta Ballack, Deco, Di Matteo, Gullit, Oscar, Ramires  Anelka, Cascarino, Crespo, Robben, Shevchenko

        Arsenal : Seaman Adams, Dixon, Winterburn  Bergkamp, Fabregas, Pires, Vieira Henry, Van Persie, Wright

        Entraîneur : Arsène Wenger

        Remplaçants : Cech, Lehmann — Mertesacker, Squillaci  Merson, Overmars, Ozil, Petit Kanu, A. Sanchez, Suker, Wiltord

        PSG : Lama Heinze, Marquinhos, Thiago Silva Rai, Ronaldinho, Susic, Verratti  Ibrahimovic, Neymar, Pauleta

        Entraîneur : Laurent Blanc

        Remplaçants : Areola, Bats, Buffon Le Guen, Pochettino, Ricardo Gomes, Roche , Yepes — Bravo, Y. Djorkaeff, Draxler, Giuly, Guérin, Leonardo, Makélélé, Pastore, Rabiot, Thiago Motta, Valdo  Bianchi, Cavani, Di Maria, Ginola, Mbappé, Rocheteau, Weah

        OM : Barthez  Di Meco, Mozer, Trésor — Deschamps, Magnusson, Valbuena, Waddle   Drogba, Papin, Skoblar

        Entraîneur : Raymond Goethals

        Remplaçants : Mandanda, Olmeta, Runje  Angloma, L. Blanc, Boli, Desailly, Van Buyten — Abedi Ayew Pelé, Francescoli, Nasri, Payet, Ribéry, Sauzée, Stojkovic, Vercruysse  Sonny Anderson, Gunnar Andersson, Boksic, Cantona, Cascarino, Gignac, Niang, Thauvin, Völler


      • Axel_Borg Axel_Borg 10 janvier 2019 12:02

        @Axel_Borg,

        Pep Guardiola en coach du Barça j’ai zappé, ainsi que des joueurs de grande qualité comme Bierhoff, Breitner ou encore Crespo pour les sélections nationales All Time.


      • Lionel Ladenburger Lionel Ladenburger 10 janvier 2019 17:30

        @Axel_Borg

        Je reviendrai plus en details sur tes nombreux onzes (plus le temps aujourd’hui). Je vois que l’exercice te plait en tout cas. Perso j’adore faire des onze de legende. Pas facile de trouver l’alchimie et de devoir laisser certaines legendes sur le banc mais c’est ce qui rend l’exercice assez passionnant je trouve. 

        Une equipe pour laquelle j’ai enormement de mal a etablir un onze de legende c’est l’OM !!! Tu mettrais qui toi ? 

        Allez je file on en reparle demain ;)


      • Axel_Borg Axel_Borg 10 janvier 2019 17:56

        @Lionel,

        L’OM c’était mon dernier onze de légende dans le post de midi ... Après oui tout dépend si on fait juste les meilleurs joueurs ou si l’on essaie d’avoir un équilibre « historique » ...


      • Axel_Borg Axel_Borg 11 janvier 2019 10:49

        Bon Andy Murray va raccrocher sa raquette, il y a de fortes chances que son 1er tour contre Bautista Agut soit son tout dernier match sur le circuit ATP.

        Triste sortie à seulement 31 ans pour le dernier larron du Big Four ...


      • Lionel Ladenburger Lionel Ladenburger 11 janvier 2019 14:39

        @Axel_Borg
        Pas facile de faire l’OM. Amha Basile Boli devrait etre titulaire rien que pour son but en finale de C1. Mais bon c clairement une des equipes pour lesquelles degager un onze historique me semble le plus complexe vu le nombre de joueurs de talent ayant marque ce club... 


      • Lionel Ladenburger Lionel Ladenburger 11 janvier 2019 14:44

        @Axel_Borg
        Yep, le BIG 4 est mort... Vive le BIG 3 !!! Blague a part, oui, c’est bien triste pour Murray. J’aurai aime le voir gagner encore quelques Majeurs. L’annee prochaine il aurait pu defendre son titre olympique de surcroit. Et en tant que double tenant du titre olympique, il aurait pu viser a Tokyo une 3e medaille d’or d’affilee en simple. Autre regret, il ne gagnera jamais l’Open d’Australie, alors qu’il aurait merite d’inscrire son nom au palmares du GC oceanien. Encore une fois je ne peux m’empecher de faire le rapprochement avec Guillermo Villas, lui aussi petri de talent mais qui n’a pas gagne autant qu’il aurait sans doute pu du fait de la presence en son temps des trois autres monstres qu’etaient Borg, Connors et McEnroe... 


      • Axel_Borg Axel_Borg 11 janvier 2019 16:15

        @Lionel,

        Ah ça n’est évident pour aucun grand club ou aucune sélection nationale ou continentale.
        Pour Boli, joueur symbole en effet mais en-dessous de Mozer pour moi.
        J’ai mis Eric Di Meco pour que soit représentée la période clé des Minots du printemps 1981 qui sauva le club phocéen.


      • Axel_Borg Axel_Borg 11 janvier 2019 16:20

        @Lionel,

        Mais le Big Four était déjà mort depuis 2012-2013 en fait, aucun des 4 n’étant jamais au top en même temps. La dernière année où ils sont vraiment en forme en me^me temps c’est 2011 avec seulement 2 demies de GC concédées à la concurrence, Ferrer à l’OA et Tsonga à Wimbledon.

        Oui Murray immense champion car gagner 3 GC (comme Stan Wawrinka) au milieu du Big Three chapeau bas. Maudite hanche qui avait déjà mis un terme à la carrière de Guga Kuerten, avec ce match hommage à RG en 2008 au 1er tour contre PHM.

        Bien vu pour le // avec Vilas, on peut aussi mettre Michael Chang parmi le quatuor américain qui succéda à Jimbo et Big Mac. 1 seul GC pour Chang in fine, loin de Courier (4) et plus encore d’Agassi (8) et Sampras (14).

        Moi j’ai une pensée pour Robin Söderling aujourd’hui et pour Kuerten, bien triste de ne pas pouvoir décider de sa fin de carrière


      • Lionel Ladenburger Lionel Ladenburger 11 janvier 2019 16:59

        @Axel_Borg

        Selon moi le BIG 4 n’etait qu’un truc de journalistes jusqu’a ce que Murray atteigne lui aussi la place de n.1 mondial fin 2016. il me paraissait impossible de mettre Murray avec le trio Fedalic tant que l’Ecossais n’avait pas atteint le rang supreme. Du coup, a posteriori, c’est effectivement 2012 (annee ou les 4 ont chacun gagne un GC) qui restera dans les annales comme l’annee du « climax » du BIG 4 (j’insiste sur les guillemets). 

        Sinon, en attendant ton papier tennis, apres avoir vu le tirage au sort de l’AO, je pense que ton cher Novak a une chance en or d’aller chercher un 7e titre en terres australes cette annee. Le tableau de Djoko me semble excellent avec un qualifie au premier tour, puis (potentiellement) Tsonga, Shapovalov, Goffin ou Medvedev, Nishikori, Zverev (ou Thiem ou Coric). En somme, des joueurs qui ne devraient pas lui poser trop de soucis. 

        Reste a voir qui le Serbe affrontera en finale dans 15 jours. Federer a herite d un tableau complique avec un enchainement possible Monfils, Tsitsipas, Khachanov (ou Cilic) avant une eventuelle demi-finale face a Nadal (ou Anderson).

        Et justement en parlant de Nadal, on ne sait jamais avec lui mais j’ai du mal a croire qu’il sera en mesure d’enchainer 7 matchs au meilleur des 5 sets alors qu il n’a pas joue en competition officielle depuis des mois... 

        A voir mais une chose est sure, j’aimerai eviter une finale Djokovic-Anderson dont on connait l’issue avant meme le debut... 


      • Axel_Borg Axel_Borg 11 janvier 2019 17:20

        @Lionel,

        On a en effet voulu créer un Big Four qui n’en était pas un sur le modèle du Big 4 anglais de foot MU Chelski Arsenal Liverpool, j’avais d’ailleurs publié un papier après l’OA 2012 du Big Four au Big One, car en y regardant plus près Murray n’avait jamais gagné en GC, Federer (Big 3) ne gagnait plus depuis Melbourne 2010, et Nadal (Big 2) se faisait battre pour la 3e fois de suite par Djokovic, alais Big One avec 4 GC sur 5 possibles à l’époque.

        Djokovic est grand favori mais bon attention tout va tellement vite. Pour Nadal, je pense qu’une 1/2 sera son max vu en effet son manque de compétition. Federer a intérêt à ne pas laisser trop d’énergie en 1re semaine pour s’économiser et défendre son titre.
        Quant à Anderson, why not une 3e finale de GC ...

        Sinon je viens de publier mon papier tennis, j’espère qu’il sera publié lundi ou mardi.


      • Lionel Ladenburger Lionel Ladenburger 11 janvier 2019 17:23

        @Axel_Borg

        OK parfait David, je vais jeter un oeil deja sur ton papier ;)

        On enchainera la discussion la dessus avec les premiers resultats d’ici la.

        Bon week-end ;

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité



Les thématiques de l'article


Palmarès



Publicité