Il faut quand même rappeler à l’auteur que Lénine avait supprimé la fête de Noël pour la remplacer par une fête laïque des enfants, et qu’elle a été rétablie dans les années 1930, sous Staline.
L’enfant tète la religion dès le berceau. La famille ne lui demande pas son avis pour le baptiser ou le circoncire. Dans le second cas, la religion marque même indélébilement l’individu (mâle !) dans sa chair.
Cette simple observation suffit pour montrer le caractère autoritaire, archaïque et qui devrait être juridiquement condamné, du fait religieux.