Monsieur l’Avocat Général, on ne peut que vous donner raison sur le fond mais n’exécutez pas Frédéric Mitterrand d’un coup de plume !
iIl a intitulé son ouvrage « La Mauvaise Vie » et l’a conçu comme une confession dénuée d’exhibitionnisme, souhaitant simplement libérer sa conscience. Nul ne sait si les droits d’auteur sont allés à une oeuvre mais il n’est pas juste de le présenter comme vous le faites ici.