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Legestr glaz

Legestr glaz

J'en pince pour vous

Tableau de bord

  • Premier article le 30/06/2016
  • Modérateur depuis le 09/03/2017
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Derniers commentaires



  • Legestr glaz Legestr glaz 12 juin 14:49

    @Eric F
     
    Les génomes des « virus » sont tous construits, avant 2007 avec une certitude absolue, en faisant l’hypothèse que l’ARN découvert en culture était d’origine viral. Il ne l’était pas.

    L’hypothèse était « mauvaise ». Et tout ce qui a été fait, en tenant compte de cette hypothèse erronée est frappé d’un biais méthodologique rédhibitoire.

    Et ce que vous écrivez ici, c’est du même tonneau que l’histoire du Père Noël qui passe par la cheminée que l’on raconte aux enfants. Une belle histoire.

    Les « virus » ne sont rien d’autres que des chimères. En réalité, la biologie humaine va progresser à grands pas grâce à l’étude des exosomes. Les jours des virologues sont comptés, même si le business est florissant, la théorie virale ne pourra pas s’opposer à la force de la marée montante.

    ... L’endothélium vasculaire sain, qui forme la barrière entre le sang et les tissus environnants, est connu pour répondre efficacement aux signaux de stress tels que l’hypoxie et l’inflammation par l’adaptation de la physiologie cellulaire et la sécrétion de facteurs de croissance (solubles) et de cytokines. Les exosomes sont de puissants médiateurs de la communication intercellulaire. Leur contenu est constitué d’ARN et de protéines provenant de la cellule d’origine, et dépend donc de l’état de ces cellules au moment de la biogenèse des exosomes. Il a été suggéré que les exosomes protègent leurs cellules cibles du stress cellulaire par le transfert d’ARN et de protéines. Nous avons émis l’hypothèse que les exosomes dérivés de l’endothélium sont impliqués dans la réponse endothéliale au stress cellulaire, et que le contenu en ARN et en protéines des exosomes reflète les effets du stress cellulaire induit par l’hypoxie, l’inflammation ou l’hyperglycémie.« ... 

    Les exosomes sont comme des »messagers" cellulaires : ils transportent des molécules, dont des ARN, vers d’autres cellules. Mais leur contenu change selon l’état de la cellule qui les produit.

    Dans une cellule saine, les exosomes contiennent des ARN qui aident à maintenir l’équilibre du corps, comme des signaux pour réguler la croissance ou la réparation des tissus.

    Dans une cellule stressée (en cas d’inflammation, de cancer ou d’infection), les exosomes transportent des ARN différents, qui reflètent cet état de stress.

    Cette variabilité est essentielle : les ARN des exosomes d’une cellule malade ne ressemblent pas à ceux d’une cellule saine. Avant 2007, les scientifiques, ignorant ce phénomène, ont souvent interprété les ARN des exosomes, surtout dans des échantillons de patients malades, comme des génomes viraux.



  • Legestr glaz Legestr glaz 12 juin 14:34

    @Enki
     copié-collé : « Quand ils ont découvert les exosomes et, plus tard, comme vous l’indiquez que ceux-ci peuvent transporter de l’ARN ou des fragments d’ADN, cela les a certainement conduit à reconsidérer les virus.

    Mais au lieu de déclarer que les virus sont en fait des exosomes, ils en ont constaté des différences et les ont discriminés comme je vous l’avais écrit plus haut  : »
     Et bien non, ils ne l’ont pas fait. Dommage.
    Parce que la science n’est pas figée. Quand une hypothèse est infirmée, il faut avoir l’humilité de l’abandonner, même si cela signifie remettre en question des années de travail ou des conclusions bien établies. Cela ne veut pas dire que les scientifiques d’avant 2007 étaient incompétents ; ils travaillaient avec les connaissances de leur époque. Mais aujourd’hui, grâce à la découverte du rôle des exosomes, nous savons que les ARN extracellulaires ne sont pas nécessairement viraux, et que leur contenu varie selon l’état des cellules.

    Et lorsque vous parlez de « discrimination », c’est faux, les virologues vont même dans le sens inverse. Ils viennent confirmer leur mauvaise hypothèse en formulant que les exosomes transportent du matériel viral. C’est le comble du comble. Ils ne se rendent même pas compte que ce sont eux qui ont attribué, par hypothèse, des séquences ARN venant des exosomes, comme provenant de « virus ». A cette époque, avant 2007, ils ne pouvaient pas le savoir. Pas de préjugés sur cette hypothèse : ils réfléchissaient en fonction des connaissances acquises.
    Mais aujourd’hui, après avoir « séquencé » l’ARN provenant d’exosomes, après l’avoir attribué par erreur à des « virus », et qu’ils découvrent ces mêmes séquences transportées par les exosomes, ils concluent : c’est du matériel viral. C’est un raisonnement purement circulaire.
    Les virologues se sont plantés en attribuant « faussement » une qualification de « virale » à de l’ARN exosomal. Lorsqu’ils retrouvent cet ARN dans l’exosome ils déclare qu’il est viral. Mais il est « viral » pour le simple fait qu’ils se sont trompés « avant ».

    Et figurez vous que la virologie fonctionne par « homologie ». Ce qui fait que le « génome » du SARS-COV2, en 2020, a été séquencé grâce au génome du SARS-COV1, construit lui en 2003, donc bien avant que les virologues sachent que les exosomes transportaient de l’ARN.
    Et pour les « rétrovirus » nous sommes très exactement dans le même cas de figure. Ce sont des séquences de l’ADN humain qui présentent des similitudes avec des génomes viraux. Et pourquoi diable ? Parce que c’est de l’ARN humain qui a été séquencé et « attribué par méprise » à du matériel viral. 

    Et pour la transcriptase inverse c’est encore la même chose. Elle a été attribuée à du matériel viral parce qu’au moment de sa découverte, en 1970, il ne pouvait en être autrement puisqu’à cette époque l’ARN était « forcément » viral. L’effet « transcriptase inverse », alors inconnu, a été attribué à un fonctionnement « viral » parce que ce fonctionnement était absolument inconnu dans les cellules humaines.

    Aujourd’hui, des études montrent, sans aucune ambiguïté, que les cellules humaines possèdent leur propre « transcriptase inverse ». Et une enzyme transcriptase inverse a très bien pu être transportée par les exosomes. L’idée « folle » que 8% du génome humain seraient composés de rétrovirus ayant infecté l’organisme humain par le passé est déraisonnable. Ces séquences des rétrovirus sont en réalité des séquences humaines, attribuées par erreur à du matériel viral.

    Voilà, la virologie ne veut pas ré-examiner la théorie virale en tenant compte des recherches fondamentales du XXIème siècle. Maintenant la virologie utilise la technique des « épicycles » pour faire tenir debout une théorie en fin de vie.

     Le transport d’ARN, de protéines et d’enzymes par les exosomes est une réalité biologique indiscutable.
     L’endocytose « inter-espèces » est une réalité biologique indiscutable
     Le phénomène de transcriptase inverse « cellulaire » est une réalité biologique indiscutable.
     La cargaison d’ARN des exosomes varie en fonction de l’état de la cellule. L’ARN relargué est différent dans une cellule saine et une cellule sous stress. C’est une réalité indiscutable.

    Je ne suis pas « anti-virus » pour être « anti-virus ». Je lis les études scientifiques, je les comprends, et je les mets en perspective. Et il se trouve que les découvertes fondamentales sur les exosomes s’opposent frontalement aujourd’hui à la théorie virale. Comme les découvertes de Copernic et Galilée s’opposaient frontalement à la théorie géocentrique. Et je ne suis pas à l’origine de ces découvertes : je les lis et je les mets en perspective. Ce que devraient faire les virologues. Mais, il semblerait que le business viral soit très lucratif.


  • Legestr glaz Legestr glaz 12 juin 06:14

    @Enki
     
    Vous n’avez pas répondu. Le fait que l’on parle de vésicules extracellulaires ou d’exosomes n’a pas d’importance. C’est leurs rôles et leurs fonctions qui sont importants à connaitre.

    Et la question était Enki : quel genre de mise en perspective faites vous après la découverte que les exosomes transportent de l’ARN, des protéines et des enzymes dans l’espace extra cellulaire, en lien avec la virologie ? Expliquez nous votre point de vue. Rien d’autre Enki !

    Quant à moi je dis ceci : « La méthode scientifique repose sur l’acceptation que les hypothèses peuvent être infirmées et il est essentiel de respecter cette »règle du jeu" en abandonnant une hypothèse fausse et en réévaluant ses déductions.
    Dans le cas des ARN extracellulaires, l’hypothèse pré-2007 selon laquelle ils étaient toujours viraux a été infirmée par la découverte du rôle des exosomes, ce qui impose une réévaluation des séquences archivées comme virales. L’importance de ne pas insister sur une hypothèse invalidée est cruciale pour garantir la rigueur scientifique.

    C’est clair pour vous ou pas ?



  • Legestr glaz Legestr glaz 12 juin 06:08

    @Enki

    copié-collé : « Je constate que vous prétendez mieux savoir que les biologistes qui présentent des photos prises au microscope à balayage électronique parfois de virus, parfois de vésicules extracellulaires. »

    Sachez, Enki, qu’il n’existe pas de « photos » prises au microscope à la balayage électronique, preuve de votre « approximation » la plus totale du fonctionnement de cette technologie.
    Ce que vous avez sous les yeux se sont des « images de synthèse » pas des photographies. Le MET collecte d’abord des « données brutes » qui sont ensuite traitées par des « logiciels » pour « générer des images ».

    Les virus et les exosomes partagent des caractéristiques morphologiques similaires lorsqu’ils sont observés au microscope électronique : de tailles, les deux ont des diamètres dans une gamme comparable, généralement entre 30 et 200 nm ; de forme, les deux apparaissent souvent comme des vésicules sphériques ou légèrement ovales ; de structure, les deux possèdent une membrane lipidique (enveloppe pour certains virus, membrane plasmique dérivée pour les exosomes), ce qui donne un aspect similaire en microscopie électronique à balayage (MEB) ou à transmission (MET).

    En raison de ces similitudes, une image brute issue d’un microscope électronique ne suffit pas à distinguer un virus d’un exosome sans « analyses complémentaires ». Comment font alors les chercheurs ? Ils font « l’hypothèse » qu’il s’agit d’un virus et procèdent par PCR et immunomarquage. Sauf que, en faisant cela, ils ont déjà validé le fait qu’il s’agit d’un virus. C’est simplement un raisonnement circulaire. Mais je ne suis pas certain que vous compreniez ce genre de subtilité, parce que vous, vous croyez qu’il s’agit d’une belle « photographie ».



  • Legestr glaz Legestr glaz 11 juin 23:36

    @Enki

    Non pas mieux que les biologistes, mais que vous qui pataugez.

    Les études scientifiques sont à la disposition de chacun. Il suffit de faire des mises en perspective après les avoir lues.

    Comme par exemple avec cette étude de 2007 de Valadi et al. qui détermine que les exosomes transportent de l’ARN des protéines et des enzymes dans le milieu extracellulaire, ce qui était ignoré jusque là !

    Et vous Enki que faites vous de cette « information fondamentale ». Vous en faites quoi ? Comment les « liens » se font dans votre cerveau ? Dans le mien je sais, mais dans le vôtre ?

    « Exosome-mediated transfer of mRNAs and microRNAs is a novel mechanism of genetic exchange between cells »


    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17486113/
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