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Krokodilo

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Médecin généraliste, je m’intéresse à tous les sujets sur lesquels je n’ai aucune compétence, ce qui me laisse un large champ d’intervention. A l’époque où j’enquêtais sur les OVNI, j’ai percé le grand secret de la zone 51 : les extra-terrestres sont effectivement venus sur Terre, mais ils ont trouvé l’anglais trop difficile et sont repartis. Depuis, je m’intéresse à la question des langues, de la communication internationale et de l’espéranto.


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  • Premier article le 06/12/2006
  • Modérateur depuis le 09/01/2007
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Derniers commentaires



  • Krokodilo Krokodilo 31 janvier 2008 15:58

    Espérantulo, actuellement, le choix des langues détermine au collège la constitution des classes. Avec un système différent, on pourrait garder une langue étrangère n°1 et n°2 mais, dans la même classe, il pourrait se trouver des élèves ayant choisi comme LV1 anglais, d’autres allemand, d’autres espagnol, voire d’autres voulant valider en externe une autre langue (celle des origines familiales, par exemple, ou une langue non disponible dans l’établissement) ; et ceux-là n’auraient pas cours dans l’établissement pendant que les autres feraient leurs cours de LV1, dans l’hypothèse que je proposais. Evidememnt, ça suppose un emploi du temps plus difficile à gérer, mais comme certains établissemetns font déjà des groupes de niveau de langues inter-classes, je suppose que c’est possible.



  • Krokodilo Krokodilo 30 janvier 2008 14:48

    J’en ai parlé dans mon article "réforme etc." ! d’une part, il semble que plus d’une cinquantaine d’établissements pratiquent déjà ce "nouveau" mode d’enseignement, en modules et groupes de niveau, que ce soit même recommandé par les Académies. Il me semble donc que c’est un mouvement de fond, encore peu connu.

     

    D’autre part, cela va dans le sens de la souplesse d"organisation, la fin des filières rigides conditionnées par le choix des langues, la fin des petites ruses telles que faire choisir aux gosses russe, allemand, chinois et autres pour se retrouver dans des filières ou des classes supposées pointues, d’élite, sélectionnées.

     

    Les filières sont un casse-tête logistique : Dans le lien que j’ai collé sur une fédération de parents d’élèves, il est mentionné que certains établissements suggèrent pour la 6e de poursuivre ce qu’on a commencé au primaire (anglais !), cachant ainsi l’absence de profs d’espagnol ou d’italien en 6e par une logique apparente !

     

    Mais cette suppression de filières LV1 et 2 ne sous-entend nullement qu’on ne puisse plus privilégier une langue. Dans ma proposition, il suffirait d’exiger tel niveau dans une langue (A2, éventuellement B1 mais attention à ne pas fixer d’objectifs surréalistes). Il serait effectivement plus juste de parler de séparation, de déconnexion des langues par rapport aux filières traditionnelles, c’est-à-dire que quelle que soit la classe ou la filière, on pourrait librement choisir en LV1 et 2 la langue de son choix.

     

    En clair (!), ce ne seraient plus des filières mais des niveaux.



  • Krokodilo Krokodilo 30 janvier 2008 14:32

    Effectivement, le monde n’est pas uni et doit cohabiter, mais si une infirmière va bosser en Arabie saoudite, pas question qu’ele fasse du nudisme sur la plage, elle finirait en taule pour longtemps, elle ne pourra même pas conduire. Alors, si ces rares peuples qui pratiquent ces mutilations extrêmes viennent chez nous, qu’ils respectent nos lois.



  • Krokodilo Krokodilo 30 janvier 2008 14:29

    Bon article, utile. Vous auriez pu commencer par un bref historique des mutilations rituelles, coutumes aussi vieilles que l’humanité, qui ont pris toute sorte de forme (allongement du cou, des lèvres, des oreilles, scarifications, perçages du nez, des lèvres, des oreiles, tatouages, etc. j’en oublie certainement. Ces mutilations correspondaint souvent à des passages rituels d’un monde à l’autre, de l’enfance à l’âge de procréer, de l’enfance au guerrier, etc. Les souffrances infligées ne l’étaient pas seulement aux femmes, elles se retrouvaient dans la plupart des rituels de passage au stade adulte des civilisations primitives, d’autant plus dures que le mode de vie était plus guerrier et plus difficile. De nos jours et chez nous, la mode des piercings n’est rien d’autre qu’un nouvel avatar édulcoré de ces coutumes.

     

    Mais dans le cas des mutilations sexuelles se greffent visiblement des éléments sado-maso de domination du sexe mâle sur "le deuxième sexe", avec privation du plaisir sexuel, etc. On est plus proche de l’interdiction de la conduite, de l’obligation de se voiler presque intégralement, que de l’acceptation dans le monde des adultes.

     

    L’article est utile, mais je comrpends mal le sens de la chute "en quoi l’excision dérange-t-elle , en quoi est-elle un viol du corps et de la conscience humaine ? "

     Que dans des régions limitées ce soient des coutumes (ont-elles le choix ? sauf à être chassées de leur peuple), évidemment, mais c’est à nous que vous posez la question ; de notre point de vue et sur notre sol, ce sont des crimes.

     



  • Krokodilo Krokodilo 30 janvier 2008 13:43

    Je crois que la charte d’Agora vox me donne le droit, en tant qu’auteur de l’article, de te rappeler que pour tes règlements de compte personnels, il serait plus poli de le faire ailleurs et de ne pas pourrir la discussion.

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