En fait en gros vous proposez de vous servir chez ceux qui ont été un peu plus prévoyants que vous. Les banques, c’est l’épargne des Français, des plus modestes aux plus prospères. Vous comprendrez qu’ils ne seront pas d’accord, non ? Alors que le sort des « riches » vous indiffère, je peux imaginer (je ne dis pas comprendre), mais vouloir ruiner celui qui a mis quelques sous de côté à la sueur de son front, c’est ...
Il ne faut pas vous inquiéter : les JL et compagnie jouent les matamores, mais quand ils seront devant le choix, ils feront comme les Grecs. Je me demande encore pourquoi ils ont choisi de garder l’euro... En fait le choix est assez simple : se serrer (violemment) la ceinture ou la misère noire (comme au Venezuela que vous évoquez à juste titre). Ah oui, suis-je bête : le Venezuela, comme les autres régimes totalitaro-socialistes sont victimes des méchants capitalistes. C’est bien une tare socialiste de toujours chercher la faute chez les autres.
A partir du moment où on essaie de s’en sortir sans rien demander à personne et qu’on assume ses responsabilités, on est « riche » pour ces gens. Belle mentalité !
Mais bon, essayer de faire rentrer un minimum de notions d’économie dans leurs têtes est aussi compliqué que danser le tango avec 25 mètres de tuyau d’arrosage.
Et il y en a pour imaginer que je suis riche. Pure spéculation, vous n’avez pas bien lu mes commentaires et encore moins mon article pour raconter une énormité pareille. A moins que vous ne pensiez comme Raoul le dingue porte-parole de notre PTB (une sorte d’insoumis belge) qu’on est riche à partir de 1500€/mois.
Joli monde que vous promouvez là. Gardez-le et surtout continuez à croire que vous pouvez vivre sur le dos du reste du monde. Quand on est surendetté comme la France (et par extension les Français), il est suicidaire de cracher à la figure de ses créanciers. C’est vous qui voyez, les Grecs ont vu...
Selon moi, les principaux responsable de la précarité sont :
-L’encouragement à la médiocrité d’un système éducatif qui cultive l’excuse et l’égalitarisme à tout crin. Pour les enseignants comme pour vous, « les zinégalités » sont le diable en personne.
-La déresponsabilisation complète des « précaires ». Si l’aide sociale était liée au comportement, on aurait déjà beaucoup moins de problèmes : ne pas saloper son environnement, ne pas emmerder le voisinage, se prendre un minimum en main serait déjà un bon début. Et je ne parle même pas de se rendre utile à la communauté (vous avez vu l’état de mon quartier ?), là c’est carrément du domaine du délire.