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JC. Moreau

JC. Moreau

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  • Premier article le 07/02/2007
  • Modérateur depuis le 15/02/2007
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  • JC. Moreau JC. Moreau 26 août 2009 17:28

    @ JC Allard,

    Bonjour,

    Vous dites : "La seule réponse efficace à une calomnie c’est d’en prouver la fausseté. Ce que personne en Israel ne semble s’intéresser à faire".

    Pour ma part, en tant que lecteur lambda, avant de me demander si une personne accusée de telle exaction a su démontrer la fausseté des allégations portées contre elle, je m’interroge à titre personnel sur la crédibilité de ladite allégation.

    Or, en l’occurrence, comme d’autres l’ont déjà souligné, l’exemple que le journaliste met en avant pour étayer ses soupçons va à l’encontre même de la thèse qu’il expose.

    En effet, si l’on en croit le cas mis en avant par D. Böstrom, il parait difficile de ne pas souligner une certaine invraisemblance. Car à lire le récit de la mort du jeune Bilal Achmad Ghanem, l’hypothèse d’un prélèvement d’organe paraît peu crédible :

    "Tout s’est déroulé selon le plan de la force spéciale israélienne. Les soldats ont écrasé leurs cigarettes, posé leurs canettes de Coca-Cola, et ont visé calmement à travers la fenêtre brisée. Quand Bilal a été suffisamment proche, ils n’ont eu qu’à tirer sur la gâchette. Le premier coup l’a frappé à la poitrine. Selon des villageois qui ont été témoins de l’incident, il a été touché par une balle dans chaque jambe. Deux soldats sont alors descendus en courant de l’atelier de menuiserie et ont tiré à nouveau sur Bilal dans le ventre« . [ Pour une traduction intégrale de l’article, voir ici ]

    Personnellement j’ai du mal à croire, à partir du cas mis en avant par ce journaliste, à la thèse d’un trafic d’organes organisé à partir de « donneurs » qui seraient ainsi blessés là où se trouvent les organes susceptibles d’être prélevés.



  • JC. Moreau JC. Moreau 25 août 2009 18:04

    @ Leon,

    Vous avez raison. Mais en l’occurrence, il paraît peu crédible que l’on ait ouvert le torse du jeune Bilal Achmad Ghanem pour lui prélever les yeux.
    Enfin, après tout qui sait, il est vrai que je n’ai pas fait médecine... peut-être pourriez vous m’expliquer plus en détail ce qui, selon vous, accrédite la thèse de Böstrom à partir du cas que lui même met en avant, lequel me paraît pour la part au contraire réfuter ses assertions.



  • JC. Moreau JC. Moreau 24 août 2009 23:26

    @ Globereporter

    SI l’on en croit le cas mis en avant par D. Böstrom pour étayer son propos, il parait difficile de ne pas relever une certaine invraisemblance. A lire le récit que lui-même fait de la mort du jeune Bilal Achmad Ghanem, en effet, l’hypothèse d’un prélèvement d’organe paraît peu crédible :

    "Tout s’est déroulé selon le plan de la force spéciale israélienne. Les soldats ont écrasé leurs cigarettes, posé leurs canettes de Coca-Cola, et ont visé calmement à travers la fenêtre brisée. Quand Bilal a été suffisamment proche, ils n’ont eu qu’à tirer sur la gâchette. Le premier coup l’a frappé à la poitrine. Selon des villageois qui ont été témoins de l’incident, il a été touché par une balle dans chaque jambe. Deux soldats sont alors descendus en courant de l’atelier de menuiserie et ont tiré à nouveau sur Bilal dans le ventre« . [ Pour une traduction intégrale de l’article, voir ici ]

    Personnellement j’ai du mal à croire, à partir du cas mis en avant par ce journaliste, à la thèse d’un trafic d’organes organisé à partir de »donneurs" qui seraient ainsi blessés là où se trouvent les organes susceptibles d’être prélevés.



  • JC. Moreau JC. Moreau 24 juillet 2009 23:33

    @ L’auteur,

    Vous nous dites entre autres choses : "le but de cet article ne saurait être celui de remettre en cause le soutien apporté aux autres prisonniers français détenus légalement ou illégalement à l’étranger."

    Pourquoi effectivement consacrer le présent article à la remise en cause de l’action diplomatique auprès des français incarcérés à l’étranger, puisque vous vous êtes déjà employé à cette tâche à l’occasion de l’affaire Florence Cassez ?

    Dossier à propos duquel vous étiez d’ailleurs moins regardant en matière de bonne administration de la justice et du respect des conventions internationales.

    Vous n’aviez d’ailleurs pas hésiter alors à nous gratifier de cette sentence magistrale : "Mais, quand est-ce qu’on trouvera enfin en France un peu d’humilité ? A quel moment nous aurons une perception horizontale des choses, au lieu de toujours se placer en champion de la justice et de l’égalité alors qu’ici même, les injustices se comptent par milliers ?"

    Bref, même si l’affaire Hamouri déshonore à l’évidence l’institution judiciaire israélienne, vos nombreuses contradictions ne servent pas la cause que vous défendez aujourd’hui, le « deux poids deux mesures » que vous avez appréciez tant dénoncer chez autrui étant de façon trop évidente au coeur de vos propres engagements.



  • JC. Moreau JC. Moreau 23 juillet 2009 19:53

    @Mohamed Pascal Hilout,

    S’agissant de votre pétition, il me semble avoir dit assez clairement dans mes précédentes interventions ce que je pensais du port du voile intégrale, de même que je vous ai expliqué les raisons pour lesquelles j’étais opposé à une interdiction du port du voile dans les universités.

    Par ailleurs au sujet de l’arrêt de la CEDH que vous évoquez (Leyla Sahin contre Turquie), il n’est pas inutile de préciser que celui-ci avait très clairement pris en considération l’imminence du danger politique que représentait les islamistes dans le contexte national turc. Et même malgré les avancées récentes de la Cour européenne en matière de laïcité (En décembre 2008 : Dogru c France, Kervanci c. France – En juillet 2009 : Aktas c. France, Bayrak c. France, Gamaleddyn c. France, Ghazal c. France : voir ici pour une synthèse des arrêts rendus.), il me paraît toujours discutable eu égard au statut des universités et au contexte national français que la jurisprudence Leyla Sahin contre Turquie puisse être invoquée par la France si jamais elle venait à interdire le port de signes religieux dans l’enceinte des universités.

    Pour ce qui est du voilement des fillettes, et aussi détestable que cela puisse être, l’autorité parentale doit rester la règle. On n’interdit pas aux Témoins de Jéhovah de traîner leurs enfants cinq fois par semaine à des réunions religieuses où leur est enseignée la méfiance systématique à l’égard des « gens du dehors ». Bref, à moins de parvenir à caractériser le port du voile comme une forme de maltraitance spécifique (et là je suis tout prêt à entendre vos arguments), il me paraît dangereux d’ouvrir cette brèche légale qui consisterait peu ou prou à conditionner l’autorité parentale au caractère « laïque » de l’éducation prodiguée aux enfants.

    Enfin, votre prise de position lors de l’affaire Truchelut m’incite à penser que vos exigences en matière de restriction de la liberté religieuse ne s’arrêtent pas aux doléances contenues dans votre pétition. En effet, à l’occasion de l’affaire Truchelut, il était bien question de subordonner de façon arbitraire le bénéfice d’un service commercial à une privation de la liberté religieuse. On est alors loin des restrictions limitées dont vous me parlez aujourd’hui.

    C’est d’ailleurs sur ce dernier point que nous resterons opposé, puisqu’il est à mon sens emblématique de votre refus de prendre en considération la parole des femmes qui assument le port du voile comme un choix revendiqué.

    Ceci étant dit, je tiens également à vous faire part de mes remerciements pour les suites données à notre échange. A défaut d’adhérer à vos arguments, j’apprécie votre pugnacité.
    Et espérant ainsi pouvoir recueillir les fruits de cette débauche de politesse, j’aimerais à l’occasion connaître votre opinion sur les questions que j’ai précédemment évoquées à propos de la distinction entre sécularisation et laïcité (voir « en réponse à votre 3 »), de la liberté de choix des affiliations et des problèmes que soulèvent le recours à la loi en termes de « coloration » politique d’un discours féministe (voir « en réponse à votre 4 »).

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