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Albert Ricchi

Albert Ricchi

Journaliste citoyen, mon blog est consacré à la politique, la démocratie, l’économie, l'environnement ainsi qu'à toutes les vraies réformes à entreprendre aujourd'hui afin de réconcilier les citoyens avec la République et la justice sociale.
Réformer Aujourd'hui
http://reformeraujourdhui.blogspot.com/

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  • Premier article le 06/03/2007
  • Modérateur depuis le 21/03/2007
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Derniers commentaires



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 27 janvier 2013 16:38

    @ bigglop

    Merci pour votre commentaire mais Il semble que vous vous mépreniez sur mes propos qui n’ont jamais été de défendre la situation interne des USA, du Royaume-Uni ou du Japon et leur monétisation de la dette, ni d’expliquer l’origine de la crise financière que vous abordez largement dans votre commentaire.

    C’est de dire avant tout que s’il avait eu une monétisation des dettes de la France auprès de la banque de France puis de la BCE, le déficit de la France serait nettement moindre et nous n’emprunterions pas aujourd’hui sur les marchés financiers (ni les autres pays européens d’ailleurs) . C’est parce que l’Europe est dirigé par des banquiers que nous sommes dans une telle situation.

    L’essentiel est aujourd’hui en fait passé sous silence : le traité de Maastricht et la définition qu’il donne des missions de la banque centrale Européenne. De nombreux économistes (P. Artus, J. Pisani-Ferry, H. Rey) ont souligné que pour mettre un coup d’arrêt à la crise de la dette, il faudrait que la BCE annonce un taux d’intérêt plafond sur les dettes publiques et son intention de racheter sans limitation les titres de dette si ce taux est dépassé sur le marché. J.C. Trichet, puis M. Draghi se sont refusés jusqu’ici à une telle politique en invoquant la lettre des Traités et le statut de la BCE…

    Cordialement

    Albert



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 1er janvier 2013 23:22

    @ T. Rex

    La tranche d’imposition à 75% pour les revenus > 1 000 000 € est purement symbolique et destinée avant tout à faire croire au bon peuple que le cap gouvernemental est très à gauche. Elle est de plus provisoire (2 ans), ne concerne en fait qu’une infime minorité de contribuables (1500 à 2000 personnes) et aurait généré des recettes fiscales dérisoires (P. Moscovici, lui-même admet qu’elle ne rapporterait que de 400 à 500 millions d’euros au mieux, soit 1% de ce que l’on pourrait gagner en supprimant une grande partie des niches fiscales...)

    De plus, comme le souligne le Conseil constitutionnel, avec cette taxation, un ménage, dont chaque membre percevrait un revenu de 900000 euros, se trouverait exempté, tandis qu’un autre, dont un seul membre gagnerait 1,2 million d’euros et l’autre rien, devrait l’acquitter ! Tout cela souligne un grand amateurisme du gouvernement et surtout le refus de François Hollande de se livrer à une grande réforme fiscale rétablissant un peu de logique dans un système qui s’est construit par empilements successifs de mesures parfois contradictoires…

    Quand au QF, j’observe que vous semblez préférer le système actuel si cher à la droite et maintenu avec une modification à la marge par la gauche. Un mécanisme qui prend en compte la taille de la famille, mais subventionne davantage les familles riches que les familles pauvres, la réduction d’impôt étant proportionnelle au revenu dans la limite d’un plafond élevé. 

    Après avoir donné lieu à des commentaires différents de la part des membres de son entourage, François Hollande a tranché : le quotient familial sera maintenu et le plafonnement légèrement diminué de 300 € pour les familles imposables en haut de l’échelle. Actuellement, pour 1 enfant, soit 1/2 part : 2385 € de réduction au maximum ; Pour 2 enfants, soit 1 part : 2385 x 2 = 4 770 € ; Pour 3 enfants, le plafond s’applique avec 2 parts (0.5 + 0.5 + 1) soit 9 540 € de réduction.

    A peine esquissé, le projet de remplacer le quotient familial par un crédit d’impôt est donc déjà enterré. Pourtant, cette façon de faire aurait permis de réduire les inégalités entre les familles les plus pauvres et les plus riches. Elle aurait permis aussi aux 47% de familles non imposables de bénéficier pleinement de cet avantage fiscal chaque année. 

    Selon une étude de la direction générale du Trésor, si le quotient familial était supprimé et remplacé par un crédit d’impôt de 607 € par enfant, représentant exactement le même budget global, 4,3 millions de ménages seraient perdants (pour un montant moyen de 930 € par an) et 4,8 millions seraient gagnants, pour un montant moyen de 830 € par an. Globalement, les familles avec enfants ne perdraient rien au change, mais en revanche, les familles modestes (peu ou pas imposées) verraient leur niveau de vie augmenter tandis que les familles aisées le verraient diminuer. Compte tenu de la concentration des gains actuels du quotient familial sur les 11 % les mieux lotis de la population, les trois quarts des pertes (soit 3 milliards € sur 4) seraient supportées par cette partie de la population. L’effet sur la répartition des revenus serait donc sensible.

    Que la France abandonne le quotient familial, qui n’est plus appliqué en Europe que par deux pays (Luxembourg et Suisse) et qu’elle adopte un système de crédit d’impôt comme le font déjà la Belgique, le Canada, l’Espagne, la Hongrie, l’Italie, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la République tchèque et l’Allemagne, ne serait donc pas déraisonnable.



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 24 novembre 2012 19:57

    @ leypanou

    Tout à fait d’accord avec vous, en particulier sur un élément que vous citez justement et qui n’est jamais commenté dans les médias, à savoir que c’est Laurent Fabius qui a donné un coup fatal à la progressivité de l’IR dont le rendement est aujourd’hui ridicule et qui couvre à peine les intérêts de la dette...

    D’accord aussi pour ne pas se faire trop d’illusions sur un gouvernement qui augmente la TVA, qui a maintenu la niche fiscale, dite Copé, ou celle des investissements en Outremer qui permet à certains hauts revenus d’échapper complètement à l’IR !

    Alors, changer l’assiette des cotisations de SS pour passer du salaire au revenu fiscal déclaré, c’est plutôt un rêve...

    Cordialement
    Albert

     



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 4 juin 2012 22:20

    @ Lebreton

    Vous devriez prendre une loupe avant de lire des articles sur Agoravox car à ma connaissance René Dosière n’est pas membre de l’UMP mais apparenté PS.

    Et ajoutons pour votre information que René Dosière, grand pourfendeur des dérapages du train de vie de l’Etat et des élus, a eu la surprise d’apprendre qu’il se verrait opposer un candidat PS à la législative en la personne de Fawwaz karimet, qu’il avait déjà battu en 2007. Si René Dosière a de vrais ennemis à droite, il a aussi de faux amis à gauche...

    Mais c’est vrai la malhonnêteté intellectuelle est courante de nos jours !

     

     



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 26 mai 2012 18:15

    Bonjour Antoine,


    Merci pour vos commentaires et l’attention que vous avez porté cet article.

    Effectivement, les chiffres sont un peu compliqués à appréhender.

    Le deuxième type de fromage analogue (Lygomme Tach Optimum ) coûte 60% de moins environ en coût de production pour les industriels par rapport au premier type de fromage analogue, soit par exemple 40 pour le second au lieu de 100 pour le premier).

    Ce même deuxième type coûte 200% de moins qu’un vrai fromage, soit par exemple 50 au lieu de 150 ou 33 sur une base 100.

    Amicalement

    Albert

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