Apôtre du dé à 10 faces, grand amateur de bonne chère et de musiques underground, souvent incompris de mes pairs, je cultive le décalage et la geekness comme d’autres leur potager.
Il subsiste toutefois une lueur d’espoir chez les labels indépendants : j’ai acheté le dernier album de la Ruda (paru chez Irfan) à 10 euros (en concert), et un de mes amis l’a acquis chez un disquaire d’Angers pour la modique somme de 7.75 euros...
Et le Ruda n’est qu’un exemple parmi tant d’autres d’artistes qui migrent de grosses boîtes (ils ont commencé chez Sony) vers des petits labels sans perdre pour autant leur public et tout en continuant d’en vivre.
Le parallèle de la musique avec ce qu’a connu le jeu de rôle il y a quelques années est évident : à présent on trouve d’aussi bons jeux chez Hexagonal (distributeur français des jeux de White Wolf, offrant des livres soignés) que chez Phenix editions (plus roots) ou même en PDF sur indie-rpg.net. Le parallèle avec « CDs soignés / CDs plus simples en petites structures / mp3 » me semble évident. Que retenir de tout ça ? Que le jdr n’est pas mort !
Autrement dit : « Tu n’exporteras point l’esperanto chez ton transatlantique cousin ».
La traditionnelle baston mise à part, ce n’est plus en fin de primaire que l’enseignement d’un français correct doit être effectué. Cela relève du devoir des parents quand l’enfant apprend à lire/écrire. Inutile de réduire le temps octroyé à l’anglais.
Dommage que le texte soit mal amené, j’ai failli louper ce sympathique article.
Pourtant, si le site se limite à un référencement par chaque abonné de ses lectures (avec argumentation), quelle en est l’utilité ? Il vaut mieux connaître les inscrits au préalable, et si le nombre de participants est trop important, le visiteur lambda n’aura pas les moyens de se dépêtrer dans la masse d’informations !
Il reste un point que personne n’a soulevé : vous vous rendez compte que maintenant qu’il est libéré on va à nouveau devoir supporter sa bouillie infâme et geignarde ? Pauvres esgourdes que les miennes.