lisca

Excellent, Non 666
Le chant spartiate : « Nous sommes ce que vous fûtes ; nous serons ce que vous êtes » est dans sa simplicité l’hymne abrégé de toute patrie." dit Renan.
Quelle belle phrase !
Avant la volonté de vivre-ensemble ( se marier présuppose un consentement mutuel) Renan signale bien qu’il faut une communauté de passé. Ce qui exclut automatiquement les pas de souche.
Et de toutes façons, personne ne veut du vivre-ensemble, surtout pas les prêcheurs de haut ou bas niveau, qu’ils soient politiciens ou rappeurs. Quant aux Français, les vrais, si vous leur demandez leur avis comme le préconise Renan, ils ne le veulent absolument pas majoritairement. Quel est leur intérêt là-dedans ?
Chacun se réfugie dans sa communauté, à commencer par ces odieux pipoles. C’est moins infernal dans les nouvelles babylones.

France terre d’asile de fous. Ce qui ne me fait pas rire.
Article bien évidemment bourré des clichés du nouvel ordre mondial qui réserve aux Français le destin ou la menace de l’image.
http://www.cinema-francais.fr/images/affiches/affiches_v/affiches_vernay_robert/sur_le_b anc.jpg

Ils deviendront tout dociles, ne s’occuperont plus que de leur litron, et en avant les bénefs !

@l’auteur
Bien trouvé, le terme fainéant pour qualifier le bonhomme. Littéralement : qui ne fait rien. Pour la France, trahissant la fonction qu’il OCCUPE comme l’occupant, il ne fait réellement RIEN de voulu ni demandé par le peuple français.
Bien trouvé, parce qu’il donne l’impression de faire beaucoup, d’être monté sur un ressort.
Il est en revanche un « fait-tout » pour des puissances étrangères, pas pour les gens qui croyaient l’élire comme LEUR président.
Par contre, le terme de ROI me semble ne pas convenir.
Le roi, c’est l’incarnation du peuple. Sa personne représente tout le pays. Elle a vocation à le défendre contre la tyrannie de seigneurs que nous appellerions aujourd’hui oligarques, sans l’esprit de chevalerie qui régissait la conduite des nobles.
Sarkozy n’est pas du tout un roi dans ce sens. Le roi, de plus, avait une mission divine et un sens élevé de ses obligations, au moins en théorie. Il devait combattre en permanence la montée en puissance des nobles, ruant dans les brancards pour s’assurer la complète domination du peuple qu’ils ont toujours rêvé de réduire au complet esclavage.
Le roi, c’était un peu l’avocat du peuple et son garant, dans le concert des trois états de la nation. C’était aussi celui qui décide en instance ultime ; c’est à dire après consultation des nobles, du clergé et des corporations de métiers.
Sarko décide, mais sans consultation : pire il décide contre l’avis et même le sang du peuple qu’il est censé représenter (traité européen, métissage, Afghanistan...)
Il n’est pas un roi mais un tyran. De facto et a fortiori étranger mais crypto.
Merci pour votre article. Je constate que vous vous faites éreinter, comme il est de coutume quand on dit la vérité.

J’ai oublié dans les principes de base le plus important : on assure sa propre défense, on ne compte pas sur des bureaucrates incapables pour cela !
On ne donne jamais sa bombe atomique ! C’est le seul respect qu’on obtienne quand on a tout donné pour rien. Voyez comme a été traitée la Yougoslavie qui n’avait pas de bombe à elle.

"Maintenant est venu l’heure de réduire drastiquement la dépense publique. Tout le monde le sait, mais le gouvernement n’a pas le courage de le faire. Et pourtant, on ne va pas tarder à y être confrontés contraints et forcés. "
D’accord. Maintenant A QUI devons-nous de l’argent, et QUI NOUS EN DOIT ?

Je tiens pour responsables de la dette bancaire et celle du tiers-monde immiscé en France et en Europe à nos frais, les penseurs, stratèges et autres bilderbergs avec leurs laquais : nous devons exiger le remboursement de tout profit personnel qu’ils auraient réalisé sur notre dos. Nous connaissons leurs noms. Mais sont responsables aussi les pays des gens du tiers-monde eux-mêmes qui ont passé des années à ne rien faire en pesant très lourd sur nous et nos enfants. Il faut qu’ils sachent qu’ils auront endetté leurs propres pays.
Cette dette est aisément calculable. Elle est à soustraire de tout paiement que nous ferions à l’un ou l’autrre de ces pays. Elle est à réclamer sous n’importe quelle forme (pétrole, matières premières) en cas de passif d’eux à nous.
Quant aux autres créditeurs, il faudra s’arranger avec eux ; et bien sûr réduire nos dépenses.
Là-dessus je suis d’accord.
Comme principes de base : on ne vend pas son patrimoine, son cul ni celui de ses enfants, ses ancêtres, son sang, son histoire. On vend son travail au prix juste : de quoi se loger, se nourrir, se vêtir et s’informer, pour soi et sa famille. On ne donne pas le pain de ses enfants à des étrangers, des apatrides et des escrocs.
Voilà.