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Guy

Guy

De formation, ancien élève de Khâgne, géographe et juriste, ingénieur territorial de métier, spécialisé en urbanisme, j’applique le résultat de mes recherches personnelles autant que possible.
Sur le plan personnel, je suis dans l’état d’esprit du chercheur. Les discours de Levy Strauss m’ont beaucoup intéressé, notamment celui prononcé devant l’Unesco au début des années 1970. "L’homme est un être vivant", sa définition me convient. Egalement, la "politique de civilisation" prônée par Edgar Morin, les recherches de Majid Rahema et de Dany-Robert Dufour.
Je ne possède ni télévision, ni téléphone portable ;-) .

Tableau de bord

  • Premier article le 30/03/2009
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Derniers commentaires



  • Guy Guy 13 novembre 2010 09:15

    L’attaque dirigée contre Nicolas Bedos est à la fois stupide, et déshonorante pour la France, une fois de plus.

    Stupide, car c’est un fait reconnu internationalement : l’Etat d’Israël est hors la loi internationale et plusieurs de ses gouvernants sont passibles d’un procès pour crime de guerre.
    Stupide, car en Israël, il y a – encore - un multiculturalisme, de multiples partis, une démocratie, des Arabes et des Juifs - les deux familles étant sémites au passage, des partisans du gouvernement actuel et aussi des adversaires, des associations judéo-arabes comme Taayoush,  (parfois orthographié Ta’ayush dont le nom signifie "vivre ensemble« en arabe),Critiquer »Israël", c’est-à-dire la politique de son gouvernement fascisant n’est évidemment pas faire de l’antisémitisme, pas plus que n’en font les Israéliens qui dans le pays même constituent ce que l’on appelle dans une démocratie « l’opposition ».

    Déshonorante pour la France car elle fut le pays de Voltaire, et dans sa Constitution, qui éclaira le monde et fit sa grandeur, il y a une Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, adoptée le 26 août 1789, qui affirme :

    « Article X : Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.

    Article XI : La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la Loi. »

    Il est vrai que dans cette même Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, il y a aussi cet article :

    Article XII

    « La garantie des droits de l’Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée. »

    Pauvre France, pauvre Israël, victimes de la même logique, cynique et dont les peuples abusés paient le prix douloureux.



  • Guy Guy 12 novembre 2010 07:52

    L’attaque dirigée contre Nicolas Bedos est à la fois stupide, et déshonorante pour la France, une fois de plus.

    Stupide, car c’est un fait reconnu internationalement : l’Etat d’Israël est hors la loi internationale et plusieurs de ses gouvernants sont passibles d’un procès pour crime de guerre.
    Stupide, car en Israël, il y a – encore - un multiculturalisme, de multiples partis, une démocratie, des Arabes et des Juifs - les deux familles étant sémites au passage, des partisans du gouvernement actuel et aussi des adversaires, des associations judéo-arabes comme Taayoush, (parfois orthographié Ta’ayush dont le nom signifie « vivre ensemble » en arabe),Critiquer « Israël », c’est-à-dire la politique de son gouvernement fascisant n’est évidemment pas faire de l’antisémitisme, pas plus que n’en font les Israéliens qui dans le pays même constituent ce que l’on appelle dans une démocratie « l’opposition ».

    Déshonorante pour la France car elle fut le pays de Voltaire, et dans sa Constitution, qui éclaira le monde et fit sa grandeur, il y a une Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, adoptée le 26 août 1789, qui affirme :

    « Article X : Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.

    Article XI : La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la Loi. »

    Il est vrai que dans cette même Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, il y a aussi cet article :

    Article XII

    « La garantie des droits de l’Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée. »

    Pauvre France, pauvre Israël, victimes de la même logique, cynique et dont les peuples abusés paient le prix douloureux.



  • Guy Guy 6 novembre 2010 20:14

    D’accord avec l’auteur, sur le dogme de l’argent, la tyrannie (ridicule) des signes d’appartenance sociale - "si on n’a pas une Rollex à 50 ans, on a raté sa vie" expliquait il y a peu un ami de M. Sarkozy, l’homme aux marques ; d’accord aussi sur les différentes formes d’asservissement de la femme dans notre civilisation qui régresse sous la pression du capitalisme, de la marchandisation de tout, du corps, du sexe, de la santé - et là, ça passe mieux, l’hôpital qui se déglingue, les OGM qui envahissent nos assiettes, et tous ces produits chimiques qui propagent cancers et maladies auto-immunes nettement plus que n’impote quelle  religion ne le fera jamais.

    Je comprends aussi que dans cette société mondiale qui souffre sous le joug du veau d’or, dont la vie est exploitée sans scrupule par l’oligarchie et la ploutocratie régnantes, nombre d’êtres humains cherchent un refuge dans les religions instituées.

    Mais je suis fondamentalement en désaccord sur les autres points.

     D’une part, contrairement à ce qu’affirme l’auteur, le voile n’est pas interdit en France, ni  dans l’espace privé, ni dans la rue. Il ne peut simplement entrer dans les espaces dédiés au rassemblement autour des valeurs républicaines, tels que les établissements d’enseignement. C’est la burqua, qui est interdite dans la rue. Parce que c’est une prison, dégradante pour les femmes, que la République ne saurait tolérer.

    D’autre part, pourquoi la femme aurait-elle à subir à la fois l’exploitation capitaliste, et l’obligation vestimentaire, et pourquoi l’homme ne porterait-il pas, lui, le voile si noble – et si embarrassant, en été – lorsque je vois ces jeunes hommes si à l’aise sur la plage dans leur petit maillot de bain, pendant que leurs femmes étouffent sous des accumulations de tissus, je me dis, quelle pitié !!! Et la lapidation qui va avec ?

     

    Enfin, il est évidemment erroné de généraliser, d’attribuer une valeur morale  spécifique à « toutes les femmes qui portent le voile », en la déniant à toutes celles qui ne le portent pas.



  • Guy Guy 4 novembre 2010 07:39

    La meilleure histoire de l’Amérique que je connaisse est

    « Une histoire populaire des Etats-Unis - de 1492 à nos jours », par Howard Zinn (éditions Agone).


    Tous ceux qui s’intéressent à ce pays devraient lire cet ouvrage pour le comprendre (je le dis en qualité d’historien).

    Quant aux « conservateurs », et à "leur Amérique à eux, celle de la liberté individuelle, celle où l’État n’est là que pour garantir le respect de cette liberté", ils font froid dans le dos. Je ne voudrais pas traverser et encore moins vivre dans un pays où les conservateurs ont élaboré et voté un « Patriot act », loi selon laquelle n’importe quel être humain peut disparaître, du jour au lendemain pour être jugé sur un navire de guerre américain et exécuté sans que sa famille n’en soit seulement informée .

    L’État n’est pas là uniquement pour préserver la liberté - quelle liberté, alors, sinon celle du renard dans le poulailler ? mais aussi l’égalité et l’indispensable fraternité, cette trilogie étant l’expression la plus achevée de la civilisation, devise que les gouvernants actuels, vassaux de la Finance, s’emploient à piétiner en France.



  • Guy Guy 1er avril 2009 07:34

    Rien n’interdirait que les intérêts économiques et les intérêts politiques aillent de pair, me semble-t-il ; l’exemple des sociétés archaïques était à cet égard bien choisi. C’est peut-être même de la divergence de ces deux branches de la civilisation que naît le danger.

    C’est peut-être de leur réunion que l’on retrouverait une société plus libérale ? Offrant, globalement, plus de choix, plus de libertés ? Etre obligé, lorsque l’on est super-riche, de se déplacer en hélicoptère (exemple de la société brésilienne) , ou entouré d’une armée de gardes du corps, d’habiter enfermé dans une villa et une communauté fortifiées, n’est-ce pas là une liberté bien relative ?

    En ce qui concerne la distinction "patrons" et "ouvriers", c’est là aussi un leurre. Il y a intérêt à distinguer, à l’intérieur de ces catégories trop larges, des sous-catégories qui faciliteraient une réorganisation du travail et de la société. Comme pour le cas de la "classe moyenne".


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