Abolab

@ETTORE

Thierry Gourvénnec, dans un des commentaires plus haut, avait raison de parler de schizophrénie associée à la bouffé délirante covidéenne.

En effet, si, comme l’affirme le Ministre de la Santé Olivier Véran, le variant delta est à ce point menaçant, au risque d’une nouvelle vague fin juillet (une vague de quoi, d’hospitalisations ?), et qu’il faille, selon lui, empêcher la transmission virale, pourquoi ne revient-il donc pas sur la décision d’annuler le port du masque obligatoire dans les villes ? Au lieu de cela, il appelle à la vaccination massive... La vaccination serait-elle plus efficace que le port du masque pour empêcher la transmission ? Quelle étude le montre ? Manifestement aucune. Nous ne sommes plus dans la science, mais dans l’idéologie vaccinale.

@Mirlababo

Je ne suis pas au courant des turpitudes et opinions personnelles d’Edgar Morin.
Ma référence à Edgar Morin, théoricien de la pensée complexe, est juste une illustration destinée à mettre en relief la pensée « simpliste » des instances de santé publique, pour qui la vaccination est la seule et unique solution à la pandémie. Une pensée simpliste et dangereuse qui témoigne de l’ignorance des mécanismes du vivant qui existe parmi les spécialistes et experts qui sont aux manettes, que ce soit en France, en Europe ou même à l’OMS. L’ignorance, y compris parmi les experts, est un vrai problème sociétal.

Comme l’indique Sheldon Ungar, dans le Britsh Journal of Sociology, « l’ignorance parmi les individus, les experts et les organisations, est un problème sérieux avec des conséquences potentiellement mortelles », soulignant la « production culturelle et institutionnelle de l’ignorance comme un problème social sous-identifié ». (Ungar, 2008)

@cyrus

Oui, l’idée qu’il faille éradiquer le virus par la vaccination est une idée très dangereuse d’un point de vue sanitaire, et c’est une aberration d’un point écosystémique, car la volonté d’empêcher la circulation du virus favorise en fait sa virulence et donc sa dangerosité.

C’est de plus un moyen très contre-productif d’empêcher les formes graves de maladie, qui ne protège pas réellement la population, puisque les risques de COVID grave restent absolument les mêmes pour les personnes vaccinées si un nouveau variant échappant à la vaccination se propage.

Il s’agit uniquement d’une course contre la montre contre les nouveaux variants mais qui ne diminue aucunement les risques de COVID grave chez les individus à facteur de risque.

Nous ne sommes plus dans la prévention de maladies, mais dans une forme de fuite en avant associée à une volonté écocide de la part des tenants de la vaccination pour tous.

@fabrice68

Des « variants » peuvent apparaître sans que la protéine spike de la souche originelle ne soit modifiée. Ces variants peuvent présenter des mutations présentes dans des séquences non structurelles, ou au niveau de l’enveloppe.

Par recombinaison, ils peuvent acquérir de nouvelles caractéristiques également en-dehors de simples mutations.

Donc les vaccins ciblent non seulement la souche originelle mais l’ensemble des variants présents et circulant dans la population, même si ceux-ci sont moins moins dangereux.

La vaccination empêche donc la circulation de variants moins dangereux, qui sont indispensables à l’extinction de la pandémie.

Extinction de la pandémie n’est pas synonyme de suppression de la circulation virale. La circulation de variants moins dangereux est nécessaire pour contrôler la pandémie.

@pipiou2

Non, une alimentation végétale saine met très peu de temps pour corriger les problèmes métaboliques existant et favorisant les formes graves de COVID.

En seulement sept jours, soit un temps comparable à l’incubation virale, des effets spectaculaires (supérieurs aux traitements médicamenteux conventionnels) ont été documentés dans la plus large étude observationnelle jamais réalisée montrant les effets bénéfiques d’une intervention nutritionnelle.

Vous le sauriez si vous aviez lu attentivement mon précédent article sur la question.