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Alain MALAULT

Alain MALAULT

En 58 ans, plusieurs vies, multiples angles de vues.

Professionnel impliqué, en mouvement, en conflit, frisant l’échec, osant la réussite : tour à tour (ou en même temps) prof de lettres, animateur de développement, animateur culturel, syndicaliste, travailleur social, formateur, et, depuis 20 ans, consultant, co-fondateur et dirigeant d’un cabinet à dimension régionale, spécialisé en "management du changement".

Bobo, pas mécontent de l’être ; de gauche et fier de l’être encore.

De l’intérêt pour tous ceux qui cherchent et forcent leurs talents, prennent le risque de créer, de cultiver une passion, posent sur la vie un incertain regard, donnent à voir et à penser.

« Neo-technologue » curieux (plus que furieux). Passionné par l’espace créatif et d’expression, ouvert, insondable, excitant, énervant, et surtout libéré des frontières corporatistes…



Tableau de bord

  • Premier article le 29/07/2008
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Derniers commentaires



  • Alain MALAULT Alain MALAULT 31 juillet 2008 16:59

    Bravo pour cet article. ll a le mérite de poser les termes de la controverse.

    Oui le gouvernement semble avoir opté du coté de « ceux qui ne voient que des cas individuels, à traiter comme tels pour le bien de l’entreprise."

    En revanche il apparait (et c’est surprenant) que le patronat, poussé par les syndicats de salariés a admis - en signant l’accord sur la prévention du stress au travail - d’intéger pour part la seconde thèse sur la responsabilité du management et de l’organisation. Les négociateurs du MEDEF sont-ils devenus pour autant adeptes de Deming ?

    Comment en management à la fois ouvrir l’espace à l’expression du talent personnel et encourager l’investissement individuel, tout en favorisant la solidarité d’équipe, et en valorisant l’intelligence collective : c’est dans la maîtrise de cette dialectique des contraires que je reconnais personnellement le bon manager, mais aussi le bon enseignant... L’un et l’autre doivent surtout se garder de toute vision totalisante, globalisante, uniformisante ; se garder d’une mise en œuvre à la lettre des méthodes et systèmes de management ou pédagogiques, se prémunir des tentations d’adhésion systématique aux "écoles de pensée", préférer "penser sa pratique" pour lui garder du sens.

    Je partage avec vous ce questionnement (depuis longtemps) à la fois comme manager (je dirige une entreprise de service avec 50 collaborateurs), comme formateur et conseil de managers et ancien enseignant, comme parent d’élève et d’étudiant...c’est d’ailleurs sous cet angle que je m’exprime au sujet de "l’école du stress" dans un récent article dans les colonnes d’AGORAVOX et sur mon blog.






  • Alain MALAULT Alain MALAULT 31 juillet 2008 10:49

    Merci Rems de votre témoignage balancé et précis sur les écoles préparatoires.

    En ce qui concerne les imprécisions ou inexactitudes relevées dans mon article il y a sans doute quelque chose que je n’ai pas réussi à communiquer clairement : les faits que je relève et dénonce se sont déroulés en 4° année d’études, dans un institut d’enseignement supérieur auquel on accède pour la plupart des étudiant après une ou deux années de classe préparatoire (l’accès direct est trés exceptionnel et seulement pour des bacheliers avec mention trés bien). Les jeunes dont je parle ont donc subi - avec plus ou moins de douleur - entre 5 et 6 années de ce que je nomme la ’pédagogie du stress".

    Pour être plus exact c’est plutôt 4 ou 5 ans, compte tenu du fait qu’en troisième année - celle de la licence - ils partent pour une année d’étude ou de stage professionnel à l’étranger (avec un choix paradoxalement trés libre). Le retour est d’autant plus déstabilisant et douloureux, que ces jeunes ont souvent vécu cette année avec moins de pression et découvert des univers plus ouverts, forgé aussi leur personnaité... Bien entendu rien, dans le processus pédagogique de l’institut (vous avez dit pédagogique quel vilain môt !) n’est prévu pour intégrer réellement cette expérience - l’idée dominante serait plutôt celle de la reprise en main, de la remise au boulot !!!

    Quand, dans les critères qualité de ces établissements, mettra-t-on en avant l’innovation pédagogique, le bonheur d’apprendre, la formation aux relations humaines, au travail d’équipe, l’incitation à l’innovation . . ?

    La rencontre la semaine dernière avec le recteur d’une grande école de commerce m’a, sur ce point redonné espoir...








  • Alain MALAULT Alain MALAULT 30 juillet 2008 12:15

    Farfelu aussi l’article de Dominique Monchablon, psychiatre et responsable du Relais étudiants, sur "Les classes préparatoires, une vie entre parenthèses", paru le 10 Juin dans les colonnes du Monde ? Consultable à cette adresse  ICI ???



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