Depuis l’abandon de l’étalon or par le dollar en 1972 les jours des
monnaies papier (fiat monnaie) mondiales sont comptés. Dans l’histoire
aucune monnaie papier n’a tenue plus de 40 ans. C’est l’expansion sans
limite (planche à billet) des dettes sans extinction possible, la
prédation et la virtualisation de la sphère financière avec in fine
l’esclavage de la majorité, la ruine de toutes les monnaies et de tous
les capitaux (déflation illimitée).
Les monnaies papier mondiales sont virtuellement détruites depuis l’expansion incroyable des produits dérivés qui deviennent toxiques ( 550 000 000 000 000 dollar) et contaminent toutes les grandes banques génératrices de devises.
Attention au BOUM
Le remède ? Le retour progressif au
standard or, un retour empêché par les gros ploutocrates banquiers car cela
signifierait leur fin, voilà pourquoi ils ont vendus les stocks d’or des
banques centrales qui sont maintenant dans le domaine privé, à l’abri.
Les dettes des états et des particuliers sont trop importantes pour être remboursées et ce n’est pas les mesures déflationnistes (dégraissage en tout genre) qui permettront de rembourser.
La vérité de la souffrance,
la vérité de l’origine de la souffrance,
la vérité de la cessation de la souffrance,
la vérité du chemin de la cessation de la souffrance.
Sommes-nous heureux et libres, chaque jour, à chaque instant ?
Ou sommes-nous esclaves des circonstances et de nous-mêmes ?
Nous cherchons à survivre, flottant au grès des circonstances, guidés par la peur de la mort.
Si nous sommes seuls, au bout d’un certain moment, un trouble nous
affecte, minés qu’on est par nos pensées et nos fantasmes. courant sans
fin après nos désirs et même après le Désir. Nous cherchons à prouver
quelque chose, mais quoi ? On cherche le plaisir par une action, un
divertissement, une conversation et ne trouvons, rien, que la souffrance
finalement. Nous sommes toujours malades.
Nous sommes esclaves de nos désirs.
Les idées, la culture, la science, toutes ces constructions du domaine
intellectuel ne sont qu’une création ou actualisation des désirs.
Mais sans désirs sommes nous rien ?
Tout est dans le Désir.
Il faut le regarder car nous sommes le Désir.
Dans le désir il y a le voyant, l’être, la félicité, la puissance et la liberté.
Pourquoi nos désirs sans cesse renaissants et insatisfaits ?
Parce que nous ne voyons pas.
Nous refusons l’être.
Nous avons perdu la félicité qui n’est que la béatitude de la liberté infinie et éternelle.
Nous sommes impuissants le jouet de nos idées, émotions, croyances, évènements et perceptions.
Nous en sommes les esclaves.
Quand serons-nous libérés des choses qui nous entravent ?
Mieux encore, quand nous les trouverons savoureuses, merveilleuses,
infinies et que nous les créerons comme la parure du plumage de la queue
du Paon. Étant elles et dansant dans cette pure lumière consciente qui
crée ce qu’elle voit, une création sans limite. Pure énergie de vie et
de joie. Pure vibration de joie de se sentir à l’infini, sans lassitude,
sans cesse tout nouveau et sans fin, une plénitude incomparable. Il n’y
a qu’une puissance consciente infinie qui rêve l’univers, reflet
infini, et nous sommes cette unique puissance car il n’y à rien d’autre
qu’elle.
Et tout n’est que lumière consciente toujours toute nouvelle et pourtant sans commencement et sans fin.
La trame des efforts étant mise en pièces, l’ambroisie flue de l’océan
de la Conscience qui, bien qu’elle vibre à l’intérieur de toute chose,
est scellée par un grand sceau ; gloire au héros qui après avoir
totalement soulevé le sceau par des moyens appropriés, jouit de
l’ouverture interne, source de parfaite plénitude.
je regrette mais l’émission d’obligations fédérales européennes n’est pas la solution, c’est encore émettre plus de fiat monnaie (de singe), et faire en fait la guerre des monnaies, car les autres banques centrales seront obligées in fine, elles aussi, d’augmenter leurs devises propres pour éviter les pertes de compétitivité ... On a fait disparaitre les barrières dans le domaine commercial, financier, de la circulation des biens et des personnes, de l’information et c’est un processus vicieux qui rend malade les sociétés humaines, un peu comme si on avait affaibli la paroi des cellules vivantes, ce qui les rend fragiles car sans elle pas survie ... Peut-on revenir en arrière ? Non en raison de la nature profonde de notre civilisation matérialiste techno-scientifique basée sur le pillage des ressources planétaires. Un jour, au siècle des lumières, la doctrine matérialiste occidentale a tué les autres doctrines concurrentes (dans le domaine philosophique et métaphysique) en raison de sa supériorité pour contrôler de manière violente les forces « naturelles » pour le meilleurs ou pour le pire. MAINTENANT ON COMMENCE A PERCEVOIR QUE C’EST PEUT-ÊTRE POUR LE PIRE
Car outre la disparition de la nature et de sa beauté, les gens sont de plus en plus malheureux bien qu’ils puissent de divertir avec un nombre de gadgets en nombre croissant (qui polluent et épuisent la terre).