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Henri Masson

Coauteur de « L’homme qui a défié Babel » avec René Centassi, ancien rédacteur en chef de l’AFP. Paru en première édition en 1995 chez Ramsay, en seconde édition en 2001 chez L’Harmattan simultanément avec sa traduction en espéranto. Publié en 2005 en coréen et espagnol, en février 2006 en lituanien, en octobre 2007 en tchèque. Primé en 2002 par la Fondation Grabowski de l’UEA et consacré “Livre de l’année 2005 recommandable à la jeunesse” par le monde coréen de l’édition. Enregistré sur cassette par l’Association des Donneurs de Voix pour les déficients visuels.

Tableau de bord

  • Premier article le 01/10/2005
  • Modérateur depuis le 08/10/2005
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Derniers commentaires



  • Henri Masson 6 octobre 2009 09:18

    C’est la version scolaire du « Travailler plus pour gagner plus ».

    Il n’y a que le fric qui compte pour ce président Bling-Bling.

    Cessons de singer les Anglo—Saxons, réduisons le rôle de la langue qui induit de tels comportements “Le « cadeau » de Gordon Brown au monde



  • Henri Masson 29 septembre 2009 09:48

    Merci pour cet article solidement documenté. Espérons que vos confrères de la presse écrite et audio-visuelle rueront dans les brancards, car ce n’est pas dans les journaux télévisés de 13 et 20h que les citoyens seront informés de ce scandale autrement plus grave que celui du sang contaminé qui était, lui aussi, une affaire de fric.

    Le maître à penser de l’Union des menteurs professionnels ne nous est pas inconnu. Même chose pour ses godillots. Il faudra s’en souvenir lors des régionales.

    Action concrète : une cyber-pétition sur
    http://www.cyberacteurs.org/petitions/petition.php?id=38

    En attendant, ne pas oublier l’arme de l’humour :
    http://www.bickel.fr/politique-et-corruption-medico-scientifique

    La parade semble avoir été trouvée en Colombie smiley
    http://skribitaj-pensoj.blogspot.com/2009/05/bilda-humuro-pri-la-gripo-h1n1.html
    http://skribitaj-pensoj.blogspot.com/2009_05_01_archive.html

    Et le Tamiflu, qui mériterait lui aussi un article :
    http://www.dailymotion.com/video/xabdf6_tamiflu-et-grippe-porcine-la-chanso_fun

    Plus sérieux :
    http://www.dailymotion.com/video/xa829w_tamiflu-coup-de-gueule-marc-girard_news
    http://www.dailymotion.com/video/xafgou_dr-marc-girard-grippe_tech
    http://video.google.com/videoplay?docid=5066273042915697212#

    C’est curieux, mais les citoyens subissent la même intoxication par rapport au tout anglais, précisément la langue de cet ordre mafieux. N’est-il pas ?



  • Henri Masson 3 septembre 2009 08:20

    Je l’ai déjà écrit et le réécris : il est vain de discuter avec des brouettes — On les pousse !

    A plus forte raison des brouettes de Gordon Brown qui reprennent toute son argumentation en faveur de l’anglais et dont lui, le premier ministre britannique, prétend faire « cadeau au monde ». C’est une forme de l’humour anglais dont voici l’interprétation : “L’effort, c’est pour vous. Le profit, c’est pour nous.“ C’est là que l’on peut rire.

    Tout ce que racontent les perroquets de Gordon Brown et autres endoctrinés, à commencer par Asp Explorer et sa bande d’excités qui continuent de déverser leurs déjections sur l’espéranto et AgoraVox, est déjà parfaitement connu des espérantophones. Le « décervelage à l’américaine » fonctionne aussi dans la propagande pour l’anglais.

    Comme perroquets, Gordon Brown ne pouvait pas rêver de mieux. Sans oublier Margaret Thatcher qui avait dit, le 19 juillet 2000, à l’Université de Stanford : “En ce XXIème siècle, le pouvoir dominant est l’Amérique, le langage dominant est l’anglais, le modèle économique dominant est le capitalisme anglo-saxon.“ Il n’y a donc pas lieu de perdre son temps à les lire. Mieux vaut écouter ou lire à la source le discours prononcé par Gordon Brown lui-même le 17 janvier 2008. Voir à ce sujet : Le « cadeau » de Gordon Brown au monde 

    Ils voudraient que ceux qui montrent le vrai visage de l’anglais abandonnent AgoraVox, alors qu’ils ont maintes fois affiché leur mépris à l’égard de ce média. Il ne savent rien faire d’autre que de baver.

    Ils nous claironnent que l’anglais est facile. Bien sûr, en premier lieu pour les Anglais, encore que les petits Anglais sont les derniers en Europe à savoir lire dans leur langue maternelle et que les risques de dyslexie sont les plus élevés par rapport aux autres élèves européens... Au point que certains Anglais trouvent dans l’espéranto le moyen d’améliorer leur connaissance de l’anglais en même temps que celle des autres langues : “Springboard... to languages

    L’anglais est tellement facile que des enseignants d’anglais natifs anglophones sont préférés à des enseignants pour lesquels l’anglais est une langue étrangère. Tellement facile que de plus en plus d’annonces de recrutement pour des postes de responsabilités comportent la mention « English mother tongue only » ou “English native speaker“, donc des postes pour lesquels des Asp Explorer — qui se flatte d’être le meilleur en anglais dans sa boîte — ne font pas l’affaire. On y veut du vrai de vrai, pas de la pâle copie. Winston Churchill était conscient de cette prétendue « facilité », tellement qu’il avait dit : « l’anglais est une langue très facile à parler mal » et que Theodore Roosevelt était partisan de sa simplification, tout comme Mark Twain, Benjamin Franklin, Andrew Carnegie. Ce qui est facile à parler, ce n’est pas l’anglais, mais le “Broken English“.

    C’est assez cocasse de lire aussi que l’anglais est un LIBRE CHOIX alors qu’ils s’évertuent à faire taire toute critique avec un fanatisme qui se manifeste depuis déjà plusieurs années. Il faut être d’une naïveté ahurissante pour ne pas comprendre qu’il n’est pas besoin de lois ou décrets pour obliger les citoyens à faire des choses qu’ils ne feraient pas s’ils disposaient de tous les éléments pour juger et comparer, mais la clique aspique fait tout, justement, pour que les gens ne puissent pas découvrir par elles-mêmes l’existence d’une alternative.

    Ce prétendu « libre choix » de l’anglais, c’est le libre choix des républiques bananières où il n’y a qu’un seul candidat à la présidence. Asp Explorer et sa clique sont les dignes représentants d’un tel ordre. L’anglais étant leur religion inculquée de naissance ou dès le plus jeune âge, il n’y a pas lieu de s’étonner qu’ils aient la foi. Le pseudo et les avatars d’Asp Explorer en disent déjà long sur la culture qui a imprégné son enfance. Ceux qui viennent aujourd’hui à l’espéranto ont tous plus où moins touché à l’anglais, ce ne sont pas des croyants aveugles et endoctrinés. Ils ont pu mesurer la différence. Oh, je sais, son argument majeur est mon second pseudo « vendredi »...

    Partout où le choix entre l’espéranto a été libre et possible, il a été bien accueilli. Lorsqu’il a été admis comme unité de valeur à l’université de Clermont-Ferrand, en 1969, devant une demande croissante, il a été peu à peu nécessaire de refuser des étudiants. Lors de l’expérience du Collège Jean Moulin, à Villefranche-sur-Saône (relatée dans un long article de l’édition Rhône-Alpes du Monde, 15 avril 1987) tout marchait bien jusqu’au jour où le ministère de l’éducation, sous le règne de Jospin, a fait blocage.

    Rien d’étonnant que cette bande d’excités cherche à épaissir le mur du silence en tentant d’empêcher la libre expression sur AgoraVox (qu’ils méprisent). Et après, l’Halloweenesque Asp Explorer vient chialer que l’équipe des modérateurs en arrive à faire sauter certains de ses commentaires, alors qu’il ne s’est pas privé, comme son dévoué Typhon, de baver sur AgoraVox.

    Ils rabâchent sans cesse les même propos et questions, et, quelle que soit la réponse donnée une, dix ou cent fois, ils y reviendront. Bien qu’ils s’en défendent, ce sont des trolls. Donc, leur donner réponse, c’est du temps gaspillé en vain, du temps perdu. Ils ne savent que baver.

    Il y a une multitude de choses infiniment plus intéressantes à faire, surtout quand je découvre à chaque instant des initiatives et des informations qui mériteraient d’être portées à la connaissance du public. Je n’ai encore jamais vu cela en bientôt une quarantaine d’années de pratique de l’espéranto. Il y a largement la matière à écrire plusieurs articles par jour, même sans dénoncer l’anglais. Laissez-les baver. Ils sont à AgoraVox ce que sont les petits klébards à qui leur maître n’a pas appris le caniveau.

    C’est perdre un temps précieux que de discuter avec Asp Explorer — dont la source d’inspiration est désormais célèbre : non, ce n’est pas son nombril ! —, et ses clones. C’est d’ailleurs assez drôle de lire les propos d’Asp Explorer (1er septembre 2009, 22:30) : “Je vous laisse entre trous du cul du même monde.“ Quelqu’un lui a-t-il demandé autre chose ? Et, à propos de "trous“, etc., il en sait quelque chose, lui qui avait écrit sur son site, un certain 17 août 2006 : “Et voici que ma plume me démange, je la sors donc de mon cul, etc.“.

    La place d’Asp Explorer, l’amères loque, est à Sainte-Anne, 1 rue Cabanis, dans le 14ème arrondissement. Ce n’est d’ailleurs pas impossible qu’il y finisse ses jours.

    Donc, laissons-les, lui et ses acolytes, macérer dans leur bave, leurs crachats et leurs déjections.



  • Henri Masson 8 juillet 2009 12:49

     ÉCOEURÉ !

    Presque la totalité du 20 heures de France 2 pour quelqu’un qui n’a jamais connu la valeur de l’argent alors que le manque d’argent est le souci majeur de milliards d’êtres humains qui ne peuvent pas se payer à manger, des soins médicaux, se vêtir, pas même louer un modeste appartement.

    C’EST LA HONTE !!!
      
    Sur France 2, la question du jour a disparu. Je crois me souvenir qu’il était demandé si l’on était étonné de tout ce raffut médiatique. Personnellement, il ne m’étonne pas : démonstration est faite que la connerie est pleine d’avenir.
      
    J’ai zappé, puis, comme il n’y avait rien d’intéressant ailleurs, comme c’était pareil sur TF1 spécialiste de l’« espace de cerveau disponible », et M6, à la fin, j’ai éteint et j’ai trouvé des occupations plus intéressantes sur Internet. La télé, mieux vaut apprendre à s’en passer.

     « Décervelage à l’américaine », vous connaissez ?
      
    Faites une recherche avec ce titre d’article du professeur Herbert I. Schiller publié dans « Le Monde Diplomatique » d’août 1999, ou allez sur http://www.monde-diplomatique.fr/1999/08/SCHILLER/12381
      
    Il peut être lu aussi en anglais : “US as global overlord : Dumbing down, American-style“ http://www.hartford-hwp.com/archives/27c/501.html et en espéranto : « Usona sencerbigo » : http://eo.mondediplo.com/article906.html 
      
    Sur France 2, chaîne du Service public, le décervelage est d’actualité.
    Il suffit d’ajouter : en France aussi.
      
    C’est la surdose ! C’est la nausée ! Est-ce pour faire oublier les sales coups que les gouvernements successifs préparent habituellement durant l’été ?
      
    Les citoyens n’ont-ils désormais le choix qu’entre cette hystérie et les fanatismes religieux ?
      
    Halte à la dérive anglomaniaque, à l’angloconditionnement de France 2 http://www.youtube.com/watch?v=MJCf_4AleYU&NR=1 pour qui l’enseignement DES langues, c’est uniquement et forcément l’anglais, donc l’information axée essentiellement sur ce qui ce passe aux EUA ou en GB ? Voir : “Le « cadeau » de Gordon Brown au monde“, avec un grand nombre de références, principalement en anglais (téléchargeable sur http://www.droits-linguistiques.org/dokumento/Henri_Masson_Le_cadeau_de_Gordon_Brown_au_ monde_31_05_2009.pdf )

    Je ne nie pas le talent de MJ, mais il a profité et souffert de ce talent, ceci à cause d’un système où il n’y a qu’un Dieu : le FRIC ! J’aurais même quelques raisons d’éprouver de la sympathie pour lui du fait qu’il a fait un clin d’oeil à l’espéranto : http://www.youtube.com/watch?v=6jfvA_Ug_qk&hl=fr

    MJ a sans nul doute connu des moments intenses de bonheur, mais aussi de tristesse, peut-être de détresse. Il a été dressé comme une bête de scène au point que, même s’il a été immensément riche, ce ne fut finalement qu’un pauvre type qui avait honte de sa couleur de peau, une victime de ce système par rapport auquel nous devons prendre nos distances.



  • Henri Masson 10 juin 2009 06:53

    Article bienvenu ! Merci !

    Nadine Morano a accepté de se mettre au service d’un chef d’État surnommé, aussitôt après son élection : ‘President Bling-Bling’ par l’un des journaux les plus prestigieux des États-Unis (The New York Times, 22 mars 2008) ; un chef d’État qui a donné l’exemple dans l’insulte, dans le mépris d’un citoyen, pour le simple motif qu’il ne voulait pas lui serrer la main ; un chef d’État qui a ainsi insulté tous les citoyens français qui ne ressentiraient aucun plaisir, aucun honneur et aucune fierté à lui serrer la main ; un chef d’État qui est à la France ce que George W. Bush fut aux États-Unis : le président le plus impopulaire — mêmes menaces contre la liberté (et, en plus, même contre l’humour !), même régression sociale, moins pour l’enseignement et l’éducation, et plus pour l’appareil répressif, classes surchargées et prisons archi-pleines— ; un chef d’État qui pousse à l’alignement linguistique, culturel, économique, social, juridique, etc., sur le modèle anglo-étasunien ; un chef d’État tellement sûr d’être estimé, aimé et populaire qu’il transforme la ville de son allié le plus fidèle en ville morte (souvenez-vous de Saint-Quentin, qui est aussi le nom d’une des prisons les plus connues des États-Unis, en Californie !) et, comme il est rarement le bienvenu où qu’il aille, qui fait venir en nombre des godillots UMP pour l’acclamer là où il se déplace (Salon de l’Agriculture 2009...) comme cela se faisait et se fait encore sous des régimes peu recommandables.

    Le chef de l’État a été lui-même l’artisan du sentiment croissant de dégoût qu’il inspire au peuple français. Le respect, l’estime, et même l’amour, ça se mérite. Ce n’est pas en chaussant des talonnettes surélevées que l’on devient un grand chef d’État. Même des échasses n’y changeraient rien. Nadine Morano n’a donc qu’à assumer son choix et à se regarder. La Justice à mieux à faire. Les forces de sécurité aussi. L’argent du contribuable peut et doit être utilisé de façon moins ubuesque. Nadine Morano se plaint du nombre d’insultes qui la visent. Une simple recherche Google avec son nom livre de nombreux documents et forums qui montrent à l’évidence qu’elle a fourni un prétexte pour que celles-ci se multiplient. N’y a-t-il pas un épithète qui lui conviendrait mieux que « menteuse » ? Ne trouverait-on pas quelque chose d’adéquat, par exemple dans la lettre « c » du dictionnaire ?

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