Toute ses mesures ne serviront à rien, tant qu’on aura pas compris 2 choses.
1 - Le télétravail pour les indépendants, c’est le fait de prospecter à plus de 30 % de son temps
2 - Le télétravail pour le salariés implique un management au résultat.
@thierry : il est important que les députés soient informés. Egalement Monsieur Devadjian qui minstre de la Relance semble accorder son intention à cette cause.
Pour cela, nous avons mis en ligne une pétition pour que la proposition de loi prenne en compte le télétravail non salarié : http://www.cyberworkers.com/petition/
Les sources que vous mentionnez concerne uniquement le télétravail salarié, ce qui est très restrictif et induit en erreur.
Il y a un problème de définition incontestable.
Concernant les craintes, on peut comparer cela à l’arrivée de la micro, il y a 30 ans qui était censée mettre beaucoup de gens au chomage ou encore le fax qui devait tuer le courrier, etc.
A partir du moment ou vous souhaitez trouver des missions, cela signifie que vous allez y répondre en tant qu’indépendant (micro, eurl, sarl et à partir de janvier 09 auto-entrepreneur) ou encore via le portage salarial.
Nous ne sommes pas ici dans une logique emploi, et dans ce cas il est normal de payer pour se constituer une clientèle.
Rappelons les autres moyens pour cela :
- Publicité
- Prospection
- Marketing direct
- Téléprospection
- etc
Quand on parle de coût, on peut aussi économiser en faisant cela soi-même, mais sera-t-on aussi efficace ? car le temps passé doit être valorisé.
Sachez qu’en étant à votre compte, votre stock est le temps (c’est ce que vous vendez) et une heure passée à travailler doit vous rapporter au minimum 20 € pour être rentable, 35 € pour gagner de l’argent.
Et bien sur de consulter Télétravail : les clés de la réussite, que j’ai rédigé avec la participation des membres du réseau Cyberworkers, notamment le chapitre "Trouver ces clients"
Concernant la concurrence (le fait que plusieurs prestataires puissent proposer leur devis à un prospect), considérez cela comme un tremplin et non un facteur d’échec.