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Hakim I.

A force de n’être considéré chez moi nulle part, je finis par me sentir chez moi partout...

Tableau de bord

  • Premier article le 30/12/2005
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Derniers commentaires



  • Hakim I. 20 novembre 2008 12:41

    Je vois que tout le monde attend la révolte.
    J’éspère seulement que les gens rejoindrons la prochaine révolte des banlieues...



  • Hakim I. 19 novembre 2008 12:56

    "Crise qui ne s’atténue finalement que par la faillite quasi "universelle", la seule issue pour casser ce cercle vicieux étant, selon les mots mêmes de Fisher, l’avènement de "banqueroutes cruelles, du chômage et de la famine""
    Autrement dit, c’est comme ça que le capitalisme s’auto-régule



  • Hakim I. 18 novembre 2008 17:49

    Cette institution que l’on nomme "justice" devrait être renommée depuis longtemps en "jugement".

    Ministère du Jugement... ca me parait proche de la réalité.



  • Hakim I. 18 novembre 2008 17:46

    @ Zalka

    "Je suis comme vous d’origine maghrébine, et je trouve cette décision parfaitement juste."

    Ah ces fameux maghrébins que l’on doit imiter pour être considéré comme intégré !



  • Hakim I. 17 novembre 2008 13:30

    Putain monolecte, j’ai lu ce témoignage en plein questionnement sur l’avenir professionnel. Et franchement il n’y a rien d’encourageant quand je vois cet état de fait généralisé.

    Je n’en peux plus des sans couilles. Ceux qui pensent qu’il y aura bien un moment ou les patrons ne leur en demanderons plus autant et ou ils pourront se débarasser du sentiment de peur qui leur bouffe les trippes. Seulement, je me suis fatigué à expliquer que plus on accepte, plus on nous en demandera.
    Je me suis retrouvé dans une équipe ou mes collègues faisaient des astreintes et veilles technologiques sans être payés un centime de plus. Quand il était possible pour moi de leur en demander la cause, ils étaient incapable de me répondre, ou alors "c’est parce que les routes sont vides en soirée, c’est mieux pour le chemin du retour". Excuse masquant leur manque de courage, car cela n’était dû qu’à leur incapacité congénitale à dire non. Pour ma part j’ai résisté, sérré les fesses, ce qui m’a vallu du harcèlement moral qui m’a envoyé chez le psy.

    Il y a une facette importante qui manque à votre prose. Car non seulement, le larbinisme est passif (comme vous le décrivez) mais il est aussi et surtout actif ! On appelle cela la léchocratie !

    Pour exemple, j’étais comme vous dans un open space chez IBM en tant que prestataire. C’était hallucinant de voir des pères de famille quadra se comporter comme des enfants devant leur chef, pire, comme les dominés d’une meute de chiens. Pour garder sa place, il était important de prendre le café avec lui, partir au ski les weeks ends avec les managers, et sous managers, offrir des jeux de nintendo DS à la fille du manager. Ceux qui n’avaient comme objectif professionnel que de fournir un travail irréprochable n’étaient pas pris en considération.
    Argument fort du sous manager à son équipe pour motiver les troupes : "n’oubliez pas que nos résultats sont analysés par monsieur X, et je vous rappelle que monsieur X fait du ski nautique le week end avec Monsieur Y qui est manager du département". Vachement professionnel ça hein ?
    Pire, un collegue aura beau faire perdre à la société 200 000 euros de pénalités a cause d’une bourde monumentale, il restera en place car il va en boite avec le sous-chef presque tous les samedi.

    La compétence n’est d’aucune utilité dans le monde du travail aujourd’hui, c’est pour moi une certitude.

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