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Justice et Droit, telles sont les deux mamelles de la Démocratie, alors que commissions et rétro-commissions apparaissent aujourd’hui comme les deux piliers de la corruption. Sans Justice et sans respect du Droit, la Démocratie n’est qu’un vain mot qui nous entraîne vers le chaos ; c’est tant une fable qu’une farce qui toutes deux endeuillent la République tout entière. Alors dire non à la corruption, c’est, face aux crises actuelles et aux défis de l’avenir, une nécessité première : dire oui au développement durable, oui à une société équitable forgée dans le creuset des droits humains universels.

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  • Premier article le 08/04/2008
  • Modérateur depuis le 21/04/2008
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Derniers commentaires



  • Libr'Op Libr’Op 26 novembre 2010 15:04

    Merci. Les trois articles les plus lus publiés par Libr’Op ont reçu 60% et plus d’approbation. Ce n’est pas le cas d’un certain nombre de « parasites » qui encombrent Agoravox .



  • Libr'Op Libr’Op 26 novembre 2010 14:46

    Ciel, voici un adepte de la « théorie du complot » ! Après les « journalistes pédophiles », pourquoi pas des « magistrats pédophiles » ou encore des « diplomates pédophiles ». Et pendant qu’on y est dans la manipulation et la désinformation, pourquoi pas des « partouzes pédophiles » dans les jardins de telle ou telle institution parlementaire ici ou là .... ! Certes la documentation est abondante sur l’Internet à ce sujet, mais il y en a autant sur les soucoupes volantes et la fin du monde en 2012, n’est-ce pas ?



  • Libr'Op Libr’Op 26 novembre 2010 14:36

    Ah, je vois qu’ici il y a des gens qui voient un peu plus loin que le bout de leur nez ! L’enfumage est l’une des techniques majeures de toute arnaque. L’affaire Clearstream telle que traitée par notre « Justice » et nos médias a été un numéro d’enfumage de première grandeur. L’affaire Clearstream, c’est l’affaire des Frégates Lafayette. En résumé, à qui ont profité les « pots-de-vin » à Taiwan, en Chine, en France. « Pots-de-vins » où, si l’on préfère, « commissions » et éventuelles « rétro-commissions ». On a fait courir la rumeur d’une « mafia russe » impliquée dans l’affaire. Une « mafia russe » ? Mais vous voulez rire ? Sur la Côte d’Azur, peut-être ? Pourquoi pas une « mafia ukrainienne » ? Et pendant qu’on y est une « mafia libanaise » voire, en prime, une « mafia corse ». Demandez à Charles Pasqua, du haut de son intégrité foncière, l’ancien bras droit de Chirac vous dira que tout cela n’est que « fables ». A propos combien le contribuable français vont-ils devoir débourser en raison directe des « pots-de-vin » liés aux Frégates Lafayette ? 100 million d’euros ? 200 cent millions d’euros ? 500 millions, qui sait ?



  • Libr'Op Libr’Op 26 novembre 2010 14:21

    Tauromachie, pure cruauté. Cruauté du toréro qui tue le taureau. Cruauté du taureau qui encorne le toréro et le saigne à mort dans l’arène. L’arène politique est une arène digne d’une semblable « cruauté ». Avec le Karachigate, on assiste, en fait, à une sorte de réglement de comptes digne de parrains maffieux. Rares sont les parrains maffieux qui mitraillent eux-mêmes leurs riveaux. Pour cela, il existe des hommes de main. De même en politique. De même dans les affaires liées à la politique. A la tribune de l’Assemblée, Pierre Bérégovoy, éructait en son temps, en brandissant une feuille de papier blanc, « J’ai une liste ». Une liste de corrompus politiques. Secrétaire général de l’Elysée ? Premier Ministre ? Et alors ? Verdict : mort. Suicidé d’office. On comprend le mutisme de Dominique de Villepin devant le juge Van Ruymbeke. lui aussi a été secrétaire général, ici et ministre premier, second, troisième, là. La mission d’information parlementaire sur l’attentat de Karachi constate l’amnésie chronique des anciens ministres de la défense concernés par le dossier Agosta de vente de sous-marins au Pakistan. Charles Million a finalement brisé l’omerta. Il n’a pas été secrétaire général de l’Elysée, il n’a pas été Premier Ministre. Une longue vie lui est encore promise, pense-t-il. Raffic Hariri, au Liban, a été liquidé dans un attentat. Benazir Bhutto, au Pakistan, aussi. Dans l’affaire des Frégates Lafayette (Taiwan/Chine) une petite dizaine de cadavres émaillent le sulfureux dossier dont le fils du général Imbot, ancien grand patron de nos services spéciaux. Dans le Karachigate, 14 victimes innocentes dont 11 Français de DCN à l’époque placée totalement sous la férule du ministère de la défense. Tauromachie ? Plutôt vache pour les morts et leurs familles. Tout autant vache pour les contribuables qui, la mort dans l’âme, ont vu leurs contributions partir en fumée. Mais ne dit-on pas, « plaie d’argent n’est pas mortelle » ? Sauf peut-être bien pour la Sarkozie qui, tôt ou tard, risque fort de périr, touchée-coulée par ces « Nautilus » de l’enfer et autres submersibles de la corruption.



  • Libr'Op Libr’Op 26 novembre 2010 13:51

    Excellent pamphlet ! Certes mais dédramatisons le débat. Tout cela n’est que fadaises, fariboles... fables, On le sait bien, n’est-ce pas ? Pour preuve : mardi 23/11/2010, à la tribune de l’Assemblée nationale, le député socialiste Bernard Cazeneuve a soulevé à l’attention du ministre de la défense, deux questions précises : 1° Un administrateur de la société Heine, qui aurait servi à acheminer des « commissions » dans l’affaire du Karachigate, a-t-il oui ou non bénéficié d’une indemnisation ou dédommagement de l’Etat français à hauteur de 8 millions d’euros 2° Et si oui, pour quel motif ? Sur un autre média en ligne, nous avons publié la nouvelle avec la remarque suivante : En 1994, à la signature du contrat Agosta sur la vente de trois sous-marins au Pakistan, le ministre des affaires étrangères n’était-il pas M. Alain Juppé, et son directeur de cabinet un certain Dominique Galouzeau de Villepin, sur le point le 23/11/2010 d’être entendu par le juge Van Ruymbeke ? Est-ce pour cette raison que M. Alain Juppé, ministre de la défense, s’est dispensé de répondre au député Bernard Cazeneuve et que c’est le tout nouveau ministre de la justice qui l’a fait à sa place pour renvoyer l’affaire aux juges le petit doigt sur la couture. Notre « post » a été supprimé. Nouvel essai le lendemain, hier, en bas d’un nouveau « post » : Dominique Galouzeau de Villepin était le directeur de cabinet d’Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères, en 1994, quand le contrat Agosta a été finalisé. Re-supprimé.
     C.Q.F.D.
    Le fait que Dominique de Villepin ait été directeur de cabinet d’Alain Juppé au Quai d’Orsay en 1994 est une information « sensible » et hautement « censurable ». A votre avis pourquoi ?
    Mais comme dit Hervé Gattegno sur une radio, ce matin, Karachi, c’est l’affaire qui rend fou ! Le journaliste de s’étonner du « silence assourdissant » d’un certain François Léotard qui, en 1994, était aux premières loges en qualité de ministre de la défense. Dominique de Villepin est resté silencieux « 10 minutes », dit-on, devant le juge Van Ruymbeke. Le silence de l’agneau ou le silence de l’omerta ?

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