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Michel Frontère

Michel Frontère

Diplômé de Sciences politiques et titulaire d'une maîtrise en Lettres modernes, je tiens depuis janvier 2005 un blog à dominante littéraire sur le site internet du quotidien Le Monde. Membre du Groupe d'études balzaciennes, je collabore occasionnellement au mensuel Service Littéraire.
 
Publications : 
- mars 2015 : Ce que le passé nous réserve, éditions Portaparole, Roma
 
 
 

Tableau de bord

  • Premier article le 04/07/2007
  • Modérateur depuis le 02/11/2007
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Derniers commentaires



  • Michel Frontère Michel Frontere 23 juillet 2007 21:41

    Mon propos se voulait un simple témoignage suite à mon stage et il m’a semblé intéressant de faire connaître autour de moi toutes ces statistiques qui sont édifiantes.

    Oui, la Prévention Routière (je n’en suis pas un adhérent) joue un rôle très utile de sensibilisation à la sécurité routière.

    Sur le media citoyen que se veut Agoravox, il me paraissait important de le souligner.



  • Michel Frontère Michel Frontere 22 juillet 2007 16:28

    Je souhaite répondre à Mandrier qui a écrit, je cite : « Pas plus tard que cette semaine, dans un tableau à l’équilbre, apparaissait des emprunts sans lesquels le budget etait très fortement déficitaire... Des emprunts pour couvrir des déficits ! Ca me fait doucement rigoler ! et après on vous démontre doctement que les finances locales sont bien gérées car on a fait un gros emprunt, parcequ’on n’avait pas l’argent !.... ».

    La plupart des communes n’ont pas vraiment de trésorerie (d’argent disponible à court terme) ; d’ailleurs quel intérêt de disposer d’une trésorerie pléthorique alors que la loi oblige les communes à déposer leurs fonds auprès du Trésor Public qui ne les rémunère pas, ou très faiblement ?

    D’où parfois des difficultés conjoncturelles à faire face aux dépenses courantes.

    Pour autant, l’emprunt fait partie des recettes auxquelles les collectivités peuvent recourir. En période de taux faibles comme il y a un an cela peut être intéressant. Il ne s’agit pas de recourir à l’emprunt pour couvrir des déficits mais d’équilibrer un budget - la loi en fait l’obligation aux communes - avec des recettes extérieures qui viennent en complément des subventions de l’Etat ou des autres collectivités locales et, le cas échéant, de l’autofinancement (pour partie).

    Lorsqu’une commune décide de rénover son réseau d’adduction d’eau potable (directement ou via son fermier), elle a intérêt à emprunter et à rembourser l’emprunt sur une longue durée (20 ou 30 ans) en adéquation avec la durée de vie prévisible de l’investissement.

    Par contre emprunter pour rembourser des emprunts est à proscrire absolument (je distingue bien entendu le cas d’une renégociation de la dette destinée, elle, à diminuer le taux d’endettement).

    Je résume : 1/ les communes ont l’obligation de présenter leurs budgets en équilibre ; 2/ l’emprunt est l’une des recettes légales (ordinaires) auxquelles elles peuvent recourir ; 3/ l’emprunt est une recette affectée : il doit servir à payer des dépenses induites par l’investissement qu’il finance ; 4/ les maires, les élus, doivent veiller à garder un taux d’endettement raisonnable, en général de l’ordre de 25% des recettes de la section de fonctionnement (fiscalité locale, dotation de l’Etat, etc...).

    J’aimerais vous avoir convaincu, l’ai-je fait ?



  • Michel Frontère Michel Frontere 19 juillet 2007 23:35

    A Mandrier : « Il n’y a pas pire gaspilleur qu’une collectivité locale ! », mon expérience professionnelle m’a pourtant démontré le contraire : l’immense majorité des collectivités fait un gros effort sur son budget de fonctionnement de manière à pouvoir dégager un excédent suffisant pour équilibrer sa section d’investissement (ce que l’on appelle l’autofinancement, c’est-à-dire : excédent de fonctionnement - remboursement du capital de la dette) ;

    A Marc Bruxman : votre argumentation est intéressante, et mérite d’être prise en compte ; disons que mon sentiment personnel c’est qu’une collectivité locale ne devrait pas intervenir dans l’équilibre financier d’un spectacle (hormis la mise à disposition à titre gracieux d’une salle) quand il atteint la dimension d’un concert comme celui de Johnny Hallyday ;

    Quant aux “charges sociales” payées par le producteur de Johnny, Jean-Claude Camus, je préfère utiliser l’expression “cotisations sociales”, puisqu’il s’agit de produits pour les organismes de protection sociale ;

    A Nessoux : que voulez-vous que je réponde à ce genre de propos ?



  • Michel Frontère Frontere 14 juillet 2007 23:54

    Merci à tous pour vos réactions très intéressantes, fors « perlin », mais on peut effectivement se demander si La Poste est encore un service public, de toute façon avec la mise en concurrence des plis de moins de 50 grammes à l’horizon 2011 ...

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