DBC, Jean Francois Réveillard

Tout est bouleversé, la musique, la presse, la télévision, bien que ce soit le média qui à ce jour réussi le mieux la fameuse convergence, ce grand rêve inachevé de la fin des années 90 tué dans l’oeuf par l’effondrement de deux tours et de la bourse en qui tout le monde voyait en elle la clé du financement de nouveaux grands médias. Même si il reprend et décline uniquement ses programmes le média tv sait trés bien jouer du ping-pong d’audience entre ordinateur et téléviseur. La grande question reste la, présente et incontournable, comment financer de nouveaux média sur le web ? Nous cherchons tous encore la réponse claire et certaine, et en attendant certain continue de construire, en effet avant tout financement un média c’est bien plus encore qu’une simple recette appliquée sur une antenne ou un site, tout le monde oublie que le succès d’un tf1 ce sont des dizaines d’année avant l’achat par un groupe d’entrepreneur, des dizaines d’années de passion, d’expérience, de ténacité via les pionniers de l’ORTF et de producteur audacieux qui n’ont pas tous finit en bourse bien loin de la...

Jean Francois Réveillard ( http://www.dbc-radio.net )

Merci ! Se déplacer aux concerts est une des démarches les plus essentielles pour découvrir des nouveaux talents hors du circuit formaté, mais surtout pour faire vivre toute cette scéne émergente qui explose sur le web.

JfR

Pour écouter des nouveaux talents, ouvrir son univers musical, depuis cinq saisons nous diffusons que de le musique émergente, qui sera peut être demain dans les réseaux peer to peer des majors mais peu importe pour l’instant cela vit et trés bien sur internet. Pour nous majors pas majors peu importe, plutot que de taper sans cesse sur ces modéles participons à l’élaboration de nouveaux modéles capables de respecter les droits d’auteurs, les sociétés de gestion, et surtout et avant tout le choix des artistes car c’est eux en premier qui choisissent la voix du libre, la voix de la Sacem, de la Suisa, ou la voix d’Universal ou la nôtre, et c’est ce choix qui doit être preservé le reste n’est que souvent de la littérature par des gens bien peu concernés par le monde de la création et ses réelles problématiques quotidiennes qui dépassent les vieilles bataille politique d’arriére garde.

JfR pour DBC