@olala « Vous avez parcouru les liens que je vous ai donnés et lu tous les articles, je suppose »
Vous avez lu ce livre publié sous la direction d’Anne-Marie Blondeau et Katia Buffetrille, j’espère, sinon à quoi bon disserter sur votre propagande-fleuve du parti communiste chinois ??
@maxime vivas « Les attaques ad hominem avec insultes dont vous me gratifiez. »
« j’ai écrit en 2011 « La face cachée du dalaï lama » que l’éditeur a titré autrement. Ce qui est dans ses prérogatives. »
Merci de cette précision. Si vous n’êtes pas l’auteur de ce titre stupide associant Dalaï-Lama et zen (ce qui est impossible à deviner) alors vous n’avez aucune raison de vous sentir visé. Votre éditeur n’est vraiment pas très malin de choisir un titre qui dissuade tous les connaisseurs du Tibet de lire votre ouvrage. Au passage, il vous fait passer pour un imbécile. « La Face cachée du Dalai-Lama » est un titre beaucoup intéressant, qui au moins ne donne pas le sentiment que l’auteur écrit sur un sujet dont il ignore tout. Je vais donc lire votre livre si je le trouve.
@tashrin « toutefois, imaginer que les supprimer releve d’une volonté de lutter contre la fraude fiscale etc est une grosse blague. les principaux utilisateurs de ces billets sont precisement les politiques, ou leurs affidés (operations de corruption diverses, financement occulte de campgnes, etc...). Et les gros trafiquants internationaux. »
@olala « si vous avez un peu de temps je vous conseille de lire « Dalaï-Lama : pas si zen » de Maxime Vivas. »
Rien que le titre est déjà parfaitement débile et donne une idée du niveau d’inculture de l’auteur ou des lecteurs auxquels il s’adresse (le Zen est japonais et a peu de rapport avec le bouddhisme tibétain : personne n’a jamais dit que le Dalaï-Lama était « zen » et surtout pas lui-même). En outre, je suis familiarisé avec la propagande du PCC et mes connaissances historiques sur cette région du monde ne reposent pas sur les communiqués de ses sbires, généralement des nostalgiques du grand rêve communiste qui se sentent obligés de soutenir la dictature chinoise parce qu’ils l’associent encore à la couleur « rouge » dans leur inconscient.