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Marin et voyageur, j’ai récemment posé mes valises dans notre belle capitale après avoir pas mal vogué.
Particulièrement touché par les problématiques écologiques, sociales et économiques, j’essaie de porter sur le monde qui nous entoure un regard critique avec une approche "développement durable". Si le fond est idéologique, je m’attache à garder une approche scientifique, pragmatique, mais surtout systémique.
Je suis par ailleurs président d’une association pour le maintien d’une agriculture paysanne (AMAP) que j’ai créée dans le 14e, membres actifs d’associations (éco-construction, jardins partagés) et sociétaire/correspondant local d’ENERCOOP.

Tableau de bord

  • Premier article le 12/06/2006
  • Modérateur depuis le 16/06/2006
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Derniers commentaires



  • romG romG 11 juillet 2006 12:01

    Martin,

    Je vous ferais remarquer qu’un grand nombre d’associations et d’ONG viennent déjà en aide à ces personnes, mettant ainsi leurs actes en relation avec leurs convictions. Ayez au moins la décence de reconnaître leur mérite avant de faire des généralités douteuses.

    Par ailleurs, le travail au noir bénéficie au moins autant aux employeurs qu’aux employés, et aussi à notre chère économie (c’est surtout l’Etat le perdant dans l’affaire). Quant à « arrondir leurs fins de mois », je pense que vous connaissez bien mal les conditions de vie de ces personnes pour utiliser une telle expression.



  • romG romG 10 juillet 2006 15:15

    Désolé LSO, mais pourquoi irions-nous mettre notre confiance dans ces deux scientifiques plutôt que dans ceux qui ont planché sur le rapport du sénat « L’ampleur des changements climatiques, de leurs causes et de leur impact possible sur la géographie de la France à l’horizon 2005, 2050 et 2100 » : directeurs de recherche au CNRS et à Météo France, membres du GIEC, présidents de l’ADEME et de l’IFREMER ... Et j’en passe, avec notamment la partcipation de M. Jean-Paul JANCOVICI.

    Je pense, personnellement, que vous jouez un jeu dangereux. Les conséquences et les autres faits dont vous parlez sont certes importants, mais les prendre en compte ne doit pas nous détourner de l’importance de la réduction des gaz à effet de serre (essentiellement en prônant la SOBRIETE et l’EFFICACITE des processus energivores).

    Cordialement.



  • romG romG 9 juillet 2006 22:07

    Le contresens dont je parlais était celui de l’habituel consommateur et qui devient par moment producteur. La nature de l’électricité n’est pas la même, ne serait-ce que par sa « qualité ». Les problèmes de déphasage par exemple nécessitent des installations particulières si je ne m’abuse.

    Et, en effet, je ne suis pas technicien (honte sur moi, et j’ai osé m’exprimé en plus) ...



  • romG romG 7 juillet 2006 09:48

    Zermikus,

    Le problème que vous évoquez est celui de la production, qui est centralisée pour l’instant (modèle EDF oblige) mais pourrait devenir distribuée (nombreuses recherches en cours au niveau européen).

    En effet, le système de protection du réseau doit être adapté pour permettre le fonctionnement à « contresens ». Il faut installer des mécanisme permettant aux générateurs décentralisés de contribuer à la stabilité générale du réseau électrique, afin de maintenir un équilibre entre le courant produit et le courant consommé. Le différentiel pourrait être fourni par des générateurs classiques de faible puissance (turbines à gaz en cogénération, biomasse ...).

    Cordialement.



  • romG romG 6 juillet 2006 14:28

    Pour être complet, il aurait fallu préciser la durée de vie de cette centrale, et faire le bilan à l’horizon de ce cycle de vie. Et mettre en face l’équivalent pour une production à base d’énergie fossile, nucléaire ... Vous voyez cela par le petit bout de la lorgnette, d’autant que des gains importants peuvent encore être faits durant la production des cellules (ce qui améliorera le rendement du cycle global). Deux ans pour un « retour sur investissement », ça n’est rien du tout.

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