NOSMO
Cancer parmi les autres signes, il me faut aimer pour comprendre, ressentir pour agir.Attiré par les idées nouvelles et mobiles, je n'aime pas les rabat-joie.
Je suis mon chemin de fortune et j'écoute le bourdonnement de la ruche.
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- Premier article le 14/06/2012
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« La moitié des papillons des prairies ont disparu en Europe »Il faut ajouter, et cela est encore plus triste, rosemar, que leur disparition n’arrive pas qu’à notre seul continent européen.Les études du professeur Emilio Balletto, enseignant chercheur au département des Sciences de la Vie à l’université de Turin, a confirmé que plus de 30% de familles de papillons à Madagascar se trouvent aujourd’hui dans le rouge. Pourtant la Grande île est riche en papillons endémiques. Car sur les 299 espèces de papillons recensées à Madagascar, 211 d’entre elles n’existent que dans la Grande île. L’urgence, dit-il, réside aujourd’hui dans la protection de la forêt. J’ajouterai aussi le commerce des collections de papillons, sur l’île, qui accélère encore plus la rapidité de leurs extinctions. -
Mr DUPONT, etc. venant de [et cetera] est une abréviation qui n’a nullement besoin d’être répétée. Elle a le même sens que les points de suspension (...). Faire suivre etc. de points de suspension est donc une redondance. Inutile de me remercier. Bonsoir, Mr Dupont.
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« Cause à effet »Ce que critique ce monsieur, si je comprends bien, sont les risques que la femme enceinte, exposent à la vue de l’homme. Et qu’au titre plus largement, d’objet du désir, elle puisse le « déranger » dès qu’elle met le bout de son nez dehors, à moins sans doute d’être vieille et toute fripée, ou recouverte de la tête au pied. Quoique, si on tient compte de tous ses critères de réprobation, la laideur d’une femme âgée ou la démarche trop courbée d’une autre pourrait aussi la forcer à rester chez elle. Alors, je me dis, pourquoi ne pas répondre au problème en sens inverse ? Une meilleure solution, pour enfin régler durablement cette affaire, ne serait-elle pas d’enlever le désir que provoque la femme chez l’homme ? Car, c’est bien en l’occurrence l’homme, ici, qui a un problème et non la femme ! Comment d’ailleurs pourrait-on reprocher à une femme d’être enceinte et comble de tout, de ne pouvoir cacher physiquement son gros ventre ? ... Supprimons plus simplement et radicalement cette terrible envie en l’homme ! Libérons-le de ce foutu Handicap ! ... Oui, oui, je vous vois sourire ... L’homme, le pauvre, ne fait que se contraindre à ne pas réagir à des appâts qu’on lui tend et ne peut être en rien responsable dans cette affaire. On ne pourrait encore moins lui reprocher de ne pouvoir rester maître de ses sens, dans certaines circonstances ...Ah bon ?? Mais alors, d’où vient le fait que la femme soit enceinte ou pas ?Comme le dit si bien la formule, il n’y a pas d’effet sans cause, ni de cause sans effet.L’homme, ne serait-il pas la cause indirecte de l’effet naturel que provoque la femme sur ses sens ?Effacer la femme du lieu public, ne leur apporte qu’une solution hypocrite.Nous dirons donc, qu’il ne peut y avoir de cause en soi s’arrêtant à la femme, puisque si la cause détermine l’effet, elle est elle-même déterminée par une autre cause et est conséquemment, cause et effet. Car et avant tout, si la femme est grosse, c’est bien parce que l’homme l’a mis enceinte qui est donc à l’origine de cet effet. Ce qui revient finalement à dire par déduction : si l’homme supprime la femme enceinte de la vie publique, il en vient par les liens insécables de cause à effet, à se supprimer lui-même. Soit, l’imposture de ce monsieur révèle ni plus moins son idiotie, car ici, comme au commencement de tout, ce n’est point son Dieu supérieur qui a mis sa femme enceinte, mais lui-même et il devrait en être fier, heureux et non jaloux d’une cause suprême qu’il fantasmerait. -
Je trouve vos articles toujours très intéressants et plein d’humanisme, Rosemar.
Je ne sais pas comment vous faites. Vous devez être très douée, c’est sûr.Mais pour revenir au sujet qui nous préoccupe ici, je dirais que la grande crise que nous traversons actuellement, et qui met en question un par un, tous les pouvoirs de l’argent sur l’homme, finira je pense, par remettre aussi en question, tous les pouvoirs de l’homme sur la femme, pour finalement accuser ce système millénaire, injuste et exclusif du patriarcat. À la solution de la crise, l’humanité, pour sa survie, ne pourra pas faire l’économie de cette remise en question profonde et globale d’une reconnaissance égale des sexes. Je suis d’ailleurs très surpris que dans la plupart des débats d’experts actuels sur les questions d’économie mondiale, les origines de l’oppression des femmes, soient si absentes de leurs réflexions... Alors que leur combat pour la reconnaissance de leurs droits, est loin d’être terminée, et, comme je le disais plus haut, il ne pourrait y avoir de solution réelle à cette crise de civilisation où tout se lie, sans femme libre et propriétaire d’elle-même et non des hommes. -
Bonjour rosemar :)
Si Serge Daney aurait été encore en vie,il eût été possible qu’il eusse dit :Facebook ? = degré zéro du net !Mais il est vrai que l’on est plus à un zéro près, et que beaucoup aiment se vider d’éléments divers dans cet grand ensemble nul et absorbant. D’où peut-être ce besoin inconscient d’y multiplier les contacts (o+o+o+o...) puisqu’au final on y avance toujours pas d’un chiffre.Non les « Totaux » (en dollars), eux, se font ailleurs ...
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