• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Jules Elysard

Jules Elysard

Consultant en rien.
Membre survivant de l'Ephémère Jeunesse Marxiste Pessimiste.
Ancien élève de l'Institut de Préhistoire Contemporaine et du Centre de Recherches sur la Question Sociale.
Correspondant clandestin du Bureau des Secrets Publics.
Présentement, je suis un homme du passé qui voyage dans le futur.

Tableau de bord

  • Premier article le 27/10/2012
  • Modérateur depuis le 23/11/2012
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 97 200 1519
1 mois 1 0 29
5 jours 1 0 29
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 272 270 2
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : nombre de visites













Derniers commentaires



  • Jules Elysard Jules Elysard 22 décembre 2021 19:52

    https://www.mediapart.fr/journal/france/201221/des-soutiens-de-zemmour-menacent-dans-une-video-des-membres-de-lfi-macron-et-les-bougnoules

    C’est une vidéo d’environ une minute et trente secondes révélée sur les réseaux sociaux par le groupe antifasciste Jeune Garde. On y voit un homme, fusil de précision à la main, sur un stand de tir. Face caméra, il explique qu’il va «  s’entraîner à chasser du Garrido sauvage  », en référence à Raquel Garrido, ex-porte-parole de La France Insoumise (LFI).

    La comparant à une « truie », l’homme montre fièrement le calibre des cartouches qu’il s’apprête à utiliser avant de mettre en joue son arme et de faire feu. Il tire une seconde fois en mentionnant Alexis Corbière, compagnon de Raquel Garrido et député LFI. « Deux balles, trois morts, ça a ricoché sur un antifa derrière », ajoute-t-il.

    Dans une seconde séquence, le même homme indique tirer sur des « antifas et des gauchistes », et développe sur ses cibles imaginaires : « Il y a des drapeaux algériens et marocains, donc on va s’empresser de tirer. »

    D’après les informations de Mediapart, l’homme sur ces images qui utilise le pseudonyme « Miles Christi » sur les réseaux sociaux, « Chevalier du Christ » en latin, est un militaire ou ex-militaire. Sur une photo publiée il y a quelques mois sur Instagram, il apparaît en treillis, visiblement à l’exercice, en train de manipuler un mortier. De dos, il est néanmoins reconnaissable au tatouage caractéristique qu’il porte à l’arrière du crâne, également visible sur les images au stand de tir.

    D’autres vidéos obtenues par Mediapart montrent un second homme au même stand de tir.

    Casquette sur la tête marquée du gimmick d’Éric Zemmour « ben voyons », devenu un véritable slogan de campagne, il s’adresse également à la caméra. « Ben voyons, les amis, on va éclater qui là ? Du jeune gaucho, du jeune communiste, du jeune bougnoule mental ? », interroge-t-il avant de mettre son arme en joue. Sur une autre séquence, il feint la surprise et s’exclame : « Ah, Emmanuel Macron ! », avant de faire feu.

    Sur ses réseaux sociaux, ce jeune homme affiche ouvertement son soutien à Éric Zemmour.

    En bannière sur son profil Twitter apparaît par exemple une photo du candidat à la présidentielle au salon de l’armement Milipol, fusil en joue, qui n’est pas sans rappeler son geste à l’égard des journalistes ce jour-là. Sur Internet, le jeune homme documente également sa présence au meeting du 5 décembre dernier à Villepinte : « Rassemblement patriotique pour le Z !!! » ou « Enfin le vrai homme providentiel que tous français [sic]  », écrit-il en partageant des images de l’événement.

    Entré en contact avec Mediapart après la publication de cet article, il assure à propos des images filmées au stand de tir qu’il ne s’agit pas d’une « vidéo sérieuse » et explique qu’il faut « arrêter de dramatiser cette affaire : on s’est un peu lâchés avec humour et sinon y a rien de méchant ». Interrogé sur sa présence au meeting d’Éric Zemmour, il affirme ne pas soutenir le candidat mais « aimer beaucoup ses idées ».

    En novembre dernier, StreetPress révélait d’autres images de militants d’extrême droite s’entraînant au tir sur des caricatures racistes de juifs, de musulmans et de Noirs. Les mêmes collaient également des affiches pour celui qui n’était alors pas encore candidat : Éric Zemmour.

    Sébastien Bourdon

    Boîte noire

    Cette enquête a été actualisée mardi 21 décembre à midi, après que l’un des protagonistes de la vidéo a finalement répondu à nos questions. Ses réponses figurent dans l’article.



  • Jules Elysard Jules Elysard 19 juin 2021 17:00

    Je reçois à l’instant une attaque personnelle d’un quidam qui, semble-t-il, projette sur moi une de ses caractéristiques : la prose compulsive (il suffit de lire sa page de présentation).



  • Jules Elysard Jules Elysard 19 juin 2021 16:06

    Je savais qu’en publiant cet article je provoquerais des « réactions » de « trolls » de ce qu’on appelle « la faschosphère ».

    Comment reconnait-on ces fâcheux ?

    Ils n’ont généralement écrit eux-mêmes aucun article et éprouvent le besoin à chaque intervention de mettre leurs couilles sur la table afin de montrer leur virilité aux gauchistes.

    Ajoutons que leurs « visuels » sont généralement le signe de ce qui leur manque : la puissance.

    Bien sûr, tout cela se fait devant un écran.

    Bon, Freud est mort, mais gageons qu’ils ne sentent pas très bien.



  • Jules Elysard Jules Elysard 12 mai 2021 16:18

    @Eric F
    Bonjour Eric,
    J’ai justement voulu montrer que la ligne éditoriale de Valeurs Actuelles et de CNews n’est pas si isolée que ça. LCI avec la complicité d’Harris « radicalise » même le message original, lui donne une plus grande publicité et conclut qu’une majorité de Français pense comme ça.



  • Jules Elysard Jules Elysard 12 mai 2021 16:06

    @julius 1ER
    Merci. Je crois que vous avez compris ce que j’ai essayé de dire.

    Je vais tenter de le formuler autrement : l’heure n’est plus à la raison, mais la déraison. « Raison » pour laquelle un type comme Mélenchon, qui a un programme, est réduit par les médias à des images de repoussoir, de paranoïaque, de dictateur...

    L’opération « Tribunes » des militaires que les médias ont repris, c’est :

    1. une adresse à Macron : faites ce qu’on vous demande, sinon...
    2. mais surtout un message à une population potentiellement insoumise dont on attend la soumission : pour éviter "une guerre civile, le pouvoir est prêt à une répression préventive.
Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv