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averoes

Ni laudateur obséquieux, ni contempteur licencieux, mais un simple adepte de la chose vraie qui essaye de faire en sorte que la quête du sens ne lui fasse pas perdre le sens de la quête.

Tableau de bord

  • Premier article le 22/12/2014
  • Modérateur depuis le 26/05/2015
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Derniers commentaires



  • averoes 16 avril 12:48

    @tashrin
    Accrochez-vous à ce que vous pouvez trouver pour avoir le dernier mot.
    Si c’est cela votre préoccupation intellectuelle, alors soyez rassuré, car je vous laisse non seulement le dernier mot, mais aussi le pénultième et l’antépénultième. Vous êtes royalement comblé là ... !



  • averoes 16 avril 12:20

    @tashrin

    Visiblement, vous n’avez pas compris le sens de la phrase, en raison du fait que des mots comme « d’aucuns », « exhaussement » et « inhérente » ne font pas partie de votre capital lexical.

    À cet égard, l’on se demande comment vous faites pour juger ce que vous ne comprenez pas.

    Mais, vous avez raison de parler de termes alambiqués et de vous abstenir de consulter un dictionnaire. À quoi bon ? De toute façon, pour satisfaire votre pitance intellectuelle, je vais de ce pas plaider auprès de l’académie française la conjurant de supprimer tous les mots alambiqués de tous les dictionnaires. Ce langage ne sert à rien, in fine, à part importuner le vulgum pecus (pardon, je veux dire l’homme ordinaire) dans sa quiétude mentale et dans le confort de sa simplicité.

    La phrase dit que pour certains chercheurs, c’est l’organisation de l’enseignement selon différents niveaux (primaire, secondaire, etc.) qui engendre la difficulté scolaire. Plus on grimpe dans les niveaux de scolarité plus l’apprentissage devient difficile (le programme de la terminale est plus difficile que celui de la dernière année du collège, le collège plus compliqué que l’enseignement élémentaire, etc.).

    Ça vous va maintenant comme platitude de l’expression, puisque vous avez l’air de ne pas supporter un langage universitaire ?



  • averoes 16 avril 12:18

    Visiblement, vous n’avez pas compris le sens de la phrase, en raison du fait que des mots comme « d’aucuns », « exhaussement » et « inhérente » ne font pas partie de votre capital lexical.

    À cet égard, l’on se demande comment vous faites pour juger ce que vous ne comprenez pas.

    Mais, vous avez raison de parler de termes alambiqués et de vous abstenir de consulter un dictionnaire. À quoi bon ? De toute façon, pour satisfaire votre pitance intellectuelle, je vais de ce pas plaider auprès de l’académie française la conjurant de supprimer tous les mots alambiqués de tous les dictionnaires. Ce langage ne sert à rien, in fine, à part importuner le vulgum pecus (pardon, je veux dire l’homme ordinaire) dans sa quiétude mentale et dans le confort de sa simplicité.

    La phrase dit que pour certains chercheurs, c’est l’organisation de l’enseignement selon différents niveaux (primaire, secondaire, etc.) qui engendre la difficulté scolaire. Plus on grimpe dans les niveaux de scolarité plus l’apprentissage devient difficile (le programme de la terminale est plus difficile que celui de la dernière année du collège, le collège plus compliqué que l’enseignement élémentaire, etc.).

    Ça vous va maintenant comme platitude de l’expression, puisque vous avez l’air de ne pas supporter un langage universitaire ?



  • averoes 14 avril 17:50

    @Seth

    Je ne sais pas pourquoi le mot « producteur » porte un « s ». Vous n’avez écrit que très peu de mots, et déjà une erreur...

    Mais bon, ce n’est pas bien grave : c’est une coquille qui arrive à tout le monde. N’est-ce pas ?

    Au fait qu’avez-vous à dire sur le sujet ? Car, quand bien même le style rédactionnel vous serait inaccessible, vous n’allez tout de même pas soutenir que le titre est lui aussi abscons ? Ne voyez-vous pas que sa clarté est éclatante ? Alors que pensez-vous de cette problématique ? Il faut bien reconnaître que votre commentaire nous laisse sur notre faim.


    Par ailleurs, s’attendre à des avis élogieux ne fait pas partie des préoccupations de l’auteur. Ce qu’il souhaite c’est un échange intelligent avec des interlocuteurs qui ont un niveau d’instruction au moins du second cycle universitaire ou, à défaut, une culture autodidacte de bon aloi.



  • averoes 14 avril 11:39

    @Eric F
    En toute honnêteté, je ne dispose d’aucune statistique sur la tendance relative à ces capacités en fonction du milieu socio-culturel. Au demeurant, je ne pense même pas qu’elle existe.
    Mais, si l’on se fie à l’analyse de P. Bourdieu, la classe favorisée véhicule le contenu culturel que le système scolaire rend légitime en l’institutionnalisant. Dès lors, on peut estimer (sans être franchement catégorique)

    qu’il y peut y avoir une forte corrélation entre la culture des milieux aisés et la fréquence d’un potentiel intellectuel au-dessus de la moyenne.
    Enfin, il va de soi que lorsqu’un potentiel cognitif rencontre un environnement stimulant et donc favorable, ce dernier constitue un ferment particulièrement actif et influent quant l’efficience de ces capacités naturelles. Et voilà qui finit par donner l’impression qu’un potentiel cognitif de bon aloi a plus de chance d’apparaître dans un milieu favorisé.

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