Bonjour Jean, c’est toujours joli ce que tu écris. J’essaye de reformuler ce que tu racontes, dis-moi si je me trompe. Un être humain c’est un corps et une mémoire, différents d’un être à l’autre. Les processus de la vie sont interprétés par cette mémoire et en découlent des actions. Les réactions seraient donc mécaniques et sans possibilité de choix. Même si je ne le comprends pas vraiment, ca paraît logique.
Maintenant, les machines en présence ont l’air programmées pour la survie et donc pour dépasser les autres machines (les critères importent peu).
Du coup, même si l’égo est un ordinateur, il semble bien réel. La réussite de la survie, par rapport à celle des autres, semble être le critère principal d’évaluation pour l’égo.
C’est sans doute pas clair, y a un truc qui me gêne mais je mets pas le doigt dessus. En gros, en quoi le fait que tout soit automatique/prédéterminé change quelque chose au truc ? En quoi l’absence de penseur changerait l’envie de dépasser l’autre ?
Merci d’avance si tu passes quelques minutes à déchiffrer mon charabia.
Bonjour, il est dur à lire votre article. Pas que ce soit mal écrit mais au niveau de la quantité de concepts abstraits. En vrac : « système politique, stable, pensée, progressisme, islamisme, pluralisme, souverainiste, liberté, sécurité, laïcité, assimilation... » on peut continuer longtemps. Le problème avec ces concepts c’est que ce sont des fourre-tout et que chaque personne en a sa propre définition, différente de celle des autres.
Du coup, chacun peut lire ce qu’il veut ici, impossible de comprendre ce que vous avez voulu dire. On tombe juste sur le constat que c’est le bordel dans votre tête et que vous en faites profiter le lecteur :).
J’aurais bien parlé du fond de l’article mais ce que j’ai compris n’a à priori rien à voir avec ce que vous avez dit... à part que c’est le bordel.
c’est vrai que le gars ne se bat pas particulièrement pour la France, encore moins pour son peuple. Mais même si c’était le cas, on lui demanderait de faire du secret.
A partir de là, on est forcément tenté de ne plus les croire. Eux vont répondre que les Bilderberg c’est juste pour boire un coup et on s’arrête là du coup.
On va pas non plus payer des militaires pour dévoiler la stratégie à tout l’ennemi. Si les gars d’en haut considèrent qu’on est leurs ennemis en bas (et c’est forcément le cas vu qu’une bonne partie d’entre nous voudrait prendre leur place) alors c’est mort pour nous.
Mais j’arrive pas à m’empêcher de penser qu’on a collectivement créé ces poste de pouvoir et que c’est le problème.
Pour moi, la meilleure défense, c’est l’attaque.
Pour moi vous partez de la fin. Qui se défend contre qui ? Je pense sincèrement que le problème est dans la tête de chacun. On a tous peur de la mort, donc on veut tous remplir nos vies au maximum (chacun à sa façon) donc on se fout sur la tronche collectivement car nos ambitions personnelles se télescopent. Sauf exceptions bien sur, peut être, je n’en fais pas partie...
Certains gagnent et deviennent Young leader, d’autres perdent et veulent faire la révolution. Mais ca ne change rien. Qu’est-qui nous oblige à rentrer dans ce jeu ? C’est pour moi une question essentielle, même si la réponse n’est pas évidente.