Auxi

Le testament politique de Mitterrand : « Bouffez à tous les râteliers, parlez à gauche et gouvernez à droite, arrosez les patrons sous prétexte d’emplois – évidemment jamais créés – et tabassez socialement les pauvres, les chômeurs et les handicapés, ils ne peuvent pas se défendre, ce serait con de se priver… Commencez sans moi, les gars, je saute ma quarante-septième maîtresse et je vous rejoins, grâce aux forces de l’esprit ! »

Ça va être champagne et cotillons, chez les patrons ! Encore un bel arrivage tout frais d’esclaves quasi-gratuits, taillables et corvéables à merci pour des salaires de famine, avec le Gestapôle Emploi comme garde-chiourme pour tenir les chaînes bien serrées… Pas à dire, les socio-kollabos font du bon boulot au service du patronat ! Un bon coup de propagande télévisuelle là-dessus, genre « du boulot, y’en a » ou « takabosser fainéant », et l’affaire est dans le sac, le connard de base qui vote bien sagement là où on lui dit de faire s’en contentera, il n’est pas difficile : tant qu’il y a du foot et le porno de Canal+, que demander de plus ? Franchement, pourquoi voter à droite alors qu’on a les solfériniens, je vous le demande ! Quand aux châtelains de Montretout, millionnaires sans avoir jamais rien foutu de leurs dix doigts, à coup de rapines, d’escroqueries diverses et variées et de captations d’héritages, là, c’est l’orgasme ! Et ces millions d’abrutis qui vont, non seulement voter, mais en plus voter pour leurs pires ennemis, c’est Byzance ! Plus, ça serait trop, vraiment !

@Gilles Mérivac
Hollande est complètement en phase avec ces mouvements gauchistes

Flourens m’a brillamment coupé l’herbe sous le pied, j’allais le dire : Clemenceau, qui s’est caractérisé surtout par sa lâcheté, ne fut qu’un immonde sac à merde à jeter dans la même cuvette que le bien prénommé Adolphe Thiers. Il n’est pas étonnant que cette petite crevure de bas étage soit l’idole du fasciste Valls : ces deux minuscules politicaillons font la paire. Clemenceau, tocard faible d’esprit, tout juste bon, intellectuellement parlant, à récurer les chiottes publiques, est bien l’ancêtre des socio-kollabos.

On peut lire ou relire « Le Postier », de Charles Bukowski, c’est du vécu et c’est assez parlant.