Une inflation de 2%
qui n’est pas compensée par une hausse égale des salaires, des
retraites, des taux de la caisse d’épargne ou des assurances-vie,
revient à prélever un impôt invisible sur les 90% les moins
riches.
En effet les 10% les
plus riches ont des revenus plus lucratifs : locations immobilières,
actions etc.
Oui, il y a des néo-nazis en Allemagne. Mais ils diffèrent sensiblement des hitlériens.
Ils ne veulent plus démembrer la France et en soumettre les morceaux aux diktats allemands. Ils n’envisagent plus d’envahir la Russie pour y créer un paradis aryen. Ils n’envisagent pas non plus de déporter la quasi totalité ses Néerlandais à l’est, pour aider à aryaniser les territoires conquis (sachant que les Allemands ne seraient pas assez nombreux à être volontaires pour y déménager). Ils ne veulent plus exterminer les juifs dont ils ont compris qu’ils ne constituent pas une « race ». Ils ne veulent plus exterminer les immigrés que Merkel a fait entrer pour satisfaire les besoins de main d’œuvre à bon marché du patronat. Ils veulent les chasser d’Allemagne.
Ils sont banalement d’ultra-droite politique comme il en existe dans d’autres pays comme l’Ukraine mais pas que. Il y eu une spécificité du nazisme même par rapport aux fascismes de la même époque, qui a disparu dans les poubelles de l’histoire.
Il
n’y a pas à respecter des opinons fausses, il faut au contraire les
combattre au nom de la vérité. C’est le cas pour la science mais
aussi pour toutes les opinions qui ne s’appuient ni sur l’expérience
ni sur les statistiques.
Le
débat n’est pas sur le « métissage » de la population
française : on est bine content d’avoir des sportifs issus de
l’immigration plus ou moins récente pour faire briller nos couleurs
à l’international.
Le
« débat » est le
remplacement des « gaulois »
(en fait des celto-romano-germains, avec quelques Huns qui sont
restés en Auvergne) par des Africains musulmans (l’immigration
d’asiatiques bouddhistes ou chrétiens (Vietnam) est beaucoup mieux
tolérée et donc jamais évoquée). Et ça, c’est un pur fantasme
pour aujourd’hui comme pour demain.
Je voudrais bien
savoir quelles qualifications d’ingénieur aéronautique vous permettent de prendre ce ton professoral pour juger l’analyse de tous les
livres théoriques sur la stabilité d’un avion.
Les trois théories
de stabilité, roulis, tangage, lacet ont été amplement vérifiées
en soufflerie.
Votre ULM n’entre
pas dans la catégorie des avions de ligne (et c’est pourquoi je n’en
ai pas parlé) !
Sa stabilité est
assurée par un effet pendulaire : le centre de portance est
situé très au-dessus du centre de gravité et du centre de poussée.
C’est aussi l’effet pendulaire qui permet le vol sans empennage des
parachutes ascensionnels. Les petits monomoteurs qui ont une aile
plane utilise aussi cet effet pendulaire pour se stabiliser en
roulis.
L’inconvénient d’un
tel système est que la traînée augmente rapidement avec la vitesse
car l’aile se cabre trop et fait parachute de freinage. Avec par
ailleurs un mauvais l’aérodynamisme, la vitesse d’un ULM est très
limitée.
Je n’insisterai pas
sur votre néologisme « d’avion complet » qui n’a aucun sens.
Je ne développerai pas non plus comment Clostermann aux commandes de son Spifire s’est sorti d’un piqué mortel (turbulences sur les ailes) en augmentant en catastrophe l’assiette de la déportance de l’empennage.
Les récits sur le goulag ont toujours été filtrés par l’Occident. Pour pouvoir trouver un éditeur, il fallait appuyer la propagande anticommuniste, beaucoup plus hypocrite et subtile que la propagande communiste.
J’ai eu la chance particulière de lire un récit confidentiel sur la vie dans les camps de Sibérie car il avait été écrit par un détenu ... en espéranto !
Il ressort que le principal ennemi des déportés étaient en été les insectes piqueurs et en hiver le grand froid ... deux mots dont souffraient aussi les gardiens ! À la différence des camps nazis, des Russes gardaient des Russes. L’objectif de Moscou était clairement de peupler la Sibérie avec ces bagnards comme l’avaient fait avant la Russie la France en Guyane et en Nouvelle-Calédonie et l’Angleterre en Australie et Nouvelle-Zélande.
C’est pourquoi les prisonniers étaient nourris ... aussi bien que les gardiens (c’est-à-dire mal compte-tenu des faibles ressources alimentaires de la région) et portaient les mêmes vêtements chauds en hiver. Les isbas étaient chauffées au bois. Les malades reconnus restaient au repos et au chaud dans l’infirmerie. Les nazis voulaient la mort des déportés par le travail excessif (et souvent inutile), le froid, la faim et la soif, les coups, les exécutions.
Les communistes utilisaient les condamnés essentiellement comme en France et en GB on se servait des droits communs ou des politiques qui avaient commis des actes de rébellion ou de trahison selon les autorités, tel Dreyfus. En Sibérie comme en Russie, ceux qui suivaient les règlements n’étaient pas inquiétés. Les détenus tutoyaient les camarades-gardiens et pouvaient assister chaque fin de semaine à une séance de cinéma. cela n’existait ni dans les camps nazis ni même dans les bagnes français !
Les conditions de vie étaient dures pour tous. La mort n’épargnait pas les gardiens. Le soir les détenus rentraient dans un camp cernés de barbelés et surveillés par des miradors munis de mitrailleuses. Ceci pour dissuader d’une mutinerie. Mais selon l’auteur du récit, les détenus n’en eurent jamais l’idée car la toundra était sans pitié pour les évadés, tout comme la forêt vierge pour les bagnards de Guyane, qui dormaient les fers aux pieds, eux !