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Olaf

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Consultant, blogueur, journaliste, j'ai écrit Le Grand Secret de l'Islam, fruit d'une collaboration depuis 2012 avec le P. Edouard-Marie Gallez, docteur en théologie et histoire des religions et spécialiste des origines de l'islam. J'ai poursuivi ce travail d'étude de l'islam, et au-delà, des idéologies en publiant La Laïcité, mère porteuse de l'islam ?, avec le P. Michel Viot, livre qui dissèque les phénomènes idéologiques à l'oeuvre en Occident et en islam, leurs liens profonds, leurs accointances et leurs oppositions jusqu'à la mise en scène du « choc des civilisations »

Tableau de bord

  • Premier article le 29/01/2015
  • Modérateur depuis le 16/10/2015
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Derniers commentaires



  • Olaf Olaf 23 mars 2015 18:27

    @lgsa
    La parabole du bon grain et de l’ivraie dans l’évangile de Matthieu 13,24 :


     « Il leur proposa une autre parabole, et il dit : Le royaume des cieux est semblable à un homme qui a semé une bonne semence dans son champ. Mais, pendant que les gens dormaient, son ennemi vint, sema de l’ivraie parmi le blé, et s’en alla. Lorsque l’herbe eut poussé et donné du fruit, l’ivraie parut aussi. Les serviteurs du maître de la maison vinrent lui dire : Seigneur, n’as-tu pas semé une bonne semence dans ton champ ? D’où vient donc qu’il y a de l’ivraie ? Il leur répondit : C’est un ennemi qui a fait cela. Et les serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous allions l’arracher ? Non, dit-il, de peur qu’en arrachant l’ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé. Laissez croître ensemble l’un et l’autre jusqu’à la moisson, et, à l’époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs : Arrachez d’abord l’ivraie, et liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier. »

    La leçon qui saute aux yeux est justement le refus d’arracher la mauvaise herbe : il ne revient pas aux hommes d’extirper le mal du monde, il ne leur revient pas de condamner les personnes. Ce sera fait à la fin des temps. Tout le contraire des sans-culottes et de leurs meurtres innombrables que vous portez en étendard, « lgsa », le semeur de zizanie.


  • Olaf Olaf 23 mars 2015 18:20

    @lsga
    Mais de quoi parlez vous enfin ? Quels bûchers ? Quelles atrocités ? Qu’est ce que c’est que ce délire ? Et en quoi les paraboles de Matthieu que vous citez justifieraient-elles le meurtre ou la violence ? C’est même exactement le contraire à propos de celle du bon grain et de l’ivraie ... Instruisez vous donc au sujet de ces fameux bûchers que vous mettez sur le dos du christianisme


    Et par ailleurs, où est-ce que vous avez vu des chrétiens polygames et qui circoncisaient leurs fils façon peuple hébreu de l’ancien testament ?

    Vous êtes vraiment d’une mauvaise foi perverse et manipulatoire. A voir l’image de votre avatar, le sans-culotte instrument de la révolution qui a mis l’argent et les bourgeois au pouvoir par la violence et la terreur, il n’y a rien d’étonnant.


  • Olaf Olaf 22 mars 2015 21:24

    @Jean J. MOUROT

    Après avoir lu l’encyclique « Mit brennender Sorge, du pape Pie XI (rédigée par le future Pie XII), on ne peut certainement pas parler de »volonté de conciliation".



  • Olaf Olaf 22 mars 2015 16:24

    @tf1Groupie
    S’il n’y avait que deux points à retenir de mon article, les voici :


    1) les violences commises au nom de l’islam trouvent leurs justifications et leurs encouragements dans les textes musulmans eux-mêmes (ce qui au passage n’est pas le cas du christianisme, mais il semble impossible de parler d’islam sans qu’on fasse aussi sec le procès du christianisme - voilà qui est riche d’enseignements).

    2) tant que le pas d’amalgame régnera, on ne rendra pas service aux musulmans, en les décourageant de considérer la violence de leurs textes en vérité. Et de fait, on s’achemine alors vers des catastrophes.

    Ces deux points me semblent tout à fait simples à comprendre, accessibles à tous. Mais il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.


  • Olaf Olaf 22 mars 2015 16:08

    @njama

    Effectivement
    « Paraclet » est un mot d’origine grecque, qui signifie dans cette langue « avocat », « consolateur ». « intercesseur »
    Il était passé et utilisé tel quel dans la langue courante araméenne au temps de Jésus. Dans la culture de la transmission orale des textes, il avait pris le sens de « souffleur » : le « souffleur » est la personne qui « souffle » au récitant les mots sur lesquels il bute, dont il ne se souvient pas, lorsqu’il proclame un texte sacré, un récit, un témoignage. 
    Nous avons désormais accès directement aux textes de l’évangile depuis l’araméen, par les églises d’Orient qui les ont conservées (la Peschitta). Ces textes originaux, très proches au demeurant de leurs traductions en grec, intervenus postérieurement, n’en présentant pas moins quelques différences. Ainsi la traduction de Patrick Calame rend Jean 14,16 par « Et moi je supplierai mon Père de vous donner un autre Paraclet, afin qu’il soit avec vous pour l’éternité ». Paraclet est le mot grec, utilisé tel quel en araméen, non traduit en « consolateur ».
     smiley
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