On peut aussi dialoguer avec son bourreau : « Oh que vous êtes bon et beau, M. le bourreau ; vous tuez et torturez si bien, si humainement, si divinement ». Avec tout le respect que je vous porte, un peu de sérieux, M. Douane. Les ordures, les fumiers, les tortionnaires (même « humanistes » !) on les combat en dénonçant leurs saloperies. C’est ce que je fais depuis plus de 40 ans ! Et non en se prosternant à leurs pieds !