Les danseuses Willis (et autres Sylphides) sont assez connues, mais les willis lyriques beaucoup moins. Enfin, il n’y en a pas 50 000 non plus. L’opéra que Puccini a composé sur le sujet (Le Villi), son premier d’une belle série, n’est certes pas son chef-d’oeuvre, mais dégage déja un parfum de génie.
Prélude
Air « se come voi... »
La Tregenda (interlude symphonique)