elle pourra toujours faire livreuse de F-16 en attendant :
les premiers à l’annoncer :
« La proximité géographique et les manoeuvres intenses de l’Iran pour intervenir dans le jeu politique irakien donnent une toute autre portée à cette commande de fourniture militaire : le retour des pétrodollars irakiens dans la course aux armements régionale ne doit pas non plus faire l’impasse de l’acquisition acharnée par Teheran d’un armement atomique.
Car le F-16, dont l’objectif premier est le combat aérien, peut également et surtout servir d’appui à des opérations terrestres ou lors d’opérations de bombardement ciblés. »
jusqu’au jour où le pays rebascule ?