En fait, la plupart des voix à prendre ne seront ni à droite ni à gauche, mais au peuple, en dehors du jeu.
Ce sont celles-là qui naviguent de Royal à Sarkozy en passant par n’importe quoi dans les sondages.
Pas celle des convaincus.
La difficulté pour l’instant c’est non de jouer avec les idées mais de contrer les deux bulles médiatiques. Si l’une, et j’espère les deux, éclate(nt) rapidement, alors tout est effectivement très ouvert.
Pour l’instant, l’UDF recrute plutôt des adhérents à gauche, puisqu’elle s’est recentrée, c’est logique.