Je ne mets pas en doute ces médecines. Je mets en lumière le fait que les hôpitaux s’y intéressent car ils sont tous les jours confrontés à des patients en détresse ou en échec thérapeutique... Il y a aussi un très fort engouement pour ces médecines, mais avec certains risques : tous les praticiens ne sont pas compétents et il n’y a pas de labellisation permettant de faire le tri entre bons et mauvais...
Il est vrai qu’il y a une pointe d’ironie dans mon introduction car ces méthodes ne sont pas communes et peuvent paraître étonnantes vues de l’extérieur.
En revanche, point de parisianisme ici : d’ailleurs, la fin de mon article est sans équivoque