La dette souveraine étrangle l’ensemble des pays de la zone Euro.
Les pays « périphériques » trinquent les premiers car leur capacité d’endettement est moindre.
Mais le principe est le même pour les pays qui se disent non concernés : les intérêts de la dette Française deviendront l’an prochain le plus gros chapitre de dépense de l’état.
Devant l’éducation nationale !
Qui peut imaginer qu’un pays qui consacre plus d’argent public aux rentiers qu’à ses enfants à de l’avenir ?
Le but de cette vaste partie de poker menteur est de transférer le bien public des états-nations à l’Europe des banquiers centraux.
Il n’y aura pas de régime de faveur pour les pays « centraux »