Vous remarquerez que des états comme le Japon et les US, pratiquant quasiment à des taux nuls, et leurs bons du trésor étant très peu rémunérateurs, sont plus proches de l’optimum de système monétaire que l’Eurozone, qui préfère organiser des sommets, des nouveaux organes, de nouvelles gouvernances, en maintenant des taux d’intérêts relativement élevés et en continuant indirectement à jouer la guerre des monnaies par la crise des dettes souveraines.
Bref, cette crise de l’eurozone, beaucoup de blabla pour rien, car les solutions les plus simples et rationnelles sont loin d’être européennes, a priori.