Des solutions de coopérations oui (et pas qu’avec l’Europe), une intégration supranationale non ! Ohé la France est en danger, elle risque de se diluer pour de bon dans la « construction européenne » (le fédéralisme européen est plus que jamais dans la bouche des européistes) et les français de voir s’envoler avec elle tout espoir qu’ils auraient à retrouver un jour la possibilité de peser sur les choix politiques qui les concernent. Nous devons faire bloc, comme en 2005 qu’importe le clivage. Remettre de l’ordre dans les priorités : rétablir d’abord et avant tout la démocratie avant de nous diviser sur ce que nous voudrions pour la France, c’est faire passer la sagesse et l’intérêt de tous avant l’intérêt des partis et de l’oligarchie.