Monsieur Charpentier,
Vous déformez mes propos à l’aide de guillemets fallacieux : je n’ai pas écrit cela. Mon article ne cautionne nullement la politique du gouvernement chinois. J’ai écrit que, maintenant que la décision du CIO est engagée, « le peuple chinois », c’est à dire l’individu humain, l’homme de la rue et particulièrement ces milllions de gens que j’admire à pratiquer le taï-chi ont droit que « la fête soit belle », à savoir qu’ils soient honorés dans le respect qu’on doit à leur identité humaine au nom des valeurs de partage que j’ai perçues chez la femme et l’homme de la rue.