« Comment lutter contre la corruption », aux éditions Bisounours !
Sauf erreur, quand le corrupteur n’est pas soumis à notre législation, on est bien dans ce cas de figure, non ?
Tout ce que ça ferait, à mon avis, serait de soumettre le corrompu encore sous la domination du corrupteur. Et je ne crois pas que le corrupteur serait assez fou pour tuer la poule aux œufs d’or à la première ’incartade’.
Les Bisounours de ce genre, ça me fait penser à Bush qui demandait : « pourquoi les gens ne nous aiment pas, on est gentils ! »
C’est facile d’être libéral : quand on a le pouvoir de faire payer ses bévues par les autres. Ainsi l’industrie financière qui a construit une immense pompe à fric qui tient davantage des pyramides de Ponzi que de l’hydraulique, et qui accable les travailleurs sous la trop fameuse dette qu’ils ont fabriquée.
Les Chicago boys sont tous au FMI, UE, BCE et autres institutions mondiales !