>>"pour faire face à
des crêtes ou à des pics de puissance consommée , le nucléaire est inadapté
(cela se passe toujours ainsi ! : c’ est un fait intangible )"
L’EPR pourra faire varier sa puissance entre 60% et 100%, avec des variations de l’ordre de 5% par minute. On est pas très loin des variations de la demande.
Pour ce qui est du parc actuel, jetez un coup d’oeil ici, sur la production du jour même
http://www.rte-france.com/fr/developpement-durable/maitriser-sa-consommation-electrique/eco2mix-consommation-production-et-contenu-co2-de-l-electricite-francaise#courbeDeCharge
Vous verrez que le nucléaire suit très bien les variations de charge.
>>"on utilise alors des centrales thermiques et
enfin pour les pics de consommation , de l’ importation pour réguler et faire face
à une demande forte et courte .«
On aurait construit quelques réacteurs en plus (ou l’Allemagne n’aurait pas arrêté les siens), il n’y aurait pas eu besoin de toute cela, puisque l’hydraulique pourrait fournir l’extrême pointe du »21 décembre à 19h« .
Votre comparaison est absurde de par le simple fait que les ENR intermittentes (solaire et éolien) sont incapables de suivre la variation de la consommation, étant donné que le seul »ordre" qu’on peut leur donner est d’arrêter de produire.