@ frédéric lyon
Parmi les « grants » (dons) il faut citer les fondations telles Rockefeller, Fullbright, Mellon, etc., mais cela ne s’adresse qu’à un petit nombre.
Si j’ai bien compris votre dernier paragraphe, l’enseignement supérieur français serait mauvais parce qu’il est gratuit (ou presque) ?
Mais dans les deux cas de figure, il reste vrai que la formation n’est jamais analysée dans son ensemble sous son angle socio-économique à l’intérieur de l’économie de marché.
La question brûlante reste posée et que tout le monde élude : quel est l’apport (en équivalent capital ou unité de compte) de ce savoir dans l’économie. Il y a bien eu les efforts de Gary Becker avec sa notion de « capital humain », mais il a été discrédité.