Bonjour, Vipere.
Les sections françaises d’Amnesty travaillent également sur les questions humanitaires internes à notre pays, fort heureusement. Ancien membre, j’ai en particulier contribué à agir pour lutter contre les dérives des centres de rétention, notamment à Vincennes. J’ai ensuite quitté Amnesty par désaccord avec les mesures envisagées pour développer son action : beaucoup trop timorées à mon point de vue ; personnellement, j’étais partisan d’actions plus spectaculaire du type Greenpeace.
Cordialement.