En fait, pour gouverner un peuple, il ne faut pas l’affamer, mais le maintenir dans la précarité, la dépendance et la peur de l’avenir. Un peuple qui a faim risque de gagner la rue. C’est leur plus grande crainte. Le reste du temps, partis et syndicats servent à canaliser les mécontentements.
Améliorer notre société vers davantage de justice sociale, supposerait en premier lieu quelques réformes, comme une fiscalité plus redistributive, un retour aux fonctions regaliennes de l’Etat, l’aide aux mouvements communautaires ... Pour commencer.
Sinon que c’est là le contraire du libéralisme et du capitalisme prédateur.
Un changement de paradigme que nous devrons imposer : Prise de conscience - Résistance passive - Refus d’obéissance - Construction d’une autre société.