Ne pas occulter quand même un paramètre, très important :
Vu leur situation financière, les Grecs avaient deux choix possibles :
- soit vouloir sortir de l’UE par un référendum (maintenant abandonné), et se retrouver dans une situation financière catastrophique, même en ne payant pas la dette aux banques
- soit y rester, et se retrouver avec de l’austérité sur le dos pour de très nombreuses années..
Une majorité de grecs ont quand même compris la situation, et se déclarent favorables au maintien dans l’UE, avec le chèque qui accompagne le règlement des fins de mois.
Triste constat, mais c’est ainsi...